Torréfaction

spécificité, une histoire de marque, et elle pourrait entamer une campagne de publicité pour promouvoir cette spécificité, dans laquelle elle montrerait la qualité des produits servis, notamment via une grande transparence dans la confection de ceux-ci (torréfaction sur place et sachets à univalve pour assurer la fraicheur des grains). Les dirigeants de Starbucks pourraient revoir leur politique de création de magasin, afin de s’assurer de la bonne ouverture de ceux-ci : remettre en place cette politique

|3.33 à 2 | |3. Coût d’exportation |0.14 |7.77 à 4.66 | |4. Coût d’importation, de torréfaction, de |1.45 à 2.65 |80.5 à 88.3 | |distribution | |

absolu de tous les magasins et de maitriser un marché avant s’étendre les aident. De la même façon, le fait de chercher de partenaires qui partagent les mêmes valeurs). • Grâce à la standardisation des matières premières et des processus, comme la torréfaction, l’implantation dans de nouvelles localisations est plus facile et la qualité est assurée. (Les torréfacteurs mélangent les graines de café provenant de différents pays pour équilibrer les saveurs et l’intensité) • Adaptation à la culture locale

blanche qui recouvre encore les fèves. Il faut donc procéder au pelagepour obtenir le café vert. Ce dernier est de nouveau trié et calibréavant l'exportation. II. La deuxième grande étape, réalisée dans les pays importateurs va de la torréfaction à l'emballage. La torréfaction est décisive et détermine la qualité finale du café. Schématiquement, durant la cuisson, elle met en oeuvre des réactions chimiques complexes qui produisent, entre autres, les arômes et les colorations brunes. Appelées réactions

les versants des collines ou des montagnes. Les fruits sont des drupes, appelées «cerises», de couleur rouge vif ou violette à maturité, dont la pulpe est sucrée. Elles contiennent deux graines, placées face à face. Les graines du caféier, après torréfaction donnent le café. Sa production est manuelle et nécessite une main-d’œuvre nombreuse. Problématique : Pourquoi peut-on affirmer que le marché mondial du café est un exemple des échanges inégaux entre pays en développement et pays riches ?

| |Je travaille dans une entreprise de torréfaction, le "TORREFACTEUR CALADOIS", dont l'activité principale consiste à torréfier et vendre du café à une | |clientèle constituée de professionnels (bars, hôtels, restaurants) et de particuliers. | |L'usine de torréfaction, située en périphérie de Villefranche sur Saône, compte une quarantaine de salariés. En outre, le torréfacteur

l’ultime étape de décortication afin d’obtenir le café vert. o Torréfaction Il existe différents niveaux de torréfaction : blond, cannelle, médium, robe de moine, brun, brun foncé, français (ou minoir), italien (noir)… Arrivés à destination, les grains sont torréfiés (fortement chauffés, on parle aussi de brûlage ou de grillage), ce qui développe leur arôme et leur donne leur couleur foncée. Ils sont ensuite moulus. Avec la torréfaction, les grains grossissent, changent de couleur, et se fissurent

portes en 1971 à Seattle au légendaire Pike Place Market.1 Trois universitaires passionnés de café sont à la source de la fondation de cette compagnie au succès mondial. À cette époque, l’industrie naissante concentre ses services autour de la torréfaction de cafés et la vente au détail de café en grains et moulu. Howard Schulzt, emblématique patron, joint les rangs en 1982. Monsieur Schultz désireux de connaître l’expansion de la marque, voit le potentiel des bars à espresso après un séjour en Italie

rang. La demande globale progresse peu, entre 1 à 2% par an en moyenne. • Les acteurs intermédiaires : Entre les producteurs et les consommateurs viennent se dresser de nombreux intermédiaires : des sociétés de transport, les responsables de ta torréfaction (le café est chauffé entre 200 et 300°) ainsi que ceux de la production. • Le poids des multinationales : Quatre grandes multinationales achètent et commercialisent environ 50% du café produit. Elles dominent et maitrisent le marché. Il s’agit

l’année 1971 par trois collaborateurs : Zev Siegel, Jerry Baldwin et Gordon Bowker. - 1971 : Ayant une passion commune pour le bon café et avec une connaissance commune : Alfred Peet (créateur de Peet Coffee/Tea en 1966 et instaurateur du café par torréfaction personnalisé aux USA) ; les trois hommes ouvriront leur premier commerce à Seattle. - 1982 : l’entreprise accueille un nouveau collaborateur : Mr Howard Schultz. - 1984 : la société fait l’acquisition du groupe Peet’s pour lequel il s’endette considérablement