Travestissement

pas toujours celui que l’ont croit. Il remet en cause l’honnêteté de chacun part rapport à se qu’il cherche à montrer ou à faire paraître de lui. Il est donc légitime de se demander pourquoi ces traits restent-ils cachés. Nous verrons que ce travestissement est premièrement imposé par la société, mais qu’il est aussi obligatoire pour y survivre. Les roués, se prétendant libre de toute pensée établie d’emblée par le peuple, cherchent à piéger leur victime dans ces même tords de la société qu’ils

femme bafouée, une prostituée soumise à la tyrannie, corrompue par les excès qu’elle engendre. De ville fleur, elle devient une « fange sans nom », (I, 6) lieu par excellence de la souillure. Elle est un espace de perte des valeurs morales où le travestissement et la débauche sont valorisés. • Des valeurs perdues Elle est également un espace où les valeurs patriotiques sont bafouées. Philippe et Lorenzo déplorent, sur un ton pathétique, la perte de ces valeurs (« Pauvre ville ! » « Pauvre patrie

4 Lisette : est dans le mode parodique, la gaité et le comique, contente de prendre la place de lisette : renverser la relation d’autorité, l’amour se déclare lorsqu’elle prétend séduire avec le masque p 18Intrigue rapide avec l’acceptationLe travestissement introduit le thème théatre dans le théatre Dorante arrive : scène 6Organ et maori encourage silvia a entrer dans le jeuxScène 5 et 6 : surprise de l’amour Le meneurs encourage le tutoyament et l’appelation par prénom enre

choses. L’ostentation, et la mort sont aussi des thèmes récurrents propres au baroque. On retrouve également dans la quasi-totalité des œuvres des thèmes comme l'inconstance, l'illusion (l'Illusion comique de Corneille ), la métamorphose, le travestissement ( le déguisement : l'Astrée), les figures minérales, le rêve ( La Vie est un songe de Calderon de la Barca ), le sommeil, le double, le corps humain et la vanité. Le but de la plupart de ces œuvres est de mélanger les contraires (le réel et

2) Combien de morales voyez-vous dans cette fable ? Où ? Quel est leur contenu ? 3) Etablissez les correspondances entre les animaux et les personnages qu’ils représentent. 4) Quelle est l’image du lion ? 5) Quel est l’intérêt du travestissement animal ? 6) A quelle manipulation de la religion le cerf se livre-t-il ? 7) La versification : étudiez le discours du lion et le discours du cerf : a. comment les rimes sont-elles disposées ? b. sont-elles disposées ainsi

femme bafouée, une prostituée soumise à la tyrannie, corrompue par les excès qu’elle engendre. De ville fleur, elle devient une « fange sans nom », (I, 6) lieu par excellence de la souillure. Elle est un espace de perte des valeurs morales où le travestissement et la débauche sont valorisés. Elle est également un espace où les valeurs patriotiques sont bafouées. Philippe et Lorenzo déplorent, sur un ton pathétique, la perte de ces valeurs (« Pauvre ville ! » « Pauvre patrie! » (II, 5) ; « Pauvre

). Appuyez-vous sur les mises en scène que vous avez étudiées pour donner des exemples. Quelle est l'image du comédien qui se dégage des textes complémentaires que vous avez lus ? Quelle est la place du masque et du jeu de rôle, du thème du travestissement dans les différents textes que vous avez étudiés (oeuvre intégrale et extraits complémentaires) En quoi le théâtre est-il un révélateur ? Qu'avez-vous pensé de cette séquence ? quelles sont les spécificités du texte théâtral ? quelles sont

pas la préface ni le dossier. Le genre est théâtre. Pour mettre à l’épreuve Lélio qu’elle doit épouser alors qu’ils ne se sont jamais vus, une jeune femme (la demoiselle de Paris) se présente à lui déguisée en Chevalier. Lélio, dupé par le travestissement, se prend d’amitié pour le Chevalier et lui parle de sa nouvelle conquête: une tendre comtesse envers laquelle il s’est engagé. Ce Don Juan pragmatique doit choisir entre deux promises: la comtesse (riche) et la demoiselle de Paris (plus riche

Jamais je n’aurais pensé créer une pièce dans un espace construit par notre équipe et imaginé par nous ! Une Histoire de jeunesse. Mais « Les Bonnes » c’est aussi les enfants que nous avon s été et qui ont tous joué un jour à se travestir. Ce travestissement, cette transformation, c’est bien la première chose que le théâtre m’ait proposé ; « Les Bonnes » sont resté e s pour moi une affaire de jeunesse. Cette confusion permanente des sentiments et du désir, cet enchaînement au regard de l’autre

à Paris et s'essaye dans le roman burlesque. Il débute en 1720 au Théâtre-Italien et au Théâtre-Français. Son théâtre emprunte ses conventions à la Commedia dell'Arte: il crée des types sur lesquels il peut broder des variations, se sert du travestissement, privilégie l'amour comme ressort de la comédie. On peut voir en Marivaux un utopiste, qui utilise le théâtre comme un lieu d'expérimentation sociale (l'Ile des Esclaves, 1725, où maîtres et serviteurs échangent leurs rôles, La Colonie, où