Transgenese Souris

L'embryologiste chinois Tong Dizhou, fut le premier à cloner un animal (une carpe) en 1963, 33 ans après le professeur Ian Wilmut clone le premier mammifère, Dolly, à partir d'une cellule d'une autre brebis de six ans son aînée. La même année une souris est cloné et ensuite on assiste au clonage d'une vache de cochons de lapins d'un chien d'un cheval etc. Principe Le clonage est la multiplication naturelle o artificielle a lidentique un etre vivant les descendant auron donc le méme génome(l'ensemble

l'acide homogentisique oxydase CO2 + H2O Réaction catalysée par une enzyme Les expériences de transgenèse, qui alimentent depuis quelques années la une des médias, reposent sur l’existence d’une relation directe entre la présence d’un gène dans une cellule et la capacité de cette dernière à produire une protéine. Le dessin du document 2 résume une des étapes ayant permis d’obtenir des souris transgéniques exprimant le gène de l’hormone de croissance humaine HCG. Cette protéine est normalement

moléculaire / Genetics and molecular biology Inactivation du gène codant pour la synthèse d’allergènes de souris et mise en évidence des impacts sur les réactions allergiques du personnel de laboratoire. Margaux Denis, Université Pierre et Marie Curie, 75005 Paris, France[1] Résumé Certaines personnes qui travaillent dans des laboratoires de recherche développent des allergies aux souris pouvant se manifester par divers troubles respiratoires ou cutanés plus ou moins handicapants pour leur

à l'origine des gamètes). Ce processus a permis par exemple de sélectionner et de multiplier des plantes qui résistent à la sécheresse ou à un herbicide comme le Roundup (OGM). De plus, par clonage et hybridation, on peut maintenant produire des souris ou autres animaux qui développent des organes humains qui pourront servir dans le cas de greffes. Il est aussi possible de développer des animaux capables de produire naturellement de l'insuline afin de lutter contre le diabète. Ce système permet

utilisée pour la transgénèse |I |Saisir des informations |II – L’ADN est le support universel de l’information génétique. | | |20 |(Lister les savoir-faire nécessaires à la transgénèse. | | |Relation entre acquisition d’un nouveau caractère par transgénèse et | | |TP |(Exploiter des résultats d’expériences de transgenèse pour en déduire

aux chercheurs d’établir une cartographie du génome. Elle ouvre aussi la voie au développement du génie génétique en permettant la « manipulation » in vitro de gènes. Les premiers OGM sont des bactéries transgéniques. La première tentative de transgénèse en 1972, consista en l’intégration d’un fragment d'ADN d’un virus cancérigène, dans le génome de la bactérie E. Coli. Cet essai avait pour objectif de démontrer la possibilité de recombiner, in vitro, deux ADN d'origines différentes. Or, ces bactéries

à "restaurer" cette vitamine dans le grain, ce qui donne la couleur dorée au riz.  On peut également modifier des plantes pour modifier leur teneur en matière grasse.    2°) Les animaux   Le premier animal génétiquement modifié était une souris géante, en 1982. Contrairement aux plantes, on parle très peu des animaux génétiquement modifiés, probablement pour des problèmes d’éthique. Mais des expériences ont tout de même lieu en laboratoire, principalement pour modifier les animaux afin

inséré un ou plusieurs gènes étrangers dans son ADN. Un OGM est donc un organisme dont on a modifié le matériel génétique par une technique dite de « génie génétique » pour lui conférer une caractéristique nouvelle. Cette opération s’appelle la « transgénèse ». Elle produit de nouveaux organismes vivants et autorise donc toutes les combinaisons imaginables. La transformation génétique peut-être effectuée sur de nombreuses espèces végétales depuis les céréales jusqu’aux légumes ou aux arbres. En tout

fonctionnement. II- La relation gène-phénotype A/ Mise en évidence de la relation gène-phénotype La transgénèse consiste à insérer un gène d’un individu au sein des cellules d’un autre individu (éventuellement d’une autre espèce). Les cellules receveuses expriment alors le gène et l’individu acquiert un nouveau phénotype : exemple insertion du gène de la fluorescence des méduses dans les cellules d’une souris. L’individu receveur est appelé “organisme génétiquement modifié”. Ces expériences prouvent que

Mendel qui définit ainsi les termes de génotype et phénotype. En 1883, August Weismann (1934-1914) postule l'existence d'un support matériel de l'hérédité. En effet Weismann est surnommé « l'homme qui coupait la queue des souris » car lors de travaux menés sur 22 générations de souris blanches, il montra que les caractères acquis ne se transmettaient pas lors de l'évolution. Dès 1910, Thomas Hunt Morgan, qui étudiait des générations de drosophiles, développa la théorie chromosomique de l'hérédité. Il