Tragique L étranger

La condition humaine et les rapports familiaux dans « Fin de partie » Dans « Fin de partie » Beckette priviligie le thème de la condition humaine basée sur le tragique de l’existence. Dans cette pièce le dramaturge exprime son angoisse par rapport à un monde absurde dans lequel l’homme se trouve délaissé, abandonné et vit au milieu de sa propre solitude (personnages seuls moralement, pas physiquement). De cette façon Beckett met l’idée de l’absurde au coeur de la pièce pour mettre en relief

« maloum »… La cruauté semble être récurrente dans le texte, amplifiant le chaos, lui donnant une violence d’autant plus forte. 2- La décadence de Rome : une décadence presque tragique - Cette violence qui se déchaîne contre les Romains est soulignée par un paradoxe. On constate en effet la reprise, assez étrange, du verbe " crevit" (cresco) : ce verbe caractérise d’abord la res publica (l. 1), puis le cupido pecuniae et imperii (l. 8). On le retrouve encore l.16 : haec primo paulatim crescere

quasi « maternelle » que Phèdre fait l’aveu de son amour, cet amour indicible qu’elle cache depuis si longtemps. Mais dans quelles mesures l’expression de l’amour interdit que Phèdre voue à Hyppolite fait elle de ce passage une tirade véritablement tragique à l’image de ce que doit être une tragédie exemplaire? Pour y répondre, nous étudierons les manifestations de la passion interdite de Phèdre puis l’inexorabilité de cet amour et enfin nous expliquerons la qualité exemplaire de cette tirade dans

nous procure une sensation d’étrangeté et de malaise que nous allons étudier. Dans une première partie, nous étudierons cette scène d’exposition peu conventionnelle et dans une seconde partie, l’absurdité de cet extrait jouant sur le registre tragique. Dans une scène d’exposition traditionnelle, on retrouve la présentation du cadre spatio-temporel, des personnages, des liens qui les unissent. Dans notre extrait, la scène d’exposition n’est pas traditionnelle. En effet, elle ne répond pas

Camus Les personnages en bref : Meursault est un employé de bureau à Alger. Il mène une existence médiocre limitée à la répétition mécanique des gestes quotidiens et à la recherche de sensations très primitives. Il vit dans une sorte de torpeur, une étrange indifférence. Au moment d’agir, de choisir entre deux activités, il dit souvent : « ça m’est égal ». Il représente l’homme avant la prise de conscience de l’absurde de l’existence, mais préparé déjà à le découvrir. Il se comporte sans illusion et

Langues et littérature française TDPhillipe Soupault est un auteur ayant été exclu du surréalisme en 1926. Le roman Les dernières nuits de Paris est publié en 1928. Officiellement, il ne fait plus partie du mouvement lorsqu’il écrit le roman mais considère qu’il possède une liberté, une autonomie.Soupault est une personnalité très libre ; le roman fait à la fois partie du surréalisme, il s’en revendique mais prend en même temps ses distances avec le mouvement. Déjà le fait d’écrire un roman est

s'etablie pas entre les deux personnages. tx1: dans l'etarnger, de Baudelaire, c'est a un dialogue entre deux hommes auxquelles nous avons affaire, deux hommes, qui, jusu'a lors ne se connaissent pas, l'un tente éperdument, d'interroger le denomé "étranger" au sujet de ce qu'il aime, de ce qui l'anime dans sa vie, l'étranger coupe toute discussion, il réponds négativement et un temps soit peu sarcastiquement a l'homme en face de lui, l'homme enchaine ses questions, varie dans les domaines, les sujets

l’enfant est associé à un oiseau, ici un « moineau » du fait de sa petite taille et de sa légèreté vive. L’image met en avant la taquinerie qu’il pratique sur ses adversaires, les « chasseurs ». La métaphore « c'était un étrange gamin fée. » : la métaphore illustre le caractère merveilleux, presque surnaturel, de Gavroche. La « fée » évoque la magie du monde des enfants. Attention : « On eût dit le nain invulnérable de la mêlée

déchus, ou de modestes gens. Le roman comique III. les histoires tragiques. Parallèlement se développent les histoires tragiques, sortes de nouvelles qui, contrairement aux délicatesses de la préciosité, mettent en scène des actes atroces, cruels ou diaboliques, prétendument réels. Elles se distinguent par leur brièveté et leur violence. Les maîtres du genre sont François de Rosset avec « Les Histoires mémorables et tragiques de notre temps » et Jean-Pierre Camus qui se présente comme témoin et

textes étudiés du corpus, ces auteurs abordent des thèmes sérieux de leurs époques. En effet, Molière dans son Dom Juan, traite de l'honneur, du père, de Dieu ou encore du plaisir. Le personnage central de Molière, qu'est Dom Juan, est un personnage tragique. Il ne vit que pour le plaisir et les relations éphémères humaines, l'empêchent d'aimer réellement. C'est un homme seul, auquel on reproche ses éternelles trahisons, même Sganarelle se permet de le juger. Il ne croit en rien. L'honneur, le Ciel et