Travail Liberté Rousseau

Rousseau, comme beaucoup d'autres théoriciens avant lui est un théoricien du droit naturel moderne. Selon Rousseau, l’homme est né libre et bon. C’est la société qui l’a corrompu. Les sciences et les arts, l’inégalité, ont dénaturé l’homme. Au départ à l’état naturel l’homme est heureux puis par la suite il commence à nouer des liens avec ses semblables tout en continuant à être indépendant, donc libre. Mais les premières inégalités se font ressentir au niveau de la richesse et de la misère, des

qui n'a plus rien à désirer ! » : Rousseau "Il ne faut pas gâter les choses présentes par le désir des absentes." : Épicure « Ce n'est pas par la satisfaction du désir que s'obtient la liberté, mais par la destruction du désir » : Épictète "Le désir est l’appétit accompagné de la conscience de lui-même." : Spinoza 5) LE LANGAGE "Le mot ne note de la chose que sa fonction la plus commune et son aspect banal." : Henri Bergson "Danger du langage pour la liberté de l’esprit : chaque mot est un préjugé

Jean-Jacques Rousseau Par Jean-Hugues Déchaux pour SES-ENS, Mars 2008* Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) n’est pas un sociologue, loin s’en faut, mais c’est un penseur immense et iconoclaste dont la postérité sera considérable, y compris dans le domaine des sciences sociales, ce qui est trop rarement souligné. Durkheim ne s’y est pas trompé : il lui a consacré un article très dense en 1918, repris dans l’ouvrage paru en 1966 sous le titre Montesquieu et Rousseau. Précurseurs de la sociologie. 1

INTRODUCTION Depuis très longtemps, le concept de liberté fait l’objet de plusieurs analyses. La conception de liberté est différente d’une personne à une autre et elle évolue avec les époques. Il y a beaucoup de philosophes qui se sont penchés sur cet aspect. Alexis de Tocqueville ainsi que Jean-Jacques Rousseau en sont deux qui ont marqué l’évolution de la pensé. Ils avaient leur façon bien particulière de comprendre cette notion. Ils ne vivaient pas dans notre ère moderne, mais ont tout de même

DIVINISE •Texte 3 – Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes de Jean-Jacques Rousseau (1754) -Une longue phrase s’appelle une période. ↕ Le deuxième paragraphe du texte de Rousseau est une période. -[…] : thèse de Rousseau [La thèse de Rousseau] 3 propositions subordonnées ↕ Proposition principale ETAT DE NATURE

avoir une certaine spécialisation des fonctions. Il dit "Dans tous les domaines, la production croit en quantité et en qualité lorsque chacun fait son travail". A cet état de nature, il dit "L'homme n'était ni riche ni pauvre, donc ils sont bien veillant les uns avec les autres et sont naturellement bon". Cette idée sera reprise plus tard par Rousseau. Mais l'être humain ne peut pas se satisfaire des besoins élémentaires, donc il va chercher le superflus. Ce désir d'acquérir plus qu'autrui va détruire

Article « Luxe » Contexte historique : M. de Saint-Lambert n’a voulu fâcher ni Rousseau ni Voltaire dans cet article de l’encyclopédie pour une question féminine. Quelques notions d’économie : • La physiocratie : représentée par Quesnay, elle proclame la prédominance de la Nature, la seule vraie source de richesse d’un pays vient de sa terre. La Terre donne gratuitement et est la seule a dégagé un produit net important. ( La propriété du sol est sacrée, d’origine divine. Les marchands

RousseauExplica(on de texte n°1 (Rousseau, Emile ou de l’Educa-on, 1762) Eléments de correc(on Dans ce texte extrait d’Emile ou de l’Educa-on (1762), Rousseau développe une réflexion sur le thème du travail. Plus précisément, il se demande si on peut rester indépendant tout en travaillant, ou si travailler implique au contraire nécessairement de renoncer à son indépendance. En réponse à ce problème, il sou(ent la thèse suivante : certes la vie en société fait du travail à la fois une nécessité et

social, I, 8 - Exemple de commentaire. « Ce que l'homme perd par le contrat social, c'est sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente et qu'il peut atteindre ; ce qu'il gagne, c'est la liberté civile et la propriété de tout ce qu'il possède. Pour ne pas se tromper dans ces compensations, il faut bien distinguer la liberté naturelle qui n'a pour bornes que les forces de l'individu, de la liberté civile qui est limitée par la volonté générale, et la possession qui n'est que l'effet de

l'origine de cette idée. -Donc, Dieu existe. La cause de l'erreur (56) -Un Dieu parfait ne pourrait vouloir me tromper. -l'hypothèse du dieu trompeur ne tient plus. -La cause de l'erreur doit se trouver en nous. Volonté et liberté (57) Descartes croit que nous utilisons mal notre volonté a 2 occasions: -Porter un jugement sur les choses dont la vérité ne m'est pas clairement connue. -Etre détermine a agir de telle façon sans réflexion. -La connaissance de l'entendement