Tpe Stereotypes

interprétation culturelles. Réactions spontanées face à l’étranger Il ne suffit pas d’être en contact avec l’Autre pour développer une attitude ouverte et tolérante Réflexe de généralisation et jugement de valeur Représentations, préjugés, stéréotypes, clichés, idées reçues (positif / négatif) Ethnocentrisme =( Le multiculturalisme ? Le multiculturalisme : reconnaissance et coexistence de groupe culturels différents, valorisation du groupe d’appartenance. L’individu a une identité groupale

niveau sportif, cela fait plus d’une dixaine d’année que les handicapés peuvent participer aux olympiques paraplégiques. Par contre, pour les malades physiques stigmatisés par le HIV, l’obésité ou la toxicomanie, la société tend encore vers le stéréotype que les personnes sont responsables de leur sort et que donc un comportement irresponsable s’attribue à sa conséquence, sa maladie. Par conséquent, les cinq sens des handicapés ou malades peuvent être touchés mais c’est un sixième sens

que la manière dont une femme est contrainte de se comporter dans les réunions mixtes). Dans le sixième chapitre, l’auteur nous plonge au cœur de la question : les caractéristiques de l’organisation sociale qui ont pour effet de confirmer nos stéréotypes de genre et les formes dominantes d’arrangements entre les sexes. Goffman commence par l’aspect biologique et son prolongement culturel (ex. la mère en situation d’allaiter son bébé alors que le père ne l’est pas ; et toute tâche domestique à accomplir

Beret, pain Les 3 mots préjugés, stéréotype, et cliché sont des termes qui interviennent dans la représentation d’une culture Un stéréotype : C’est une opinion ou une représentation, concernant un groupe et ces membres. Le stéréotype représenterait un fond de vérité, c’est un phénomène de généralisation. Le stéréotype présente une utilité, c’est une manière d’appréhender l’autre (faire face à l’autre, d’avoir des repères), on peut ensuite corriger ce stéréotype en rencontrant « l’autre ». Le

socialisation différenciée selon le sexe (et selon le milieu social). Tout d'abord, ce film met en évidence un processus de socialisation différencié en fonction du sexe. En effet, on peut observer des stéréotypes liés au sexe qui sont très présents tout au long du film autour du personnage de Billy. Ces stéréotypes de sexe s'inscrivent ici dans l'activité culturelle de Billy, entre le sport qu'il désire pratiquer et le sport qu'on lui impose de pratiquer. Billy fait de la boxe car c'est une sorte de tradition

sexisme n'est pas un phénomène culturel ou générationnel, il est universel, en ce qu'il est transversal à toutes les cultures et à toutes les classes sociales. Pour déterminer la racine des violences et du harcèlement de rue, ce sont surtout les stéréotypes qui doivent être combattus, par l'éducation à l'égalité et à la liberté dès le plus jeune âge. La prise de conscience et l'indignation qui émergent aujourd'hui sont des premiers pas pour que tout le monde réalise que ces comportements sont inacceptables

L’individu « inconnu » qui n’y correspond pas est amputé à cause de sa différence => discrédit, handicap, stigmate. Cela résulte donc du désaccord entre les identités sociales virtuelle et réelle dû à un attribut, à la relation entre l’attribut et le stéréotype (relatif à la société). Ces attributs sont de trois types : monstruosités du corps, tares de caractère, et stigmates tribaux. Stigmate => discrimination => réduction des chances => rationalisation de l’animosité. Question de la perception par

Auditive Les METAMODELES Généralisation : processus par lequel le sujet tire prétexte d’une expérience personnelle pour déboucher sur une confusion générale qui l’applique à tte les situations similaires. Tte les discriminations, les stéréotypes et les préjugés portent sur la généralisation. Omission : à l’ origine c’est un processus ds lequel ns prêtons une attention sélective à certaines dimensions du vécu à l’exclusion de tte les autres ou de certaines La distorsion : elle permet

du siècle et pessimiste. Le titre « Une Vie » est un titre indéfini et peut être considéré comme général. C'est une métaphore de la vie en général. La comparaison entre l’Incipit et l’Excipit permet de voir l'évolution des personnages, les stéréotypes (topos : entrée en matière). Ici on entre dans le roman avec Jeanne qui change de vie. On quitte le roman : « La vie, voyezvous, ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu'on croit. » Dès le début du roman, Jeanne connaît de profondes désillusions

de la culture reçue, de l'éducation. On n'attend pas que la douleur s'installe, on se prend en charge rapidement, on est plus à l'écoute des signes que le corps envoie et cela permet de prévenir l'apparition de la douleur. D’un point de vue stéréotypes culturels: Pour David Le Breton, il n'y a pas que la culture propre au patient qui rentre en jeu dans la douleur mais aussi toute une culture locale, régionale, générationnelle ainsi que le sexe du patient. Pour l’équipe soignante, il est tellement