Tristes Tropiques

plusieurs mondes et civilisations qui lui permettent d’ouvrir les yeux sur sa propre culture. Par ailleurs, la réalité que nous découvrons lors de nos voyages peut être brutale. C’est cette vision que Claude Lévi-Strauss partage dans son essai Tristes Tropiques paru dans les années 50. L’auteur nous fait part ici de l’effet destructeur qu’a la civilisation occidentale sur nos terres autrefois exotiques. Je partage son avis car je constate que l’humanité détruit la planète. C’est assez déconcertant

3) Y a-t-il des sociétés plus civilisées que d’autres? Peut-on hiérarchiser les cultures ? • Réfexion sur les notions de « sauvage » et de « barbare ». • L’ethnocentrisme . Race et Histoire de C. LéviStrauss. (exposé). • Etude d’un extrait de Tristes Tropiques : Des barbares très policés. • Conclusion générale sur la Culture : L’homme est un mixte de nature et de culture. • Analyse de deux excès : « Cire vierge » et « Fatalité génétique » à partir d’un texte extrait du Monde de F. Jacob : à préparer

Platon 3 sortes d’hommes : -les vivants -les morts -ceux qyu vont en mer ( au 17 et 18 siècle il est très dangereux et difficile de partir en mer)lymbe car on ne sait pas si on va revenir. Levistrauss Claude (antropologue français) 1955 :Triste tropique (texte) « Je hais les voyages et les explorateurs ».Première phrase du livre. Europe :nom d’une nymphe (Zeus a pris la forme d’un taureau et a pris Europe sur son dos dans la mer)

Tristes tropiques, Claude Lévi-Strauss Né en 1908, Claude Lévi-Strauss, est un anthropologue et ethnologue français qui aura une influence décisive sur les sciences humaines dans la seconde moitié du XXe siècle. Il écrit des essais anthropologiques et ethnologiques, auxquels il mêle autobiographie et méditation philosophique, comme dans Tristes tropiques. En effet, dans ce texte extrait de la première partie de ce livre parsemé de récits de souvenirs de voyages effectués dans les années 1950

1998 Paul Emile VICTOR, Banquise, 1934 Ella MAILLART - Oasis interdites, 1935 Henry MILLER, Aller-retour New York, 1935 Antoine de SAINT-EXYPERY, Terre des hommes, 1939 Maurice HERZOG, Annapurna premier 8000, 1951 Claude LEVI-STRAUSS - Tristes tropiques, Plon, 1955 Jack KEROUAC - Sur la route, 1957 Nicolas BOUVIER - L’usage du Monde, Droz, 1963 - Le Poisson-scorpion, Gallimard, 1982 Bernard MOITESSIER, La longue route, 1971 Muriel CERF - L’antivoyage, 1974 - Le diable vert, 1975 Wilfred

apports ont été reconnus au plan international[5]. Il a ainsi consacré une tétralogie, les Mythologiques, à l'étude des mythes. Mais il a également publié des ouvrages qui sortent du strict cadre des études académiques, dont le plus célèbre, Tristes Tropiques, publié en 1955, l'a fait connaître et apprécier d'un vaste cercle de lecteurs. Enfance et formation Claude Lévi-Strauss, issu d'une famille d'artistes d'ancêtres juifs alsaciens des environs de Strasbourg, est né à Bruxelles de parents

ethnologique sur les systèmes de parenté, dont découle sa thèse Les Structures élémentaires de la parenté en 1949. Il devient ensuite directeur de la Vème section de l’Ecole pratique des hautes études, en France. En 1955, il publie son célèbre livre Tristes Tropiques. En 1958, il sort Anthropologie structurale qui présente son travail théorique sur les peuples premiers et leurs mythes. Cette étude des mythes va se prolonger jusqu’à ce qu’il publie plusieurs volumes traitant de la question, comme Le Cru et

Clair de lune Votre âme est un paysage choisi Que vont charmant masques et bergamasques Jouant du luth et dansant et quasi Tristes sous leurs déguisements fantasques. Tout en chantant sur le mode mineur L’amour vainqueur et la vie opportune, Ils n’ont pas l’air de croire à leur bonheur Et leur chanson se mêle au clair de lune, Au calme clair de lune triste et beau, Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres Et sangloter d’extase les jets d’eau, Les grands jets d’eau sveltes parmi les marbres

de soleil Tout le monde parle des couchers de soleil
 Tous les voyageurs sont d’accord pour parler des cou-
chers de soleil dans les parages
 Il y a plein de bouquins où l’on ne décrit que les couchers
de soleil
 Les couchers de soleil des tropiques
 Oui c’est vrai c’est splendide
 Mais je préfère de beaucoup les levers de soleil
 L’aube
 Je n’en rate pas une
 Je suis toujours sur le pont
 A poils
 Et je suis toujours le seul à les admirer 
Mais je ne vais pas décrire les aubes 
Je

vieil homme était 4finalement et définitivement salao, ce qui est la pire forme pour dire pas de chance, et 5selon leurs ordres, le garçon était parti sur un autre bateau, lequel avait pris trois gros 6poissons la première semaine. Cela le rendait triste, le garçon, de voir le vieil homme 7revenir chaque soir le canot vide, et toujours il le rejoignait pour l’aider à porter les lignes 8enroulées, la gaffe, le harpon et la voile ferlée autour du mât. Une voile rapiécée avec des 9sacs de farine qui pendait