Tribus Postmodernes

les a oublié? Trois raisons : - On a en Europe un sous développement des grands médias, par rapport aux EU. On manque de terrains d'enquêtes sur les médias. Quand les théories de D, M, W naissent, on est encore en sous dvlpé pour les médias. - Tribu humain pendant les guerres mondiales. Après première guerre, la priorité est plutôt de reconstruire des filières générales de sciences sociales. Et pas de lancer de nouvelles recherches - Mépris pour l'univers marchand de la presse. Pendant longtemps

de la modernité politique. Ce concept de mobilisation sociale est l’idée du niveau de déliquescence des liens traditionnels entre les individus d’une société donnée. Ces liens traditionnels sont les liens familiaux, les liens au sein des clans, des tribus, des ethnies, des villages et donc l’idée est de mesurer ceci. Exemple : les italiens du sud sont arriérés car la structure familiale est prégnante donc les liens traditionnels sont forts, contrairement aux USA. Une

de la modernité politique. Ce concept de mobilisation sociale est l’idée du niveau de déliquescence des liens traditionnels entre les individus d’une société donnée. Ces liens traditionnels sont les liens familiaux, les liens au sein des clans, des tribus, des ethnies, des villages et donc l’idée est de mesurer ceci. Exemple : les italiens du sud sont arriérés car la structure familiale est prégnante donc les liens traditionnels sont forts, contrairement aux USA. Une troisième version avec la différenciation

meurtre du père de la horde primitive. Ce parricide introduit, dans la vie du groupe, de la culpabilité et du renoncement. Le père réel est mort, mais il reste le totem, le père symbolique qui devient le garant de l’ordre social, « les compagnons de tribus sont déguisés à la ressemblance du totem, l’imitent par les sons et les mouvements, comme s’ils voulaient insister sur son identité qui est aussi la leur[7] ». La fonction paternelle fonderait la loi transcendante qui règne dans chaque organisation

« Il s’appuie sur une vision communautaire de la mutation de la vie quotidienne des consommateurs  ». Dans ce cadre, le produit du terroir est vecteur de communion; tel le tapis Rbatis pour les Rbati ou le tapis fassi pour les fassi … La tribu locale est considérée comme agent premier d’authentification. Cette procédure non institutionnelle mais très légitimante de labellisation est en passe de devenir incontournable. Bien plus qu’aux labels officiels décernés par des superstructures institutionnalisées

postmodernisme, ce sont les machines qui auraient maintenant l'emprise sur l'humanité (voir par exemple le film Matrix qui illustre particulièrement bien cette croyance et cette lutte contre la fatalité). D'autre part, il est remarquable que l'idéologie postmoderne tire sa force de son opposition à la modernité. Cette dernière époque étant marquée par le recours à la raison comme fondement de l'autorité afin que les hommes puissent débattre entre eux en se débarrassant du poids des superstitions de toutes

matériel, concret, social, de la domination, la volonté divine telle qu'elle se perçoit subjectivement au gré des clivages religieux. La religion rassemble les hommes au sein d'une communauté particulière identifiée, primitivement, avec le clan, la tribu, puis la cité. L'histoire rend compte, à mesure du développement d'un pouvoir centralisé concomitant avec la croissance économique que permet l'extension de l'agriculture et du commerce, d'une politisation du religieux, en ce sens que les dieux

haut vers le bas. L’émetteur est une petite élite, constituée de professionnels ou d’experts, légitimes, qui s’adressent aux masses de façon unilatérale, sans créer les conditions d’un dialogue. À la verticalité succède l’horizontalité. La société postmoderne se caractérise par la fragmentation et l’horizontalité : il n’y a plus de hiérarchie et l’autorité est partagée. Avec Internet, les consommateurs partagent le pouvoir. L’entreprise n’est plus dans un système de domination et de contrôle. Elle perd

vers le bas. L’émetteur est une petite élite, constituée de professionnels ou d’experts, légitimes, qui s’adressent aux masses de façon unilatérale, sans créer les conditions d’un dialogue. À la verticalité succède l’horizontalité. La société postmoderne se caractérise par la fragmentation et l’horizontalité : il n’y a plus de hiérarchie et l’autorité est partagée. Avec Internet, les consommateurs partagent le pouvoir. L’entreprise n’est plus dans un système de domination et de contrôle. Elle

globale se forme et se transforme historiquement de manière originale ; c'est pourquoi les marxistes préfèrent dire : une « formation économico-sociale ». L'ethnographie et l'histoire présentent une grande diversité de sociétés globales : clans et tribus « archaïques », cités antiques, royaumes, empires, seigneuries féodales, nations, fédérations multinationales comme l'ex-Union soviétique ou grandes sociétés multi-ethniques comme les États-Unis et l'Inde... Pour un Tehuelche, les limites de la société