Transcendantal

Éthique de médias Faisant de la vérité ainsi que de la beauté, le résumé des transcendantaux évoqués dans le premier chapitre, nous en sommes finalement à leur application dans les médias. Cependant pour franchir les mûrs de médias où son domaine privé ayant ses propres critère d’évaluation de la vérité et de la beauté, nous avons prévu proposer d’abord l’Éthique et l’esthétique des médias c'est-à-dire cette éthique et esthétique appliquée traitant les principes et les normes moraux spécifiques

regroupement de personnes.  Ce corpus de documents amène à une problématique commune : comment définir  une génération ?  Pour répondre au mieux à cette problématique il convient de développer un plan  qui  traitera  dans  une  première  partie  le  phénomène  transcendantal  de  la  génération.  Puis  dans  une  seconde  partie  par  un  mouvement  sociale  et  pour  terminer  par  une  troisième partie sur la pluralité des individus.      Une  génération,  comme  le  souligne  Frédéric  Gaussen,  peut  être  identifiée 

et parcouru par Aron, dans l’Introduction à la philosophie de l’histoire, est celui qui, en partant des formes les plus simples de la compréhension, arrive donc, non pas à une méthodologie(école méthodique) de l’histoire, mais à une « théorie transcendantale de la connaissance historique », laquelle a pour conséquence le dépassement à la fois du déterminisme nécessaire promu par le sociologue et de la singularité de l’événement mise en avant par l’historien En définitive, ce qu’il faut

1) Au niveau de l’objet d’étude comme le souligne Auguste COMTE avec sa loi des 3 états du développement de l’esprit humain. Si la religion prétend répondre à toutes les questions ( Pourquoi? Pour quoi ? et Comment?) et concerne le champ du transcendantal (le Bien, le Vrai) et du métaphysique aussi bien que le physique, la science ( ou l’esprit positif) ,elle, se contente de traiter la question du comment? et d’en rester au plan de l’immanent. Ce que cherche la science, ce sont les loi effectivess

de distinguer lui même d'autrui et du monde en général. Elle est unique à l'homme puisqu'elle est ce qui lui donne la possibilité de rapporter tout ce qui se fait en lui à un 'moi' unique, ce que les autres vivants ne peuvent pas faire. Le 'je transcendantale', c'est à dire l'aptitude de parler de soi même, de réfléchir sur sa propre personne est ce qui fait que le sujet est un Homme, et pas seulement un individu, et cela le distingue très clairement des animaux et des végétaux. Et c'est grâce à cette

Emmanuel Kant (Immanuel en allemand) est un philosophe allemand, fondateur de l’« idéalisme transcendantal »1. Né le 22 avril 1724 à Königsberg, capitale de la Prusse-Orientale, il y est mort le 12 février 1804. Grand penseur de l'Aufklärung, Kant a exercé une influence considérable sur l'idéalisme allemand, le néokantisme, la philosophie analytique, la phénoménologie et la philosophie postmoderne. Son œuvre, considérable et diverse dans ses intérêts, mais centrée autour des trois Critiques, la Critique

consomme dans un but bien précis (atteindre un objectif, accomplir des besoins, satisfaire des souhaits) : la consommation est donc partout et utilisé à plus moins bon escient. A cette remarque très rationnelle, l’auteur apporte une dimension plus transcendantale en citant « Paradise Lost » dans la préface de son livre. Il oppose la vie paisible du Paradis aux tourments du consommateur qui doit faire face à des obstacles tels que le prix, la moralité ou la déontologie. En somme, l’étude de la consommation

signification du « je » et dès lors, s’il faut envisager une réponse à la question « qui suis-je ? », l’exactitude consistera en une élu- cidation du sens de la conscience de soi comme étant la condition de possibilité (ce qui lui confère un statut transcendantal) de toute repré- sentation. B. La subjectivité se définit comme action Il faut encore comprendre précisément en quoi la réponse exacte à la question « qui suis-je ? » ne peut être une réponse qui propose une connaissance du « je ». Le sujet

: « Aucun Homme n’est tout puissant ». Les Hommes projettent alors un père idéal : Dieu. - Ces discours, d’un point de vue philosophique sont porteurs d’illusion. Être adulte c’est admettre la finitude. - L’illusion transcendantale c’est l’expression dont se sert Kant en 1881 pour qualifier les problèmes dans lesquels la raison s’engage inévitablement dès qu’elle prétend dépasser les bornes de l’expérience (Ex. : l’origine du monde – le monde a t’il un commencement ? Cette

éclairée par la raison ; cette conception de la liberté n'est pas incompatible avec certaines formes de naturalisme. 2. Liberté d'indifférence (voir Libre arbitre) Selon Descartes, c'est « le plus bas degré de la liberté ». 3. Liberté transcendantale : c'est la faculté par laquelle l'individu peut disposer de lui-même et déterminer sa volonté en l'absence de toute contrainte physique, c'est-à-dire indépendamment de la causalité naturelle (chez Kant par exemple). Est dit libre l'homme qui se