Transmigration des âmes

faire un très étrange usage du mot homme que de l’appliquer à une idée dont le corps et la figure seraient exclus. Et cette façon de parler s’accorderait encore plus mal avec les conceptions de ces philosophes qui admettent la transmigration de l’âme, et sont d’avis que les âmes des hommes peuvent, pour punition de leurs fautes, être introduites dans des corps de bêtes comme étant la résidence qui leur convient, avec les organes propres à la satisfaction de leurs instincts bestiaux. Mais je ne pense

Nerval va recourir à une interprétation métaphysique et ésotérique. Il ne doute pas que Aurélie puisse être un avatar, une incarnation de Adrienne (lien avec • • • • • Platon est la transmigration des âmes). On est ici dans un temps cyclique, le temps du recommencement, à intervalles réguliers les âmes resurgissent. ! cf poème de Nerval → mémoire particulièrement extensive qui peut remonter jusqu’à 200 ans précédent l’existence de Nerval. ! «Nous pensions être au paradis» → Temps mythique

de leur vie. Chandala, Paria, Harijan : ils ne viennent de rien du tout, ce sont de hors castes. Les Shudra et les Paria servent les trois castes du dessus. L’âme des indiens transmigrent de notre corps ou de nos fonctionnement = Samsâra  transmigration des âmes. La valeur des actions est le Karma. Moksha : libération du cycle des renaissances successives. En fonction d’actions positives, on peut envisager une libération, une lueur d’espoir. Pour se libérer du cycle des renaissances, il y a a 2 possibilité :

appris. Platon, Ménon,81 c Par conséquent, la connaissance ne serait qu’un souvenir, anamnèse, une sortie à la lumière ce qui était depuis toujours présent dans l’âme. Cette doctrine de la connaissance, fondée sur la croyance en la transmigration des âmes, ne peut manquer de rappeler la doctrine orphico-pythagoricienne, ainsi que la maïeutique pratiquée par Socrate. Les notions que nous possédons, dit Platon dans le Phédon, sont exactes, précises, et ne peuvent donc pas procéder de la connaissance

bas dans la nature, c'est-à-dire à l'emploi de remuer la matière. Mais comme tout est lié dans la nature, que les sentiments spirituels produisent des mouvements dans les corps vivants, que les mouvements des corps excitent des sentiments dans les âmes, on ne peut avoir recours à cette supposition pour établir ou pour défendre le culte religieux. Nous ne voulons qu'en conséquence de la perception des objets qui se présentent à nous ; les perceptions ne nous viennent qu'à l'occasion du mouvement excité

aux enfers consulter Tirésias, il veut parler aux défunts dont il était proche et notamment à sa mère : or, ca n’est plus qu’une manifestation fantomatique, alors qu’il espérait l’embrasser. Problème : il y a bien une sorte de subsistance, mais ces âmes n’ont pas la substantialité de la vie. L’âme a en quelque sorte la nostalgie du corps. b) L’acte et la Puissance Aristote : théorie de l’Idée de l’Ame : « l’âme est en définitive l’entéléchie première d’un corps naturel ayant la vie en puissance

d’imiter et ce pouvoir s’étant à toutes les réalités humaines comme divines. La question est alors de savoir ce qu’il faut imiter dans la poésie — et que le poète semble reprendre à son compte — et ce qu’il faut simplement rapporter. Car les jeunes âmes pâtissent de l’imitation sans pouvoir la critiquer : “Le jeune homme n’est pas encore capable de discriminer entre ce qui est intention cachée et ce qui ne l’est pas : en revanche les impressions qu’à son âge il reçoit dans ses opinions tendent à devenir

frontière qu’est la Mésopotamie. Le dernier empire transcardinal est celui d’Alexandre. Les deux points cardinaux vont ensuite évoluer de façon différente au service de leur idéal respectif. A l’est, la libération de l’homme de ses désirs pour la transmigration des âmes en dehors de l’illusion du monde ; à l’ouest, l’action et le progrès pour rendre l’homme libre de réaliser ses désirs, et atteindre le Salut. le coût de défense des « cœurs » détermine leur survie. lorsque deux puissances se battent, un

tragédie ; on y joue sa propre passion ». Lamy usera d'arguments similaires dans son traité de poétique : « C'est en vain qu'un Poète pretend émouvoir ses lecteurs, s'il ne est disposé auparavant à recevoir les Passions qu'il veut faire naître dans les âmes » (Lamy 1668 : 127), où il développera, tout au long de la seconde partie consacrée à la condamnation du théâtre, une sorte de chimie des mouvements passionnels dont le poète éprouve lui-même la rapidité, la diversité et les contradictions : les passions

chercher le bien des autres avant le siens. Animisme : (du latin, ANIMA , âme) tout possède une âme , un esprit, l’animisme se distingue par le culte des esprits. Ceux-ci peuvent être considérés comme animant les forces de la nature ou peuvent être les âmes des défunts. D’ailleurs dans une même société les deux concepts peuvent coexister, la différence entre le polythéisme et l’animisme, c’est que les dieux sont en nombres limité, alors que les esprits sont innombrables. L’animisme c’est la théorie