Tranchée Survie

vécurent 4ans d’enfer. En effet, la vie dans les tranchées était terrible. On y redoutait le froid, la faim, l’humidité, les « rats », la boue, le « vacarme » (document 1a). Le ravitaillement étant difficile, la nourriture, les vêtements ou encore les produits d’hygiène y manquaient cruellement. Les conditions sont déshumanisantes, et propices aux maladies. La survie y est très difficile, le confort inexistant. 900 soldats meurent chaque jour, dans les tranchées ou lors des assauts. Les combats sont violents

elle paraît éclairer en priorité le cadavre pourrissant et accueille les soldats montant au front. Dans cette œuvre, Otto Dix utilise principalement des nuances de brun et de rouge. La couleur dominante est le brun, brun de la terre, des tranchées, environnement quotidien et unique horizon des poilus. Le peintre choisit le rouge car c'est une couleur organique, celle du sang, mais aussi pour sa valeur symbolique. En effet, dans notre culture, le rouge symbolise la violence et la mort.

évoque principalement les conditions de vie des soldats durant la première guerre mondiale, les tranchées et la nourriture sont souvent abordées dans le livre. On y voit aussi le nouvel état d’esprit des soldats. Au début de la guerre, il partait avec bonne humeur, des rêves pleins la tête, mais la guerre s’empressé de leur ôté leur innocence, leurs espoirs, pour laisser place à leur instinct de survie et à la souffrance. Il y a aussi le thème de la camaraderie. Paul Baümer fait partit d’une petite

à l’histoire, on n’en peut faire impasse. Elle est évoquée dès le premier vers de manière explicite. En effet, Apollinaire se plait à nous donner les détails relatifs de la vie des soldats et en particulier de la survie dans les tranchées, « ma Lou, je coucherai ce soir dans les tranchées ». Les expressions qui s’y rapportent marquent la descente, « piochées », « troglodytes », « trous », « descendrai ». Nous n’avons cependant ni dénonciation, ni exaltation, ni registre polémique, pathétique ou épique

situations par le biais de spectacles, d’articles ou de livres est aussi primordial à la survie. Enfin, rire ne signifie pas s'incliner devant le respect que telle ou telle circonstance prétend imposer mais c’est un moyen de résistance qui exclue les tortionnaires. Première partie D’une certaine manière, rire dans des situations telles que les camps de concentration pendant la seconde guerre mondiale ou les tranchées en 14-18, a permis à ces hommes et ces femmes de survivre. L’engagement de cinéastes

brun de la terre des tranchées, environnement quotidien et unique horizon des poilus. - La touche : elle est très lisse, on ne peut distinguer les coups de pinceaux. Cet effet est dû à la technique utilisée (tempera et glacis). L’absence de perspective ne permet pas au spectateur de poser son regard, de s’offrir un moment de repos, l’horreur est partout. On voit un paysage apocalyptique où un soldat, le visage recouvert d'un masque à gaz, demeure seul vivant dans une tranchée effondrée, près d'un

propre vécu (tout comme Paul il s’engagea et sa mère mourut d’un cancer) pour raconter cette histoire en pas moins de 219 pages. A travers Paul Bäumer, un jeune soldat volontaire Allemand, Remarque décrit la « DER DES DERS » de l’autre coté des tranchées Français. On dévore les mots au fur et à mesure, ce qui nous permets de se faire une autre opinion sur ces courageux Hommes, soumis à un bourrage de crâne patriotique. Qui ont donné leur vie pour la patrie. « Ne perds jamais ton ignorance, tu

brutalité de prendre plaisir à tuer. Lorsqu’au cours d’un coup de main, nous rampions vers l’ennemi, le couteau entre les dents […] la peur nous tenait aux entrailles et cependant, une force inéluctable nous poussait en avant. Surprendre l’ennemi dans sa tranchée, sauter sur lui, jouir de l’effarement de l’homme qui ne croit pas au diable et qui pourtant le voit tout à coup tomber sur ses épaules ! Cette minute barbare, cette minute atroce avait pour nous une saveur unique, un attrait morbide, comme chez

précise et relativement peu efficace. * Révolution avec l’apparition de la mitrailleuse Gatling au XIXème siècle aux USA. Une seule de ces mitrailleuses tire aussi vite que 100 hommes alignés. Ces mitrailleuses Gatling sont installées dans les tranchées allemande => hécatombe dans les rangs de l’armée française. * En réponse la Triple entente fabrique la mitrailleuse Lee Enfield, produite à plus de 6 milliards d’exemplaires et surtout les chars d’assaut. => 1916 Renault + de 4000 chars d’assaut

le temps, il en résulte qu’il y aura par la suite une guerre d’usure notamment avec une expérience combattante spécifique aux tranchées. La première Guerre Mondiale a donc été longue et difficile. A partir de 1915, c’est une guerre de position qui commence. Elle est particulièrement caractérisée par les tranchées. Dès lors, les armées s’enterrent dans les tranchées, où les soldats vivent et combattent dans des conditions épouvantables. Aucune tentative de percer le front adverse ne réussit