Traumatisme cervical

détail de la conscience, ni que la conscience soit une fonction du cerveau. → De cet exemple, Bergson déduit que la pensée est effectivement „accrochée“ au cerveau, elle est bel et bien produite dans le cerveau. Si le cerveau est blessé, suite à un traumatisme cranien par exemple, la pensée peut aussi être altérée. Mais cela ne signifit pas que le cerveau uniquement produise la pensée. Malgré tout, la conscience et l'éthique d'un individu ne dépend pas seulement et uniquement du cerveau. Tout ce que l’observation

danger Opérateur : ouvrier Dangers possible : chute, Situation dangereuse : chute, traumatisme crânien, fracture de la colonne vertébrale. Evènement dangereux : prendre des

DU VICTIMOLOGIE PROGRAMME 2008-2009 LABORATOIRE D’ÉTHIQUE MÉDICALE et MÉDECINE LÉGALE Directeur de l’enseignement : Pr Hervé Christian Coordination : Lopez Gérard, Jehel Louis, Magnier Laurent Avec la participation de l’INAVEM, du CNIDFF et du CFCV Les cours ont lieu 45 rue des Saints Pères 75006 Paris DROIT, ETHIQUE DES PRATIQUES (30 h) Mardi 30/09/08 La bioéthique et l'éthique biomédicale Logique pénitentiaire et logique médicale Les sources du droit Responsable : Dr L Magnier Ch

Partie 1 : Approche clinique A. Sémiologie La névrose post-traumatique est occasionnée par une expérience traumatisante d’une exceptionnelle intensité : choc émotionnel violent, toute situation où le sujet a senti sa vie menacée. Trauma = blessure Traumatisme = conséquences de l’effraction corporelle La névrose traumatique se caractérise par l’installation d’un état pathologique durable et invalidant contrairement aux réactions traumatiques aiguës qui ne durent que quelques jours ou quelques semaines

s’il vient concrétiser une situation préalablement conflictuelle, naturellement ressentie par l’enfant, va officialiser la rupture parentale et consacrer l’éclatement de la famille. La rupture de cette unité biologique et affective est source de traumatismes psychiques chez l’enfant et ce, d’autant plus intensément, qu’il survient à des moments clés de son développement. Dans bien des cas, l’enfant tend à se protéger contre cette situation traumatisante en présentant des conduites réactionnelles pouvant

une restriction extrême de l’autonomie et des possibilités de perception, d’expression et de relation. 7 – Le traumatisme crânien grave Les chocs cérébraux sont des séquelles de traumatismes crâniens graves, qui font suite à des accidents ayant entrainé un choc sévère au niveau de la tête et du crane, caractérisé notamment le plus souvent par la survenue d’un coma. Ces traumatismes touchent surtout des sujets jeunes, le plus souvent suite à un accident sur la voie publique. les séquelles neuro-psychologiques

Le don d’organe permet chaque annee de sauver des milliers de personne. Dans la grande majorité des cas, les donneurs sont des personnes décédées a l’hopital après un traumatisme crânien, un accident vasculaire cérébral ou parfois après un arret cardiaque. Cette forme de mort est appelée mort encéphalique. Ce décès correspond a l’arret irrémédiable de la perfusion sanguine du cerveau, aboutissant a sa destruction, alors que tout les autres tissus sont vivants grâce essentiellement au maintien de

la délinquance juvénile problème du monde moderne Par William C. Kvaraceus unesco La délinquance juvénile \ problème du monde moderne Publié en 1964 par l’organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture, place de Fontenoy, Paris-7e Imprimerie Mame, Tours @U e c nso 18134 MC.BQ/D.66/F Préface L présent ouvrage a été préparé dans le cadre du programme d‘études e de 1’ Unesco relatif aux problèmes que pose l’inadaptation sociale des jeunes.

les chauffeurs de bus suivent un nombre limité d’itinéraires. Une conséquence étonnante de la neuroplasticité est que l’activité cérébrale liée à une certaine fonction peut changer d’emplacement, dans le cadre d’une expérience normale, d’un traumatisme cérébral (AVC) ou d’une récupération post-traumatique.

répétés, qui apparaît souvent de façon soudaine et évolue par paliers. Les déficits cognitifs correspondent à la zone cérébrale lésée. – Démence par infarctus unique ou multiple – Maladie de Binswanger Démence traumatique ou apparentée : – Traumatisme crânien – Hématome sous-dural – Hydrocéphalie à pression normale – Métastases ou tumeurs cérébrales primitives – Démence des boxeurs (dementia pugilistica) Démence infectieuse – Démences liées au virus de l’immunodéficience humaine acquise