Tout Voir Tout Peindre

(probablement l'usine de Ford situer a Détroit) en train de travailler a la chaîne ( fordisme) , ils ont l'air très fatiguer et ils tirent sur leurs bras de toutes leurs force. En arrière plan on peut distinguer plusieurs machines en plein fonctionnement avec quelques ouvrier pour les faire fonctionner. Vers le centre de la fresque on peut voir que les ouvriers s’étendent sur de très longes lignées. L’œuvre représente le travaille dans les usines Ford. Pour cette fresque Diego Rivera a utiliser la

… « romans populaires ») 1) recherche / reprise de ce que vous savez déjà : mouvements littéraires : le réalisme et le naturalisme Le réalisme : mouvement littéraire de la 1e moitié du 19e Les écrivains veulent peindre le réel avec fidélité Conséquences : peinture de toutes les classes sociales ; évocation de la vie quotidienne ; thèmes de l’argent et de l’ascension sociale Auteurs : Balzac : il vaut « faire concurrence à l’état civil » ; il conçoit une vaste fresque romanesque de 91 romans

la peinture sont le bleu, le noir, et le blanc. Ce tableau est donc composé de couleurs froides. Braque étudie les oiseaux en les observant dans la nature, pendant de longs moments avant de les peindre. Ils constituent le dernier thème de cet artiste. Dans les dernières œuvres de Georges Braque, on peut voir que l’artiste ressentait le besoin de s’échapper du monde : de la terre ferme. Ces oiseaux représentés sur cette toile sont déjà présents dans certains des tableaux de Braque, peints pendant

vécue dans le passé, mais des années plus tard. Ainsi, Rousseau nous décrit son ancien lieu d’habitation, tout en faisant part du bonheur ressenti lorsqu’il partage avec le lecteur ses anecdotes. Chateaubriand, quant à lui, fait part au lecteur de la tristesse dont il est victime lorsqu’il voit les ruines du château de Montboissier. Comme il le dit lui-même, le but de l’autobiographie est de « peindre sa jeunesse » pour son propre intérêt, comme l’affirme Rousseau en disant que raconter des anecdotes

les Tirs : fixés sur une planche, des tubes emplis de couleurs sont recouverts de plâtre et sont percés à l'aide de tirs à la carabine. Cette nouvelle manière de peindre la lance sur la scène artistique internationale. Cette technique nouvelle est de l'ordre de la performance artistique. L'œuvre est constituée de plusieurs éléments, tout d'abord le moment du tir, qui fait lieu de performance, mais aussi la peinture finale, cette planche éclaboussée de peinture comme saignée à vif. Les "Tirs" sont

2 : « au fond derrière la barrière de chêne », « sous le vitrage clair de la petite cour » alambic situé précisément grâce à compléments circonstanciels lieu.L.1 et 3 : « regarder », « indiquant du doigts », « montrant » utilisation sens vue pour voir description claire.L.3 et 4 : « pièces », « énorme cornue », « récipients de forme étrange », « enroulements sans fin de tuyaux » vocabulaire technique alambic = Coupeau grand spécialiste, connait chaque pièce machine.L.4, 5, 6 « mine sombre »  personnification

ses moyens expressifs. Le miroir chez Pistoletto reste un outil, un moyen pour répondre à un questionnement intrinsèque de l’oeuvre, plutôt que comme fin en soi. Le miroir est une conséquence: en effet Pistoletto commence son oeuvre par peindre l’homme, par se peindre lui-même, et ce questionnement de la condition humaine continue sera présent pendant toute l’évolution de son oeuvre. Tous ces éléments seront à la source de l’oeuvre de Pistoletto qui commence son travail par une recherche du rapport

sur le motif, mais très évidemment d’un travail d’atelier, associant de nombreuses figures peintes d’après un modèle. * Le style est néo-impressionniste, travaillé et raide et on s’aperçoit tout de suite qu’il est inadapté au tempérament de Matisse bien que la palette soit celle qu’il emploiera pour peindre ses œuvres fauves. On peut la considérer comme un essai avant les grandes innovations de La Joie de Vivre. * Le manque de vie académique du style est du à l’influence de Signac et de Cross

lumière est naturelle et diffuse, il n'y a pas d'ombre portée. Dans l'arrière plan, au fond de la rue, nous pouvons voir deux poteaux noirs formant un triangle ou une flèche en direction de l'homme. L'homme forme une diagonale menant notre regard vers le coin supérieur droit de l'image, vers le ciel et donc vers l'espace vide et blanc de la photographie, là où n'y a rien à voir mais tout à imaginer. Le choix du noir et blanc pourrait se justifier par l'intention de l'artiste de publier l'image dans

1920 et qui succède à l'expressionnisme. La Nouvelle Objectivité regroupe toutes les disciplines. Ce mouvement souhaite représenter la réalité brut, telle quelle est. Au début de la première guerre mondiale, il s’engage avec enthousiasme dans l’armée allemande. Il devient mitrailleur et combat en France. IL est traumatisé par les horreurs de la guerre dont il a été témoin. A la fin de la guerre, Otto Dix décide de peindre ces horreurs. Les peintures d'Otto Dix abordent souvent des thèmes lugubres