Traite arabe

communication écrit ou oral entre les Maghrébins. Évidemment, entre cet objectif légitime et entre la capacité du système éducatif à produire de vrais arabisants, se posent des problèmes d'apprentissage qui peuvent être à la fois propres à la langue arabe elle-même, mais aussi à la langue de support qui est la langue française. Celle-ci après avoir été longtemps enseignée dès le cours préparatoire dans les trois pays, ne l'est plus qu'à la 3ème ou 4ème année élémentaire. Cela veut dire que malgré tout

L’attentat de Yasmina Khadra. Ce roman noir saisissant, bouleversant même, nous plonge au cœur d’Israël, et conte l’histoire d’Amine Jaafari. En voici un aperçu : Amine est un chirurgien dont les compétences ne sont plus à prouver, Amine est Arabe, mais naturalisé Israélien, Amine est marié à Sihem, une jeune femme dont il est raide amoureux et qui incarne ses rêves les plus chers. Tout va pour le mieux lorsqu’un attentat suicide a lieu dans un restaurant en ville, engendrant la mort de dix-sept

avec les colporteurs), aucun apport de vocabulaire, sinon des mots isolés… (139) La question du nom de peuple, notamment à travers la série chaoui, chaouia, est posée rapidement. C’est une dénomination arabe et non berbère, qui désigne des fabricants de paniers : « pourquoi avoir adopté un nom arabe pour servir d’identité à des gens qui, de tout temps, ont parlé le berbère ? ». Cette question peut paraître secondaire, elle est pourtant centrale et nous allons voir qu’une réflexion de ce genre nous

Paul-Émile-Victor – Île de la Jatte 92521 Neuilly-sur-Seine Cedex www.michel-lafon.com Visuel de couverture : © Gilles Legleye ISBN : 978-2-7499-1946-1 Si ta maison est en verre, ne lance pas de pierres ! Proverbe arabe – Introduction – Il y a quelques années, un intellectuel arabe, attaché aux droits de l’homme et volontiers critique à l’égard du Qatar, est interpellé par un responsable de l’émirat, avant d’être interrogé sur la chaîne de télévision Al-Jazeera à Doha. — Vous savez, lui déclare

différentes particularités du Hezbollah. Enfin dans un second temps, nous parlerons des alliées du Hezbollah, leurs intérêts communs et la situation actuelle au Liban. L’ETAT LIBANAIS I - Situation géographique du Liban Le nom du Liban (en arabe Loubnan), qui signifie blanc en araméen, est celui de sa montagne, qui se différencie des pays voisins par sa particularité climatique et végétale. Son emblème est le cèdre d’où son appellation : pays du cèdre. C’est un petit pays de 10 400 km² au

deux pays une zone d'influence en Ethiopie (13 décembre 1906). Deux ans plus tard, à la suite des entretiens de Reval entre Nicolas II et Edouard VII, la Russie et l'Angleterre faisaient cause commune en vue d'un dépècement de la Turquie. Le monde arabe se sentait de plus en plus isolé et assistait avec amertume à l'affaibli ssement d'année en année du sultanat. L'idée se faisait jour de reprocher aux Ottomans d'avoir usurpé le califat à leur profit et un courant allant du Hedjaz à l'Algérie prônait

Djagara au pouvoir à Goulfey et les années 1918, 1926 et 1927 qui marquent respectivement la naissance de Ahmed Kotoko, Ali kotoko et le décès du Sultan Djagara, le Logone et Chari, en ce temps là est en majorité peuplé de groupes ethniques Kotoko et Arabe-Choa. a- Organisation et paysage humain de la région A l’aube de l’année 1900 qui coïncide avec la mort de Rabah, la configuration de la région du Lac Tchad et surtout du pays Kotoko va prendre un autre tournant. Le phénomène de métissage, comme

touristique , l'une des plus vieilles villes encore habitées , avec de nombreux vestiges historiques. Son économie dépend énormément du tourisme. La Jordanie est un état musulman (sunnite) on y pratique un Islam modéré. Comme tout les pays typiquement arabe, la population est chaleureuse, amicale et accueillante. Les Jordaniens pardonnent volontiers les étrangers qui transgressent les règles de la bienséance. Mais les visiteurs qui s'efforcent de respecter les coutumes locales gagneront sans aucun doute

le Kitab-al-Fihrist qui, d’après sa brève préface, se veut un index de tous les livres écrits en langue arabe, que ce soit par des Arabes ou des non-Arabes. Il n'existait avant son œuvre que des livres recensant les œuvres poétiques (tabaqat). Abu Muhammad Ibn al-Baitar (ou Abu Muhammad Abdallah Ibn Ahmad Ibn al-Baitar Dhiya al-Din al-Malaqi) (ابن البيطار) est un médecin et botaniste arabe, né vers 1190[1] à Málaga et mort en 1248 à Damas. Il étudie auprès de Abu Bakr Ahmad an-Nabati à Séville

entretient de l’identité. La langue, dans la triple réalité qu’il revêt au Maghreb, maternelle, arabe ou française, peut être considérée comme le noyau autour duquel se constituent les ensembles culturels à partir desquels s’élabore la synthèse en cours. Si on envisage la dynamique qui traverse cette culture, on est conduit à constater qu’elle s’établit par rapport à trois pôles : l’ethnie, la nation arabe – umma -, et la nation moderne, qui ne sont pas sans rappeler la triple référence linguistique