Tranchée Survie

parenthèses. Mouvement descendant entre le premier et le deuxième chapitre : des sommets à la tranchée ; de la vision de la guerre à la guerre elle-même « dans la terre ». Le deuxième chapitre file la vision puisqu’il commence par une description apocalyptique du paysage où le thème du déluge est présent. CHAPITRE II : DANS LA TERRE Situation 1 an et demi après le début de la guerre, tranchées, dans le Nord-Est de la France. Personnages Les Membres de l’escouade qui appartiennent à la

nouvelle stratégie Vient ensuite la guerre de position : Les combattants creuse de longue tranchées sur plusieurs kilomètres en zigzague de sorte que l’artillerie ennemie ne puisse pas toucher les tranchées de façons régulière. Au début les soldats construisent ces tranchées a la hâte car il pense qu’elles ne seront que provisoire mais en réalité elles serviront jusqu'à la fin de la guerre. Entre deux tranchées ennemies se situe le « no man’s land » : c’est une grande étendue plate et boueuse remplie

* Cette souffrance parait cependant consentie : les soldats connaissent les dangers, l’auteur utilise le mot « sacrifice », (l.7). Ce qui n’empêche pas les interrogations sur les raisons de la survie (l.3), sur l’avenir. La grande majorité des soldats a combattu avec courage, motivés par leur survie mais aussi par le patriotisme, ou le simple besoin de venger les camarades. Mutineries, désertions et exécutions sont restées rares. . * Les combattants trouvent un secours dans le maintien

Et ici, la tranchée est toute foudroyée. Avec ses murs blancs écroulés, elle semble en cet endroit l’empreinte vaseuse, amollie d’un fleuve anéanti dans ses berges pierreuses, avec, par places, le trou plat et arrondi d’un étang tari aussi... Henri Barbusse, Le Feu, Flammarion, édition 1957, p. 323 * e Edmond Vittet4, en 1916 Cher Joseph
Article inédit : sentimental… Garde le souvenir précieux des poilus. Ton ami qui te serre.

Edmond
Le poilu, c'est celui que tout le monde admire, mais

mois avant sa fin,soit la signature de l'armistice. Géographique : Le film commence dans l'Allemagne même à l'école puis au camp d'entraînement et plus tard quand Paul sera en permission,mais il se passe aussi à l'ouest de l'Allemagne dans les tranchées et les hôpitaux. Le titre « A l'Ouest Rien de Nouveau » signifie que ce film se déroule à l'ouest de l'Allemagne et que des 2 cotés opposés rien ne change,toujours autant de morts,de violence,d'horreur. Sociologique : Le narrateur est le personnages

Au front, les combats sont violents, meurtriers et difficiles dans les tranchées ou lors des grandes offensives. La première guerre mondiale est aussi une occasion pour moderniser les armes, les moyens de transport… C’est à cette époque que les gaz toxiques sont apparus, ainsi que de nouvelles armes encore plus meurtrières, les premiers avions sont destinés à repérer les tranchées ennemis… Les conditions de combats, et de survie des soldats sont très difficiles : boue, rats, froid, manque de nourriture

début du récit. Où se déroule-t-il ? A quelle époque ? (2 points) A quelles réalités sont confrontés Paul, Kropp et Kat lors que leur arrivée sur le front ? Quelle est leur réaction ? Détaillez. (2 points) Décrivez les conditions de vie dans les tranchées. (2 points) Dressez le portrait moral Paul Bäumer. Quelles sont ses principales caractéristiques ? Décrivez son évolution au cours du récit. Quelle est son interrogation principale ? (2 points) Comment Paul décrit la guerre ? Détaillez. (2 points)

inférieur du tableau). Mais en quoi ce tableau retrace-t-il les évènements de la Première Guerre Mondiale ? Ce triptyque représente le front de cette bataille. Nous verrons en dans un ordre chronologique le départ à la guerre, puis la vie dans les tranchée, ainsi que les soldats qui vont à l’assaut et pour finir la mort. Ce tableau met en scène en quelque sorte la journée d’un soldat sur le front, mais qui amène à un cercle vicieux de la bataille qui finit inéluctablement par la mort. Suite à l’attentat

passage l’auteur veux dénoncer la perte d’humanité des soldats, bien que le narrateur a tué un français pour la 1er fois, le geste assassin de ce dernier étais presque un réflexe.Ce n’est plus un combat entre deux camps, mais un combat pour sa propre survie. Histoire des arts – arts du langage – programme pour l'oral du DNB Une guerre comme celle qui éclate en 1914 et s'achève en 1918, on n'en avait jamais vu. De façon spontanée, un nom lui est donnée : la Grande Guerre. Jamais autant de pays ne

dire qu’elle est aussi présente face aux personnages. 4 Description Sur le tableau, il y a trois hommes proches d’une mitrailleuse. Leurs visages sont cachés. Ils se ressemblent et son « collés » les uns aux autres. Ils se trouvent dans une tranchée. Le haut de la peinture est clair, il s’agit du ciel. Des fils barbelés bloquent l’accès visuel direct à celui-ci. ① L’homme au centre du tableau tient la mitrailleuse de sa main droite. Elle est chargée de cartouches. Il regarde dans la même direction