Trafic d'organes

II Les crimes capitaux La Chine applique la peine de mort pour 68 crimes, même pour les non violents qui ne consistait pas à faire des victimes, ce qui est plutôt surprenant. On passe d’un homicide volontaire à un important trafic de drogue (à partir d'un trafic égal ou supérieur à 50 grammes d'héroïne on est susceptible d'être condamné à mort) à un détournement d’au moins 100 000 yuans (environ 10 900 euros) et autres crimes liés à Internet (piraterie informatique). Évidemment, tous les crimes

film Gomorra, à travers les différents clans.travers leur commerce (illégal en général). De plus, on trouve en bas de l’échelle, les Picciotos, autrement appelé les « gros bras ». Ce sont ceux qui font « le sal boulot » comme les assassinats, les vols, les trafics de drogue, d'armes... Ils ne font généralement pas partis de la famille dont est le Chef suprême. Ces chefs contrôlent les Soldiers (les commerçants...).Ainsi, on constate que la mafia a une organisation qui est tout à fait réfléchie en faveur des

d’instruments financiers ou monétaires (comptes, bons, titres, transfert à l’étranger, services d’investissement, placements, chèques, opérations en bourses…). La provenance des fonds illicites est très variée : trafic de drogue, trafics d’êtres humains (prostitution, réseaux de pédophilie), trafics d’organes, d’animaux, vol, corruption, détournements, abus de confiance, tous revenus ou profits nécessitant un degré de discrétion particulier et élevé. Le blanchiment se caractérise donc comme un processus

  ● L'esclavage   ● La prostitution  ● La mise au travail dans des conditions abominables  ● Le prélèvement d'organes  ● Le crime contre le gré de la personne    Le travail des enfants comporte plusieurs formes :    ● Le  trafic  d'enfants  :  il  consiste  au  recrutement,  au  transport  et  à  l'exploitation des enfants.   Les garçons travaillent dans de grandes  plantations ou du trafic de drogue.  Les filles sont plutôt exploitées sexuellement ou en tant que servante.  ● Les  enfants  soldats 

leur plus grand ennemi. Leurs objectifs à l'origine était de défendre les droits civiques de la communauté issu de Puerto Rico, ils voulaient l'indépendance de cet état. C'est dans les années 1970 et en pratiquants des activités illégales tel que le trafic de stupéfiants que les Latin Kings devinrent en gang de rue redoutable. Les fondateurs de ce gang sont Felix Millet, Nelson Millan et louis « King Blood » Felipe, Le gang se développa ensuite dans le Connecticut, à New-York City puis le reste de

sociale, la pauvreté, la misère, la marginalisation voire l’exclusion de certains segments de la société tels que les jeunes et les femmes, etc. Depuis un quart de siècle au moins, on a vu se développer en Afrique de l’Ouest de vastes réseaux de trafics en tout genre au point que la sous-région est devenue, ces dix dernières années, une plaque tournante voire un sanctuaire pour le crime international organisé. La criminalité transnationale est aujourd’hui l’une des sources les plus pernicieuses d’insécurité

Thème : Exercice de la citoyenneté et de la défense de la nation Les États face à la nouvelle menace I - Criminalité organisée 1/Trafic organisé et cybercriminalité; 2/Les réponses des États II-Terrorisme 1/Les menaces et groupes terroristes; 2/Les réponses des États III - Les nouveaux conflits internationaux 1/Contrôles et sécurités des ressources ; 2/ADM : un nouveau potentiel destructeur 3/La défense de l'État et maintien de la paix

criminels dans ce cas est presque sans limite ! Le blanchiment d’argent est une des criminalités les plus complexes. Elle fait appel à des procédés financiers compliqués. Ce processus est étroitement lié à d’autres formes de criminalités comme le trafic de drogues, la prostitution, …, ce qui touche une grande partie des populations mondiales. Le but de ce travail est de présenter les aménagements effectués par divers organismes afin de tenter de lutter efficacement contre ce fléau. 1. Généralités

importantes qui permettraient de venir à la rescousse des banques en faillite. L’argument économique se fonde aussi sur une logique déficiente: toute économie réalisée dans le contrôle des drogues (réduction des dépenses au titre de la répression du trafic de drogues) se traduirait par une augmentation beaucoup plus importante des dépenses de santé (en raison de l’explosion de la consommation qui en résulterait). La leçon à en tirer, c’est qu’il ne faut pas légaliser des opérations pernicieuses sous

développement pour le milieu criminel. L’activité des organisations criminelles de type mafieux tend toujours vers la réalisation de profits pécuniaires. Au nombre des activités qui sont sources de profits pour ces groupes, on peut compter entre autre le trafic de substances illicites, les drogues mais également tout autre biens ou marchandises dont la circulation est réglementée ou interdite, ces biens étant considérés comme plus ou moins dangereux selon les époques. La prohibition de l’alcool, qui fit