Traumatisme médullaire

les sorties extérieures. Il est de nature joyeuse et enthousiaste mais peut aussi s’angoisser facilement. III. Antécédents Suite à son AVP, Mr E. a été en arrêt cardio-respiratoire pendant 6 minutes avec un Glasgow initial à 3. Traumatisme crânien, contusion médullaire, intubation, ventilation artificielle ; Trachéotomie réalisée en mars 1999 ; Arthrodèse sur scoliose en mars 2009 ; Complications suite à l’arthrodèse du 3 mars 2009 : problèmes respiratoires, bronchospasmes, atélectasie, pose d’un

Pathologies banales Épidémiologie :· IMC 70%· Polio 80%· Traumatismes crâniens 50%· Blessés médullaires 60%· Amputés 30%· SEP 55%· AVC 40%· Parkinson

traumatologique fréquente, entrant souvent dans le cadre d'un polytraumatisme. Cette fracture s'accompagne généralement d'un état de choc plus ou moins marqué. Son traitement chez l'adulte est chirurgical.   1.    ETIOLOGIE Cette fracture nécessite un traumatisme violent, essentiellement à la suite d'un accident de la voie publique. Elle survient surtout chez les sujets jeunes. Le mécanisme est soit un choc direct sur le fémur, responsable de fractures transversales, soit indirect, donnant alors plus fréquemment

Au sens stricte, il s’agit d’une paralysie qui touche les membres inférieurs et la partie basse du tronc, portant sur la partie en dessous de la blessure suite à une lésion de la moelle épinière, en pratique elle a quasiment toujours une origine médullaire. Pour la tétraplégie, il y perte de mobilité du tronc, un contrôle faible de la tête et une raideur du corps. Le patient est éveillé, ses capacités intellectuelles sont conservées mais il lui est incapable de bouger ou de s’exprimer. Attention

............. 17 1.4.5. Troubles de la nutrition ............................................................................ 17 1.4.6. Gestion de la vermifugation ..................................................................... 17 1.4.7. Traumatismes ........................................................................................... 17 2. ELEMENTS DE L’EXAMEN PHYSIQUE DE BASE............................................... 18 2.1. Examen ophtalmologique..............................

TETRAPLEGIE A l’issue de cette intervention, l’Etudiant en Soins Infirmiers sera capable de : 1. Définir les termes paralysie, parésie, paraplégie et tétraplégie 2. Citer les symptômes, manifestations des lésions médullaires 3. Citer les causes possibles des lésions médullaires 4. Enumérer les objectifs de réeducation sur les conséquences motrices, sensitives et vésico-sphinctériennes 5. Décrire la prise en charge réeducative urinaire et fécale en connaissant les actions spécifiques infirmières

artériole afférente et efférente. 1 million de néphrons/rein. 4. Les néphrons : - unités structurales et fonctionnelles (environ 1 million/rein) - 2 types de néphrons : corticaux +++ (90%) et juxta médullaires (10%) - lits capillaires +++ - point de vue fonctionnel : élaboration de l’urine et régulation des milieux intérieurs (filtration glomérulaire, réabsorption tubulaire, sécrétion tubulaire) - rattaché à chaque néphron : l’appareil

biologiques La numération formule sanguine : l'hémogramme Les hématies : les globules rouges Norme biologique : 4,5 – 5,5 millions / mm3 Intérêt du dosage : Une baisse peut être liée à une hémorragie, une hémolyse, une maladies hématologiques ou médullaires osseuses, ainsi qu'à un syndrome inflammatoire : Maladies infectieuses. Maladies hématologiques. Cancers. Anémies inflammatoires ou par carence en vitamines. Maladies de l’hémoglobine. Saignement extériorisé. Maladies

épinière, soit périphériques, siégeant dans les nerfs ou juste avant la sortie des nerfs de la moelle. — Les tétraplégies centrales font suite à une compression ou à une section de la moelle épinière cervicale par une arthrose vertébrale ou un traumatisme (accident de la circulation avec « coup du lapin »). L'examen clinique révèle un syndrome pyramidal (associant la paralysie à une raideur des muscles, qualifiée de spastique). — Les tétraplégies périphériques sont constatées habituellement dans

circonstances du traumatisme, les caractéristiques de la lésion initiale et son traitement. Les différentes techniques utilisées pour traiter la pseudarthrose sont analysées, ainsi que leurs résultats et les complications post opératoires. Cette étude est rétrospective sur 7 années (2000 à 2006) portant sur 38 dossiers. L’âge moyen de nos patients était de 34 ans avec des extrêmes de 16 ans et 62 ans. Le sexe masculin représentait 68% des cas avec un sex-ratio de 0,4. Les circonstances du traumatisme étaient