Train Poème Modernité

Une poésie élégiaque A- Un texte mélancolique B- Thème élégiaque ( mort, fuite du temps ). Le choix poétique de l'automne A- La richesse et la beauté B- La conception du Temps Après la célébration de la célébrité et du monde urbain le poème automne malade nous transporte dans un univers naturel avec un thème souvent évoqué par les poètes mais par son écriture et le regard qu'il porte sur le monde autour de lui, Apollinaire revisite se thème traditionnel. On remarque que l'on est dans

"Zone" est le poème liminaire de l'oeuvre mais il a été le dernier écrit de l'oeuvre. Il aborde des thèmes aussi divers que l'éloge de la modernité des années 1900, le monde ancien et la religion . Marginalité : zone = bande de terrains vague qui entourait les fortifications de Paris ; lieu de marginalité sociale (cf sens moderne du mot) ; poème en marge du recueil Alcools ; poésie en marge de la poésie traditionnelle. Zone renvoie justement à des lieux inexplorés. En quelques sorte un poème autobiographique

aussi dans le futurisme du début du XXe siècle qui rejette la tradition et exalte le monde moderne et urbain· Long poème publié en 1914· L’extrait est l’incipit du poème · Dans ce poème, le poète se remémore son voyage pendant la Révolution russe de 1905 et une jeune prostituée, Jeanne, l’accompagne · Modernité poétique du poème : usage de vers saccadés (rappel du mouvement du voyage en train), évocations prosaïques coupent avec le lyrisme traditionnel · Ses voyages inspirent profondément sa création

Fiche synthétique d’Alcools, Guillaume Apollinaire, 1898-1913Œuvre étudiée : Alcools, poésie. Parcours associé : Modernité poétique ? En quoi consiste le parcours ? – · Ce parcours proposé pour étudier cette œuvre, mis sous forme de question,  suggère, plutôt qu’il affirme son appartenance à la modernité poétique  en raison de la présence du point d’interrogation. Comme esquissé précédemment, Apollinaire se place à cheval entre monde ancien, sources d’inspiration

Télévisions elle se livre « Il faut qu’on parle des volcans / Ce fut sublime de grandir au milieu des géants aux gueules grandes ouvertes » on le remarque par plusieurs allusion à celle-ci avec le poème « LES VOLCANS » ou «A VENDRE », les rails de train pour le voyage et en référence à son poème « LE TRAIN » puis le soleil et la lune pour symboliser le jour et la nuit des thèmes aborder par l’auteure, exemple « NOS NUITS » . Pour illustrer avec une musique j’ai directement pensé à « La Quête »

Introduction C'est le dernier poème de la série Paysages belges. Il se présente à nous comme une sorte d'énigme visuelle : nous voyons d'abord et nous comprenons ensuite ce que nous voyons. Suivre l'ordre du texte est ici essentiel, car toute l'habileté de composition de Verlaine consiste à présenter les effets avant les causes, à retarder l'explication et à ne donner la clé qu'au début de la troisième strophe. I. Le paysage-énigme • Vers les prés... Où sommes-nous ? Vers indique une proximité

Introduction C'est le dernier poème de la série Paysages belges. Il se présente à nous comme une sorte d'énigme visuelle : nous voyons d'abord et nous comprenons ensuite ce que nous voyons. Suivre l'ordre du texte est ici essentiel, car toute l'habileté de composition de Verlaine consiste à présenter les effets avant les causes, à retarder l'explication et à ne donner la clé qu'au début de la troisième strophe. I. Le paysage-énigme • Vers les prés... Où sommes-nous ? Vers indique une proximité

de France écrit par Cendrars en 1913. Ce poème bien que le titre dise l’inverse n’est pas écrit en prose. C’est un poème en vers libre. Dans ses 446 vers dont nous n’étudierons que les 23 premiers, il fait allusion à son séjour en Russie et revient sur cette période de sa vie. Dans le poème il prend le Transsibérien, un train traversant toute le Russie de Moscou à Vladivostok. Nous ne savons pas si Cendrars à réellement pris ce train ou non. Ce poème est donc largement autobiographique et Cendrars

description de l’œuvre 1. Un paysage urbain Le premier plan est constitué par l’intérieur de l’appartement avec l’homme au double visage vu de profil, la chaise au dossier fleuri et le chat sur le rebord de la fenêtre. Au deuxième plan, on voit un train à l’envers et un couple semble flotter dans les airs, horizontalement. À l’arrière plan, la ville avec ses immeubles et la tour Eiffel. Le paysage est vu depuis la fenêtre de l’appartement. C’est la tour Eiffel qui permet d’identifier la ville. Elle

ouvrages les plus représentatifs de la modernité du début du XXe siècle. D’une part, sa présentation dans l’édition originale a de quoi surprendre : il s’agit d’un dépliant de 2 m de haut qui juxtapose au poème, imprimé dans une typographie polychrome et désarticulée, une composition picturale que son chromatisme et son cinétisme vibrants accordent à la course du train et à la violence du contexte guerrier. D’autre part, le récit qui sert de prétexte au poème est un récit lacunaire, dont la linéarité