Travail Sur Un Livre Je Voudrais Qu On M Efface

quartier populaire de la Goutte- d’Or. Lantier abandonne vite la jeune femme, emportant tout ce qui reste de leurs maigres économies. Jolie, courageuse, dure à la peine, elle travaille comme blanchisseuse. Elle rencontre l’ouvrier zingueur Coupeau, et la vie paraît commencer pour tous deux ce jour-là. Elle l’épouse. À force de travail, le couple atteint une certaine aisance et se dispose à louer une petite boutique. Leur bonheur et leur prospérité sont concrétisés par la naissance de leur fille, Anna,

Elle connaissait cette préoccupation constante de sa mère. Au commencement – il y avait deux ans de cela, – quand ils avaient quitté la vieille rue Favart après le génial coup de bourse d’Alfred Kampf, sur la baisse du franc d’abord et de la livre ensuite en 1926, qui leur avait donné la richesse, tous les matins, Antoinette était appelée dans la chambre de ses parents ; sa mère, encore au lit, polissait ses ongles ; dans le cabinet de toilette voisin, son père, un sec petit Juif aux yeux

GAETANO BENEDETTI, La psychothérapie des psychoses comme défi existentiel, Traduit de l’allemand par Patrick Faugeras Erès, 2002. Le troisième coup vient d’être frappé, le rideau se lève, la pièce va vraiment pouvoir commencer. Elle relate dans un livre majeur La psychothérapie des psychoses comme défi existentiel la vie et l’œuvre considérables de Gaetano Benedetti, un psychothérapeute hors pair, élève de Bally et de Bleuler, fondateur dans les années 1 1950, avec quelques autres amis passionnés

quartier populaire de la Goutte- d’Or. Lantier abandonne vite la jeune femme, emportant tout ce qui reste de leurs maigres économies. Jolie, courageuse, dure à la peine, elle travaille comme blanchisseuse. Elle rencontre l’ouvrier zingueur Coupeau, et la vie paraît commencer pour tous deux ce jour-là. Elle l’épouse. À force de travail, le couple atteint une certaine aisance et se dispose à louer une petite boutique. Leur bonheur et leur prospérité sont concrétisés par la naissance de leur fille, Anna,

l’université, plusieurs mois avant le début des cours ? Tout le monde sait que les couples formés au lycée ont une espérance de vie plus courte qu’un épisode de sitcom. — Tu es une mère, dis-je. Tu aurais dû savoir que c’était une très mauvaise idée. Je voudrais qu’elle se sente coupable. En vain. — Oh, je t’en prie ! réplique-t-elle en levant les yeux au ciel. Comment étais-je censée savoir qu’il allait rompre avec toi ? Je ne suis pas médium. Et je ne sais rien des coutumes des forums Internet. — Ce n’était

d'enseignement par quoi il est transmis, la glose des « scholiastes », tous les méta-langages ou médiations qui le font « littérature ». Il n'y a pas de texte « pur ». Toute rencontre avec l'oeuvre, même sans prélude, dans l'espace absolu entre livre et lisant, est déjà orientée par le champ intellectuel où elle survient. L'oeuvre n'est lue, ne prend figure, n'est écrite qu'au travers d'habitudes mentales, de traditions culturelles, de pratiques différenciées de la langue, qui sont les conditions

; et il exige ma présence. Un nouveau rendez-vous est pris, M. Busnach m'envoie une dépêche, me rappelant en toute hâte. Troisième visite. M. Turquet fait peine à voir, et je commence à le plaindre sérieusement, car il est évident que tout ce travail que nous lui donnons le fatigue de plus en plus. Pourtant nous tâchons de discuter, d'apprendre de sa bouche les coupures qu'il demande. Mais ce rôle de tortionnaire le bouleverse, il nous tend le manuscrit à vingt reprises, il crie : " Non, non,

lance sur le Net... avant qu'on me somme de l'en retirer. / Je crois que dans un lieu aussi vénérable il convient de commencer, comme pour une cérémonie religieuse, par la lecture du Livre. Non point pour en tirer des informations, car quand on lit un livre sacré tout le monde sait déjà ce que dit le livre, mais pour mettre notre esprit dans de bonnes dispositions comme le feraient les litanies. Donc : 1 sur 14 14/11/10 17:15 De Bibliotheca http://www.samuelhuet.com/linguistique/47-folio/556-umberto-ec

parlerais avec toi plus souvent que je ne le fais Été '68 Voudrais-tu dire quelque chose avant de partir Peut-être que tu veux exprimer clairement ce que tu ressens On se dit au revoir avant de se dire bonjour Je t'aime à peine du reste, je ne devrais pas m'inquiéter du tout On s'est rencontrés il y a six heures à peine, la musique était trop forte Je suis sorti aujourd'hui de ton lit et j'ai perdu une année entière Et je voudrais savoir comment tu te sens Comment tu te sens Comment tu te

Ce travail sur les poèmes du recueil A la lumière d’hiver de JACCOTTET a été réalisé par Christian FERRE, agrégé de Lettres modernes, pour ses élèves de Terminale L du Lycée Mistral à Avignon Notes pour une approche des premiers poèmes de « Leçons » I – « Qu’il se tienne dans l’angle de la chambre… » 1. Remarques d’ensemble Quatrain initial à considérer comme un poème en exergue, la typographie en italiques nous invite à cette interprétation. Un quatrain programmatique sur le plan thématique