Tout Voir Tout Peindre

œuvres du maître et de celles de ses élèves - produites du vivant de Raphaël et dans les années qui suivent immédiatement sa mort -, l’exposition cherche à faciliter la compréhension du degré respectif d’intervention de Raphaël et de ses disciples, tout comme elle éclaire la contribution intellectuelle et esthétique de ces derniers à l’œuvre de Raphaël. Le propos de l’exposition débute en 1513, alors que Raphaël travaille depuis cinq ans à Rome, principalement aux décors des Chambres du palais

La Besace Jupiter dit un jour : "Que tout ce qui respire S'en vienne comparaître aux pieds de ma grandeur : Si dans son composé quelqu'un trouve à redire, Il peut le déclarer sans peur ; Je mettrai remède à la chose. Venez, Singe ; parlez le premier, et pour cause. Voyez ces animaux, faites comparaison De leurs beautés avec les vôtres. Etes-vous satisfait? - Moi ? dit-il, pourquoi non ? N'ai-je pas quatre pieds aussi bien que les autres ? Mon portrait jusqu'ici ne m'a rien reproché ; Mais pour

même, ni le but. Car la science vise la connaissance vraie, l’art la délectation. L’art cultive, ce que la science cherche à détruire : la subjectivité de l’observateur ( objectivité et universalité) , la complexité du monde ( tout soumettre à des lois) , son équivocité ( tout ramener à des termes univoques et rationnels). L’art et la science amène au vrai, à une vérité « Le travail de l’artiste, nous l’avons assez remarqué, ne le conduit jamais du concept à l’œuvre, et le plus beau dans ce

personne à regarder cette forme d'art et d'y réfléchir et d'apporter une conclusion à ce sujet. Est-il choquant, il est triste ou est-il gentil? Si quelqu'un est triste, ils mai choisir de peindre quelque chose qui soit profond, sombre, pas brillant. Si quelqu'un est d'humeur joyeuse, ils veulent mai à peindre de belles choses dans la vie, comme les enfants, la nature et des saisons. L'art est significative en raison des couleurs, des formes et des représentations qu'elle peut créer. L'art peut

même, ni le but. Car la science vise la connaissance vraie, l’art la délectation. L’art cultive, ce que la science cherche à détruire : la subjectivité de l’observateur ( objectivité et universalité) , la complexité du monde ( tout soumettre à des lois) , son équivocité ( tout ramener à des termes univoques et rationnels). L’art et la science amène au vrai, à une vérité. « Le travail de l’artiste, nous l’avons assez remarqué, ne le conduit jamais du concept à l’œuvre, et le plus beau dans ce qu’il

« Je veux peindre la France une mère affligée » Agrippa d’Aubigné, Les Tragiques, 1616 2- « IV », « Pauca Meae » Victor Hugo, Les Contemplations, 1856 3- « Un rêve » Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit ,1842 4- « Nuit sans date rue Saint-Jacques » Jacques Roubaud, La forme d’une ville change plus vite, hélas, que le cœur des humains, 2006. 5- « Cœur, couronne et miroir » Guillaume Apollinaire, Calligrammes, poemes de la paix et de la guerre, 1913-1916 « Je veux peindre la France

accident, où le chien qui passe, et jusqu'à la pierre des chemins, nous compléteraient, nous expliqueraient ; enfin, le grand tout, sans haut ni bas, ni sale ni propre, tel qu'il fonctionne… Bien sûr, c'est à la science que doivent s'adresser les romanciers et les poètes, elle est aujourd'hui l'unique source possible. Mais, voilà ! que lui prendre comment marcher avec elle ? Tout de suite je sens que je patauge… Ah ! si je savais, si je savais, quelle série de bouquins je lancerais à la tête de la foule

Aix et Paris. Lorsqu’il est à Paris, il fréquente assidument le Louvre où il forge son goût artistique. Deux artistes français ont plus particulièrement ses faveurs : Delacroix et Courbet. Cézanne peint alors en pleine pâte à l’aide de couteaux à peindre. Ses couleurs sont sombres, ses toiles saturées de peinture. Pendant la guerre franco-prussienne, en 1870, Cézanne se cache à L’Estaque, près de Marseille pour échapper à la mobilisation, en compagnie de celle qui depuis 1869, lui sert souvent de

Laurent : Il rencontre aussi Camille au travail, mais ils se connaissaient déjà étant enfant. Laurent est le contraire de Camille, c'est un homme fort, bien en chair, c'est un paysan. Lors d'une des soirées du jeudi il propose à Camille de lui peindre un portrait qui finit par ressembler à un cadavre. Il devient l'amant de Thérèse qui émet l'hypothèse d'un futur plus facile sans Camille. Il prend alors l'initiative de s'en débarasser lors d'une promenade en barque, il l'étrangle et le jette à

par une force étrange dont il ne connaît pas lui-même l’origine. Une inspiration puissante l’a poussé à réaliser cette œuvre. » Cet extrait de l’art ou du cochon d’Emmanuel Beaufils, nous montre d’une certaine manière, que quoi qu’un artiste puisse peindre, créer, ou autre, son œuvre nous parler de lui. Alors l’image aurait-elle un rôle psychologique ? Comment savoir si ces œuvre seraient des intermédiaires valables entre artistes et publique ? Vaudraient elles meme plus, seraient-elles meme plus parlantes