Torse

surface et chifonnette . nécéssaire à l'hygiène des mains -> Installation . Prévénir le patient . Prendre en compte de degré d'autonomie du patient et stimuler le patient au cours du soin, laisser le patient faire ce qu'il peut faire ( visage, torse, bras, mains, toilette génitale) . Fermer les fenêtres, baisser les volets pour préserver l'intimité du patient . Installer le matériel: - cuvette remplie d'eau à la température voulue par la personne - installation sur une surface propre et désinfectée

différentes : la blanche pour le haut (le visage, le torse et les jambes) et la jaune pour la toilette intime. Elle se désinfecte les mains, frappe à la porte et nous entrons dans la chambre de Madame B. Elle dispose son matériel sur sa table et y ajoute une bassine remplie à moitié d’eau. L’aide-soignante déshabille la résidente, range soigneusement la robe de nuit de la résidente (dans sa salle de bain car elle est encore propre, me dit-elle) et lui couvre le torse avec la serviette du haut et ces jambes

tête de lit de Madame L afin qu’elle soit complètement allongée et j’abaisse la barrière. Je me frictionne les mains à la solution hydro alcoolique avant de commencer la toilette. Je décide de débuter par la toilette dite du « haut » soit celle du torse et du dos. Je prépare mon gant afin de lui laver le visage, je prends soin de ne pas mettre de savon afin que cela ne lui pique pas les yeux. J’essuie avec l’une des serviettes son visage. Cette serviette servira pour le haut et l’autre serviette servira

que je laisse chauffer quelques secondes puis demande à ma patiente si celle-ci est assez chaude. Avant de la mouiller, je constate que ma patiente a uriné sur la chaise, je nettoie alors ceci. Puis je commence alors sa toilette par le visage, le torse, le dos puis finis par la petite toilette avec mon second gant. Je la sèche bien évidemment a l’aide de serviettes entre chaque partie du corps. Ensuite je prends les affaires propres de ma patiente puis l’habille, je lui propose alors de se laver

C'est l'histoire de la minijupe, au milieu des années 1960, comme celle dix ans plus tard, du monokini sur les plages. Montrer ses cuisses ou ses seins cesse d'être indécent. Et l'on voit l'été, dans les villes, des hommes en short, chemise ouverte et torse nu. Le corps n'est plus seulement réhabilité et assumé : il est revendiqué et donné à voir. Au regard des normes de l'entre-deux-guerres, le progrès du nu est celui de l'indécence : à tout le moins, c'est de la provocation. Pour la norme nouvelle

humidifie un gant de toilette et prévient le résident que je m’apprête à lui laver le visage. Je l’essuie et lui applique de la mousse à raser sur la zone à raser. Je jette mes gants jetable et en prend l’autre paire. Je mets une serviette sur le torse du résident, afin de ne pas salir et mouiller son t-shirt et je le rase. Après avoir terminé, je lui essuie le visage avec une des serviettes. Je remets la barrière et vais vider et rincer ma bassine, puis je la rempli pour passer à la toilette du

personnage. Les mots « GERMANY, BERLIN, 1936, 1ER-16 AUGUST, OLYMPIC GAMES » apparaissent en blanc et en surimpression sur la partie basse de l'affiche.- le deuxième plan, à dominante jaune, apparaît plus lumineux. Il montre un athlète en buste, torse nu, un bras levé et une couronne sur la tête. Au-dessus de lui, flottent les cinq anneaux olympiques multicolores.Cette image est de format rectangulaire et se présente verticalement. 2. Que représente la statue du premier plan ? Cette statue

et le premier plan et est situé à gauche de l’image. Celui-ci est torse-nu (huilé), il a les mains sur les hanches, il porte un jeans similaire aux deux autres et il penche la tête vers sa droite en bas où deux autres sujets son couchés. Le dernier jeune homme est lui aussi torse-nu, il est a quatre pattes toujours avec le même jeans que les autres, il porte des lunettes de soleil, il a comme les autres les cheveux courts, le torse est aussi huilé et il tient les poignets d’une jeune femme allongée

les conjonctions de coordination et la préposition "Enfin" (v.6) montrent l'enchainement des actions. La deuxième étape s'effectue du v.7 au v.15, ici, l'éclairage est sur le vaincu et sur sa défaite. Les verbes "s'espudrine", "se défaisse", "se torse", "se ruine" (v.7) et "se reprise", "s'emmargine" (v.9) suggèrent son épuisement progressif, son courage en vain et sa mort. Enfin, la troisième étape se déroule du v.16 au v.20, l'accent est mis sur la foule et sur la cause du combat. Pour la

lavabo. Elle criait car elle avait mal à son talon. Les vêtements que Mme F aller porter étaient déjà présents dans la salle de bain. L’aide-soignante enlève le haut de pyjama de Mme F, prend un premier gant le mouille et met du savon pour savonner le torse, le dos puis les bras de la patiente. Ensuite elle prend un deuxième gant pour rincer, puis sèche le haut du corps et habille Mme F d’une chemise. Elle lui enlève ensuite le bas de son pyjama et savonne avec le premier gant les jambes et rince avec