Tout Le Monde Imite

qu’apparences. • ╚> L’artiste est un bon imitateur qui confond l’intelligible et le sensible. C’est le sophiste de l’art : il utilise l’intelligible pour favoriser l’idolâtrie du sensible → danger. L’artiste imite ce qui est déjà imitation de l’idée. L’art imite la nature, l’artiste imite la réalité et tend à la rendre belle. - Aristote analyse les productions culturelles, se donne les moyens d’y penser, il pense alors le théâtre et cela en particulier dans La Poétique. • Rendre compte du

"La Vie imite l'Art" "Le déclin du mensonge" est un essai, très court, dans lequel Oscar Wilde défend sa vision radicale de l'Art. Présenté sous forme d'un dialogue entre deux personnages, Cyril et Vivian ( les noms de ses fils, au passage ), il n'est pas difficile de reconnaitre en Vivian, qui a la part belle, le propos de Wilde que Cyril tente vainement, pauvrement, de contre-argumenter. C'est que Vivian/Oscar Wilde n'y va pas de main-morte : pour lui en effet "la Vie imite l'Art".

Pour Nietzsche, l’artiste est avant tout un travailleur, et donc par la une longue préparation pour devenir ce qu’il est. Pour lui génie diffère des goûts de chacun. Il est donc le produit d’un long travail humain et ne correspond pas seulement à un artiste comme le dit Kant mais il concerne d’autres activités comme les sciences par exemple. Pour Kant le génie est un talent, un don naturel, que l’on peut avoir ou pas. Il ne dépend pas d’un apprentissage comme le pense Nietzsche, mais c’est un talent

désastreux imite mais pas entièrement le modèle américain. Ceci s'appelle « un modèle » car c'est dans ces années là que nous pouvons constater une forte croissance économique grâce au Taylorisme et au Fordisme dans les années 50 avec aussi une réduction des inégalités et enfin une production et une consommation de masse. Nous allons donc étudier dans un premier temps le modèle social et économique américain puis dans un second temps la manière dont il se diffuse et est adapté en Europe. Le monde américain

 Le progrès technique est-il un avantage ou un inconvénient pour les hommes ? Aujourd’hui, on voit bien que la nature et la technique s’opposent en tout point. On prétend aussi que les avancées technologiques nous défont de notre authentique rapport à la nature depuis le début de l’humanité. Mais on s’accorde pour dire que ces deux attitudes inverses reviennent au même : faire avançer l’homme petit à petit dans l’histoire en faisant de la technique un privilège qui lui est réservé. La nature

si la beauté est la belle forme qui régale la vue elle n’a aucun rapport avec un jugement rationnel. La réflexion philosophique sur l’art commence au XVIIIème siècle et elle prend le nom d’esthétique. Elle est liée à l’idée que la beauté est avant tout une affaire de sensibilité. Si la beauté est sensible, peut-on établir en matière de goût et de beauté un jugement à valeur universelle autrement dit une vérité ? Quand Homère, dans l’Iliade, dit qu’Hélène de Troie était vraiment belle parce que c’était

« En quoi, dans la grande création artistique, l’œuvre transcende t’elle la psychologie de son auteur ? » « Le poète seul a le secret de cet instant sacré, où la piqure essentielle vient soudain introduire au travers d’un monde en nous suspendu de souvenirs, d’intentions et de pensées, la sollicitation d’une forme. C’est là ce que je nomme l’âme de l’œuvre, et l’art du réalisateur à quoi ne saurait suppléer aucune habileté, mais c’est un dieu qui le guide, est de trouver pour elle la position

utilisé par le poète est semblable au peintre qui produit en peinture les choses qui sont réelles. Le peintre ne peut pas inventer, il ne peut que produire des œuvres qu'il à déjà vu dans la réalité. La question du sens de l'œuvre en relation au monde (toujours en considérant le statut du poète assimilé à celui du peintre). Ici l'enjeu de la réflexion réside dans le rapport de la peinture à la réalité et à la vérité. Pour Platon, l'accession à la vérité s'identifie par une connaissance de la forme

également « le roman » écrit en 1887. Tout d’abord nous verrons comment le romancier imite le réel, et se sert de lui, ensuite pourquoi c’est n génie créateur et pas seulement un écrivain réaliste et pour finir la place du réalisme. Maupassant, par ses œuvres nous montre que le romancer est au service d’une réalité nécessairement subjectif, en effet selon le caractère, et les sentiments de chacun de ses lecteurs, ils n’auront pas tus la même vision de ses textes, il imite donc le réel, se sert de lui pour

A quelles conditions la réécriture d’une œuvre littéraire devient-elle une création à part entière ? « Tout le monde imite » déclare Aragon dans la préface de son ouvrage Les Yeux d’Elsa, nommée « Arma virumque cano », reprenant ainsi lui-même pour titre le premier vers de l’Enéide de Virgile. Si Aragon affirme avec désinvolture qu’il imite, c’est que cette imitation ne le condamne pas à la répétition. Pour lui, c’est donc une chance de pouvoir s’appuyer sur ces prédécesseurs. Pourtant, cela ne