Trilogie marseillaise

République française introduction : introduction : Article 2 de la Constitution de la Ve République : La langue de la République est le français. L’emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge. L’hymne national est la Marseillaise. La devise de la République est «Liberté, Égalité, Fraternité». Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. e) Emblème national de la cinquième République ,le drapeau tricolore est née

vide de la Mémoire. |[pic] |[pic] |[pic] | Les œuvres complémentaires : La Marseillaise : La Marseillaise est l’hymne national français depuis presque 200 ans. Rouget de Lisle l’écrit lors de la nuit du 14 juillet 1795 puis elle fut adoptée hymne national français. Cette chanson, symbole de la France, provoque des sensations chez les français ;

cette chanson est interprétée par Andrex et André Dassary. La chanson est écrite dans un style de marche militaire. La Marseillaise reste l'hymne principal de la France durant cette période et tient une place dominante. Mais elle n'est pas officiellement désignée par écrit comme l'hymne national. Elle est souvent suivie, dans la zone Sud (car l'occupant interdit « La Marseillaise » en zone Nord). La chanson devient l'hymne officiel du gouvernement de Vichy. « Maréchal, nous voilà » est régulièrement

publie quotidiennement dès la libération de Marseille Le 25 aout 1944, la Marseillaise publie le premier numéro légal, les rédacteurs du journal, tous membres du Fn Cl, vont rediger dans les locaux, du Petit Marseillais, sous la directive de Pierre Brandon chargé de reconstruire le Fn CR des Bouches-du-Rhône. Au même moment des journaux collaborationnistes comme Rouge Midi et la voix de la Patrie diqparait. La marseillaise devient donc le dernier journal communiste. En 1987, la rédaction est en

rouges, des baïonnettes ou même sans rien d'ailleurs. Au début ils chantaient tous la Marseillaise … » -« Pas toi ? » interrompit le père. - « Bah bien sûr que si ! Haut et fort ! ». Le père eut un sourire de satisfaction et de fierté à l’égard de sa fille, il lui fit signe de continuer. -  « Bon bref. » continua la fille « Je m'étais fait une place à un balcon pour voir ce qu'il se passait. La Marseillaise battait son plein mais après les chants ont commencé à se calmer jusqu'à ce qu'on n'entende

puis deviendra La Marseillaise jouée dans tout le pays comme chant de la République combattante. La Marseillaise accompagne les grandes fêtes civiques. On lui ajoute des couplets dont certains sont chantés à la tribune de la Convention par les délégués de sections. On retiendra l'ajout d'un septième couplet dit couplet des Enfants, attribué à Louis Dubois ou à l'abbé Pessonneaux. La Marseillaise l'emporte sur Le Chant du départ.   le 14 juillet 1795 elle déclare La Marseillaise « Chant national »

«Rouget de Lisle chantant La Marseillaise» par P.-C Chocarne Moreau, d’après I. Pils, 1893. Chapitre I : Le peintre et son tableau p.2 p.2 p.3 p.4 p.5 1) L’auteur : Paul-Charles Chocarne-Moreau. 2) Le tableau. 3) Planche du tableau. 4) Analyse du tableau. - La lumière, - L’environnement - Les personnages. 1) La société d’Ancien Régime. 2) Les principaux évènements de la Révolution française. - 1789 : l’effondrement du régime. - 1789-1792 : l’échec de la monarchie constitutionnelle

Marie-Louise de l'Autriche pour assurer l'avenir de la dynastie et les conquêtes qui ont étendu l'Empire au maximum. Cette partie fait face à l'Avenue des Champions-Élysées. - Le Départ des volontaires de 1792 (dit La Marseillaise), par François Rude C'est en faite la marseillaise qui fut écrite par Claude Joseph Rouget de Lisle, capitaine du Génie alors en poste à Strasbourg dans la nuit du 25 au 26 avril 1792 à la suite de la déclaration de guerre à l'autriche du 20 avril 1792. Conclusion

Nov, 1789 4th Jan, 1790 3rd Sep, 1791 3 Composition de la Marseillaise par Rouget de Lisle Dans le salon du baron de Dietrich, maire de la ville de Strasbourg, le jeune officier Joseph Rouget de Lisle présente son chant patriotique. D'abord baptisé "Chant de guerre pour l'Armée du Rhin", il est repris par les fédérés marseillais à leur entrée dans Paris en juillet 1792 et renommé "Marseillaise" par les Parisiens. Manifestation populaire à Paris contre le roi A l'initiative

dépeint lui aussi la « bande » ou bien « un peuple invisible et innombrable ». Les deux adjectifs rapprochés par le préfixe privatif expriment cette indistinction que le chant fait entendre. En effet, dans les extraits de Flaubert et de Zola, La Marseillaise, entonnée par tous, semble portée par une seule voix, « la grande voix de cette tempête humaine ». Le peuple devenu personnage singulier devient une force « superbe, irrésistible ». Une force destructrice : Le peuple cherche à renverser