Tournure

qui lui rappelle en outre sa condition de fille qui n’est pas encore mariée. « Vous êtes en colère ? » Selon un procédé comique récurrent dans la scène, Suzanne répond à une question par une autre question, ce qui crée une sorte de cascade. La tournure interrogative est différente de celle employée par le Comte : Suzanne n’emploie aucun mot interrogatif et n’inverse pas le verbe et le sujet, la seule marque interrogative est l’intonation signalée par la ponctuation. Cette différence signale

5) Fautes de style (fautes de style) Les faiblesses de style ne sont pas des fautes a proprement parlé mais il y a moyen de faire mieux. Ce sont des tournures maladroites comme : • Répétitions : redondance,… • Verbes incolores : être, avoir, faire,… • Manque de précision, de rigueur • Archaïsme (mot ou tournure vieillis et qui ne sont plus employés dans le langage courant) • Ambiguïté (causée par une mauvaise place des mots dans la phrase, par une imprécision

plus-que- parfait (« j’avais marqué le temps ») et à sa reprise grandiloquente (« que ne le marquais-je »). Le chevalier Des Grieux ne cache aucune émotion quant au souvenir qu’il va relater. En effet, l’utilisation de l’interjection « hélas », de la tournure exclamative introduite par « que » et du conditionnel passé (« j’aurais porté ») souligne d’emblée le regret. L’expression « toute mon innocence » peut se comprendre de deux manières : par le jeune âge et par l’absence de péché, alliance qui sous-tend

termes évoquant la même idée mais de façon plus floue. les ambiances nocturnes : les ambiances nocturnes se traduisent par différents procédés. Tout d’abord, les tournures périphrastiques du terme « soir », dont certaines vienne d’être évoquées (par exemple, la première expression « Le jour tombe. ») ; on trouve également des tournures plus métaphoriques (« les couleurs tendres et indécises du crépuscule »), ou, par un hypallage, le poète parvient à rendre le tourment qui se fait dans les esprit

retrouver un substitut au chapeau de paille mangé par son cheval. Les exclamations successives à la ligne 1: "Elle n'y est pas!" et "J'ai fouillé partout!" mettent bien en avant son échec incessant à trouver ce chapeau. De plus, l'utilisation de la tournure restrictive aux lignes 2 et 3 avec les marques "n'...que" ainsi que l'énumération des couleurs "bleu, jaune, vert, gris..." montrent que Fadinard trouve tout sauf ce qu'il cherche. La réplique finale exclamative " et pas un fétu de paille!" (l

argumentation structurée de manière rigoureuse et progressive Structure rigoureuse : Le texte suit un raisonnement déductif. - Tout d’abord la thèse est donnée explicitement dès le début du texte (l 1-2), donc très rapidement. Le texte commence par une tournure présentative « c’est » qui indique la volonté de poser une affirmation. Quant au narrateur, il va s’impliquer dans son discours argumentatif, comme le suggèrent l’utilisation de la 1ère personne ( « je pense » l 8, « à mon avis » l 12). - Puis

lui. On passe du morbide (malade) au macabre : malade (v.8) – squelette (v.12) – cadavre (v.17). On peut percevoir la froideur de la mort au vers 17. 2- Le portrait moral L'ennui est le monstre le plus terrible du Spleen. Il emploie des tournures négatives telles que "ne plus trouver de sens à sa vie", "rien ne peut l'égayer" (v.5), "ne distrait plus" (v.7). Il est dégoûté du pouvoir, indifférent aux avantages du pouvoir notamment le respect, les distractions royales (chasse, bouffon),

l’action du feu purificateur pour donner la Pierre philosophale, symbole rayonnant de la vie triomphante. Le caractère initiatique du voyage évoque l’incontournable tournure contemporaine, chérie des politiques, qui consiste à dire en « énarchien pur sucre » que « untel initie telle ou telle action ». La prétention de la tournure le dispute au ridicule. Mais cela ne doit pas occulter que l’initiation, outre son rôle d’agrégation au groupe et d’affermissement du caractère par les épreuves, est bel

sur la base de types d'arguments différents. Dans le premier, l'argumentation est directe ; les tournures négatives et l'utilisation de verbes à valeurs morale qui traduisent un jugement le montrent : « il n'y a point » ; « ne sont point » ; « ils ne sont donc pas » ; « aucun homme n'a » ; « ne sont point » // « peut être justifié » ; « qu'on ne puisse légitimer » ; « il ne peuvent être ». Ces tournures réfèrent de façon directe au droit, à ce qui peut ou pas être, et à ce qui ne doit pas exister

présente lui-même dans sa tirade comme un homme totalement impuissant, (Hé ! le puis-je, traîtresse ?;Puis-je ainsi triompher de toute ma tendresse?) (v.1747-1748). Il évoque sa faiblesse (v. 1752) . De même, il utilise des tournures impersonnelles là où on pourrait attendre des tournures personnelles : Il peut m'être permis de vous aimer encore (v. 1768). Tout ceci contribue à donner au personnage d'Alceste un côté tragique comme les personnages de tragédie, il subit son amour comme une passion qui s'oppose