Travail Liberté Rousseau

de choisir un thème majeur de la dite et l’étudier à travers deux œuvres figurant sur le programme de notre cours. Il s’agit du bonheur présent dans Candide (ou l’optimisme) de Voltaire et dans les Rêveries du promeneur solitaire de Jean-Jacques Rousseau. D’emblée dans une optique plus généralisée de l’histoire de la littérature française (de 1715 à 1920), plusieurs grandes idées, ou thèmes majeurs voient les jours, notamment la satire, l’amour, le bonheur

Jean-Jacques Rousseau (1762) DU CONTRAT SOCIAL ou Principes du droit politique Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de

assemblée qui représente la population. Le parlement limite une première fois le pouvoir du roi en 1679 en votant l'Habeas Corpus. C'est le pouvoir judiciaire du roi qui se trouve alors affaibli tandis que les individus ont désormais le droit d'être en liberté provisoire sous caution ( avant leur jugement). C'est en 1689 qu'est votée « la déclaration des droits », le pouvoir du roi est alors encore diminué. C'est el parlement qui dirige alors l'Angleterre. b)La Constitution américaine Avec l'aide de la

alors d’être adulte pour échapper à toutes ces contraintes. Cependant, même à l’âge adulte, l’Homme n’échappe pas à l’obéissance. Effectivement , il doit aller au travail, c’est une nécessité. Il doit respecter ses horaires de travail qui lui sont imposés. Il doit se surpasser pour pouvoir garder son job, puisque le milieu du travail est confronté à la compétition : le meilleur gagne sa place , ou garde sa place . De plus, la loi impose des règles que l’homme doit respecter, au risque, dans le

devrait être comme ça etc.) La norme peut être de politesse, coutumière, juridique etc. Seul un être libre c’est à dire un être pensant, doté de son libre-arbitre, peut comprendre et obéir à une norme ; même créer une norme. Le sens faible du mot liberté : absence d’empêchement. Être libre ce n’est pas seulement ne pas être empêcher. Au sens fort, c’est la capacité intérieure d’évaluer plusieurs possibilités et de prendre une décision qui ne va pas de soit par avance. Il n’y a de choix vraiment libre

archives. Point de rupture : Barthes qui abandonne le schéma narratif. Michon : fragmentation des Vies minuscules, réflexion sur la mémoire et l’archive (vie de gens très ordinaires). - Murat note le déplacement d’une éthique individuelle (Augustin, Rousseau), où l’autobiographe dote le récit de sa vie d’une fonction explicative, d’aveu et d’apologétique, à une éthique collective (Michon s’implique par métonymie secondairement dans les vies d’autrui). b) pacte et transaction : la part du lecteur

Collectif – Paris Moulin Avril 2011 FICHE – PHILOSOPHE JEAN-JACQUES ROUSSEAU 1. BIOGRAPHIE Quand ? (chronologie de base) – Où ? (lieu et itinéraires, si voyages) 1712-1778. Né à Genève, orphelin de mère (morte à sa naissance). Enfance livrée à elle-même, adolescence chaotique, s’enfuit à 16 ans, il court les routes à pied. Recueilli en Savoie par Madame de Warens, pieuse et originale, chez qui il reviendra trois fois, repartant entre temps sur les routes, apprenant la musique, vivant

Jean-Jacques Rousseau à eu une vie très instable et il était très indépendant : C'est un écrivain, philosophe et musicien genevois francophone né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 à Ermenonville et, qui, au cours de son existence, multiplie les lieux de résidences et à assisté à l'époque moderne des Lumières. Emile ou De l'éducation est un traité de genre philosophique publié en 1762 montrant la méthode d'éducation vu par Rouseau, c'est-à-dire la vie à la campagne : liberté de s'exprimer

propos combien l’homme selon Rousseau est un être dépendant de ce qui le passionne et de la nature. Or nous nous demandions tout à l’heure si l’homme était « avide et borné» (L. 8) en raison d’une malédiction divine ou d’une mauvaise dotation de la part de la nature. Après l’analyse du pouvoir de la force divine et consolante et de l’état de dépendance dans lequel est plongé l’homme, en proie à ses désirs et ses passions, il semble assez clair que l’homme selon Rousseau est un handicapé de la nature

plus fort. Comme le souligne Rousseau, « le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maître, s’il ne transforme sa force en droit et l’obéissance en devoir » (Rousseau, Contrat social, I, 3). Il n’y a donc pas d’ordre sans justice. Seules les lois qui émanent de la volonté générale et qui garantissent donc la liberté des sujets sont dignes et donc susceptibles d’être respectées. On ne saurait donc supprimer toute liberté au nom de la sécurité. Rousseau refuse donc l’idée de Hobbes