Tribun de la plèbe

bouleversement en fragilisant l’État. Au cour de l’époque royale, la population de Rome croît et se diversifie. À côté des vielles familles viennent s’installer des étrangers attirés par le développement de la ville. Ils constituèrent peu à peu la plèbe. Ces habitants, plus pauvres, regroupe aussi les esclaves affranchis et les citoyens de familles déchues. Graduellement, la classe aristocratique prend de l’importance et, devant les expéditions militaires plus nombreuses, le roi doit déléguer

passif, l'apella dit oui ou non à la proposition faite. Les citoyens ne peuvent proposer d'amendement contrairement à Athènes mais comme à Rome. Pas ambiance pluraliste. Quand au suffrage sont réuni par des bruit, il y a des gens cachés sous la tribune dira la quel à reçu la plus forte acclamation. Attribution: elle est toutes puissantes, mais citoyens beaucoup moins libre, assemblée très dirigée, pouvoir vient certainement pas de d'elle, mais politiquement pas aussi importante que à Athènes

oligarchique de la cité. Dans le langage courant plèbe signifie le population. Dès le départ, les plébéiens s'opposent aux patriciens. Cette lutte sociale est à l'origine de l'évolution des institutions puisque en effet, les plébéiens vont acquérir de plus en plus de droit. Les plèbe cherche à limiter l'imperium consulaire. -Le pouvoir de commandement : A l'origine confier à deux consuls choisis parmi les patriciens, à la fin du 5ème siècle en 494. La plèbe obtient le droit d'avoir ses propres magistrats(personne

servaient pour labourer la terre. Un consul romain Caius Lélius essaya de proposer une première réforme agraire mais il fut obligé d'y renoncer face à l'opposition des puissants. 6- Projet agraire de Tiberius En -133, Tiberius fut élu tribun de la plèbe. Il décida de résoudre le problème agraire en proposant un nouveau projet de loi nommé Rogatio Sempronia. Cette loi permettait de récupérer des terres qui étaient ensuite redistribuées aux citoyens pauvres. Pour récupérer des terres, la loi

d’un maitre de la cavalerie. Contrairement aux anciennes dictatures limitées à 6 mois, celle-ci n’a pas de limite de temps. Il obtient le droit de légiférer et de constituer (modifier les institutions), et il échappe au droit d’intercessio des tribuns de la Plèbe. Par ailleurs, Sylla obtient la légalisation de ses actes passés et le droit de vie et de mort. Il devient donc le maitre de Rome, sans opposant direct et avec des contrepouvoirs amoindris. Pour confirmer son pouvoir, Sylla fait passer une loi

l’étendue de ses compétences, réunir la totalité du pouvoir. Si Rome semble « régie par une royauté et une monarchie pure»; à qui considère le sénat, il paraît comme une aristocratie. Et si l’on observe les pouvoirs dont dispose le peuple (et les tribuns de la plèbe, que Polyte, fort justement, appelle les « chefs du peuple »), l’importance de l’auctoritas sénatoriale, la puissance du peuple, maître des lois, des élections et qui seul peut prononcer la mort, il apparait à l’évidence qu’il s’agit d’une démocratie

et civil. Comment l'auteur tente -il alors d'expliquer le systeme juridique de la rome antique a travers la classification des sources de droit romain ? Nous etudierons dans une premiere partie les sources traditionnelles crée par le peuple, la plebe et le senat , puis dans une seconde partie nous nous attacheront aux sources nouvelles crées les magistrats l'empeureur et les prudents. Les sources de l'époque classique, sources traditionnelles 1. Les décrets du peuple (tous les êtres d'une

première magistrature, la questure, ne pouvait être remplie qu'à vingt-sept ans, après dix ans de service militaire. Comme il fallait deux années pleines entre chaque charge, on ne pouvait être édile curule (ou, plus tard, édile plébéien ou tribun de la plèbe) qu'à trente ans, préteur à trente-trois ans et consul à trente-six ans. Cependant, pour permettre une certaine souplesse, des dérogations légales étaient prévues : en ~ 70, le Sénat permit à Pompée d'accéder au consulat alors qu'il n'avait

spécifiques à la plèbe lui permettant d’être organisée face aux patriciens, ces concessions sont opérées très rapidement à la suite de cette révolution. Elles se résument à deux créations institutionnelles, la plèbe est reconnue en sa qualité propre, par le fait que désormais il existe des assemblées politiques composées uniquement de plébéiens, sans accès par les patriciens : les Concilia Plebis. L’autre institution est la création d’une fonction de magistrature spécifique à la plèbe : les tribuns de la plèbe

classe moyenne afin de garantir la stabilité sociale, la prospérité économique de l’Italie et le recrutement des légions. En -133, Tiberius fut élu tribun de la plèbe. Il décida de résoudre le problème agraire en proposant un nouveau projet de loi nommé Rogatio Sempronia. Il pensa donc au lotissement de l’ « ager publicus » au profit de la plèbe romaine. Il s’est heurté directement au Sénat, principal bénéficiaire de l’ager publicus. Bien que l’idée ne soit pas nouvelle, il y a une véritable conversion