Transfiguration

transforme le circonstanciel en éternel. Les poètes sont donc des acteurs idéals de la nature. Ils sont capables de percevoir les correspondances qu’elle contient et de la transformer par leur tempérament. La poésie, comme l’art, permet une transfiguration de la réalité, elle l’aide à échapper temporairement de sa condition de mortel et lui donne une impression d’éternité. La création poétique est l’objet de la transsubstantiation. C'est le poète lui-même qui est comparé a l'alchimiste. Il cherche

est source de travail poétique. CCL : Paul Eluard dresse le portrait de l’amour qui peut prendre plusieurs formes mais une conception de l’amour qui se pose sur la vie elle-même. L’amour a le pouvoir de transfigurer le monde. II. Le pouvoir de transfiguration de la femme aimée. 1) Un nouveau regard sur le monde grâce à un réseau d’images. Dans la deuxième et troisième strophe, le poète décrit le monde « vu » par les yeux de la femme aimée. Le 1er défi est de transcrire de la manière la plus juste possible

rappel de mouvement de la narration (le trajet du regard, Roubaud se substitue au narrateur) -Le narrateur poète : Un monde démesuré, déformé, relevé : verbes actifs Observateur, expérimentateur…et artiste ! (les limites du naturalisme : transfiguration du réel en vision plus personnelle) A qui ? Le lecteur, non repérable, est récepteur privilégié de cette leçon de choses et leçon romanesque. 2) Un tableau impressionniste Tableau : Rappelons que le texte s’organise selon un mouvement

l'histoire dans leur intégralité. La liberté qui renvoie au rejet du système classique des unités et de la bienséance. On voit par exemple le retour des dagues et des épées, ce qui contribua d'ailleurs entre autres au scandale d'Hernani. Enfin, la transfiguration qui se rapporte à l'épanouissement dans la même œuvre de l'individu et de la nature. Une pièce a particulièrement marqué cette période: il s'agit d'Hernani (1830) de Victor Hugo dont une représentation d'Albert Besnard montre la salle juste

plaints, par un mouvement qui est celui de la compréhension et du cœur. Alexandre lui-même n'est pas complètement odieux. Tous prennent place dans un univers sentimental. La poésie de Lorenzaccio est une poésie passionnée. C'est aussi une poésie de transfiguration, par l'effet de cet autre prisme qu'est l'imagination. On peut classer les nombreuses images qui illustrent le texte, selon les critères habituels de fréquence, ton, utilité, écart, nouveauté. On distinguera surtout les images qui semblent jetées

suggèrent les vers 14-15 (« Des sifflets crus [...] hurlent toujours ») et 21 (« les gares folles de tintamarres »). • Il s’agit en somme d’un tourbillon sonore en vase clos. • La seule échappée possible est verticale. III/ La transfiguration visionnaire • Ce monde industriel affreux devient pourtant matière à poésie. 1/ Les métaphores • Elles favorisent la transposition du réel à la vision. • Elles entraînent la concrétisation du bruit et de l’impalpable

 "Avec cet autre lanage que propose la poésie, celle-ci est-elle selon vous une manière de fuir la réalité ou de s'en approcher ? La poésie est-elle une restitution ou transfiguration du monde ?" La poésie est d'origine un texte chanté avec une lyre, aujourd'hui c'est un genre littéraire reconnu pour la noblesse de ses vers en alexandrins et pour son langage étrange. Ce langage si différent du notre ou les mots sont déraciner afin de mélanger les sens, permet-il de fuir la réalité de

initialement mais il s'est assombri avec le temps. Le manteau se transforme en voûte céleste par l'intermédiaire d'une comparaison b. L’évolution du nom du mendiant "Un pauvre" (vers 1) -> "le vieux" (vers 6) -> "Le pauvre" (vers 12 : rejet donc transfiguration et incarnation de toute la misère) -> "brave homme" (vers 12) -> "Le vieillard" (vers 14) -> Conclusion de Hugo : "cet homme était plein de prières" (vers 24) c. Une métaphore Vers 26 : "Sa bure où je voyais des constellations" - diérèse

comme le suggèrent les vers 14-15 (« Des sifflets crus [...] hurlent toujours ») et 21 (« les gares folles de tintamarres »). Il s’agit en somme d’un tourbillon sonore en vase clos. La seule échappée possible est verticale. III/ La transfiguration visionnaire Ce monde industriel affreux devient pourtant matière à poésie. 1/ Les métaphores  Elles favorisent la transposition du réel à la vision. Elles entraînent la concrétisation du bruit et de l’impalpable. Ainsi les «

François-Xavier 04 V Florent 04 L Jean-Marie, Vianney 04 J Rosalie 04 S Fr. d'Assise 04 M Charles 04 J Barbara 05 S Antoine 05 M Abel 05 V Raïssa 05 D Fleur 05 M Sylvie 05 V Gérald 06 D Mariette 06 M Transfiguration 06 S Bertrand 06 L Bruno 06 J Bertille 06 S Nicolas 07 L Raoul 07 J Gaétan 07 D Reine 07 M Serge 07 V Carine 07 D Ambroise 08 M Thibault 08 V Dominique 08 L Nativité N.-D. 08 M Pélagie 08 S Geoffroy