Toute Les Illusions Sont Elles Dangereuse

Kant… L’accent sera mis sur une approche conceptuelle et épistémologique de la modernité. Les étudiants découvriront les textes étudiés tout en les resituant dans une réflexion plus large sur la philosophie et l’histoire. Aussi les lectures incluront-elles les textes originaux de certains philosophes modernes. Objectifs d’apprentissage spécifiques Les objectifs d’apprentissage concernent à la fois les connaissances et les savoir‐faire. Tout particulièrement, les étudiants devront développer des

des stupéfiants. Sa concentration est très variable selon les préparations et la provenance du produit. > A QUOI ÇA RESSEMBLE ? - l'herbe (marijuana, ganja, beuh, etc.). Ce sont les feuilles, tiges et sommités fleuries, simplement séchées. Elles se fument généralement mélangées à du tabac, roulées en cigarette souvent de forme conique ("joint", "pétard"...). - la résine (haschisch, hasch, shit, chichon, etc.). Obtenue à partir des sommités fleuries de la plante. Se présente sous la forme

. lui Vous dites que vous croyez en Zarathustra? Mais qu'importe Zarathustra! Vous êtes mes croyants: mais qu'importent tous les croyants! alors vous m"avez Vous ne vous cherchiez pas encore trouvé. Ainsi font tous les croyants; et c'est pourquoi toute croyance est si peu de chose. En ! : et : Maintenant je vous ordonne de me perdre et de vous trouver alors seulement je revienquand vous m'aurez tous renié, — : drai vers vous ' . » Et de même que Nietzsche se distingue

morale. C’est un poète véritablement nourri par les textes bibliques, très influencé aussi par le courant stoïcien et par Montaigne . Sa marque propre serait le pessimisme, une foi sombre et passionnée. Cette foi et cette passion ne sont pas simples ; elles ne vont pas sans les déchirures d ‘un drame personnel ; il doit rompre avec les appels du monde, de l’amour et de la sensualité, les exigences de la chair. Chassignet est également marqué par le drame collectif des tourments issus des guerres civiles :

des réponses et leur mise en oeuvre d'autre part. Il n'est plus possi blede s'en passer. Mais croire que l'on peut déduire de ces connaissances des règles «scientifiques» pour la gestion et la direction des organisations humaines relève d'une illusion dangereuse. La cause devrait être entendue, certes, et depuis longtemps, mais la rage de conclure n'en a jamais fini. Par le détour d'une nouv elle méthode infaillible ou plus naturellement à travers la passion de faire réuss irune nouvelle entreprise

est libre lorsqu’il n’existe rien en dehors de nous, d’extérieur à nous qui nous empêche de faire ce qu’on veut. La liberté intérieure, c’est la liberté de vouloir une chose et pas une autre, de choisir, de se décider librement, de se déterminer en toute indépendance, par soi-même. Intérieure, car l’acte de choisir, de se décider s’accomplit en nous. Ces deux aspects de la liberté sont distincts : on peut avoir la liberté (extérieure) de faire quelque chose sans en avoir envie, on peut avoir décidé

existait un consensus autour de ces grandes œuvres, et que celui-ci était fondé sur une évidence, une objectivité, ou un critère indiscutable. Alors même que, par nature, ces œuvres étant irréductibles à leur technicité ou à une quelconque utilité, elles demeurent alors objet du plaisir esthétique. Comment justifier alors une telle hiérarchisation classique de l’art ? C’est à partir de cette difficulté du jugement esthétique et de la logique de l’art que l’on poursuivra la question du rapport entre

Elle n’est donc universelle qu’en apparence. Cette loi est un instrument d’oppression non par la force mais par un mécanisme d’intériorisation. Elle n’est donc juste qu’en apparence. Les valeurs prônées par cette loi n’ont pas de réalité propre : elles consistent dans le retournement axiologique de la réalité de la force, et l’égalité de droit n’est que la dénégation de l’inégalité de fait. Elle est donc sans consistance. Les meilleures dispositions sont laminées par l’éducation égalitariste.

contre des individus étrangers. La tension née entre le Surmoi sévère et le Moi qu'il s'est soumis, nous l'appelons « sentiment conscient de culpabilité » ; et elle se manifeste sous forme de « besoin de punition ». La civilisation domine donc la dangereuse ardeur agressive de l'individu en affaiblissant celui-ci, en le désarmant, et en le faisant surveiller par l'entremise d'une instance en lui-même, telle une garnison placée dans une ville conquise. L'analyste se fait de la genèse du sentiment

imite. »chapitre 1 Dans sa la Poétique, Aristote distingue deux types de mimèsis : la simple imitation de la nature et la stylisation de celle-ci. Aristote propose également trois façons d'imiter : comme les choses sont, comme on les dit et comme elles devraient être. L'imitation est à la base des différents arts et notamment de la tragédie, qui est définie comme "l'imitation d'une action noble, conduite jusqu'à sa fin et ayant une certaine étendue". Suscitant pitié et crainte dans l'esprit du spectateur