Troisième concile du Latran

d’espaces éloignés à travers la planète, s’accompagnant d’échanges plus intenses. Caractère de « première » : induit la nouveauté du phénomène au 16ème siècle en référence au Moyen Age (sans mondialisation) et à l’époque actuelle (deuxième ou troisième mondialisation ?). Documents Pertinence de la nouveauté de cette mondialisation à discuter car : - système économique centré sur l’océan indien = ancien, étendu et dynamique. - Nombreuses routes commerciales et comptoirs à travers

royaume de Naples. Louis XI ( 1461 – 1483 ) n’avait pas osé se lancer dans l’aventure italienne, mais son fils n’hésite pas, car il hérite des droits à la mort de son père : il souhaite prendre possession du royaume de Naples par les armes. - la troisième est constituée par les prétentions de Louis XII ( 1498 – 1515 ), cousin et successeur de Charles VIII. Celui ci prétend avoir des droits sur le duché de Milan, car il a pour grand mère Valentine Visconti, de la famille Visconti qui dirigea le duché

(590-604). Grégoire le Grand, dans les Moralia, supprime l'acédie qu'il remplace par l'envie, et déclare l'orgueil roi des vices et le sort de la liste, ramenant ainsi les passions capitales à sept. La liste est définitivement fixée au quatrième concile du Latran en 1215 et consignée par Thomas d'Aquin au XIIIe siècle dans sa Somme théologique. La liste de « sept péchés capitaux » sera répandue par la Contre-Réforme (XVIe siècle). La doctrine de l'Église catholique Les péchés capitaux La liste actuelle

compagnon du précédent (et personnage imaginaire, sans réalité historique), qui aurait appartenu à un empereur romain...   Les Tournois. Les combats simulés entre plusieurs chevaliers, appelés tournois, apparurent au Xème siècle. Le second concile de Latran, sous le pape Innocent II, et les rois d'Europe condamnèrent aussitôt ces joutes, déplorant les morts inutiles de chevaliers au cours de ces tournois qu'ils considéraient comme une activité frivole. Cela n'empêcha pas toutefois les tournois de

appel à la croisade en direction du pape. Il a demandé du secours, mais il s’agit simplement, dans son esprit, de recruter des mercenaires à bon prix, et nullement de déclencher un mouvement de masse aux conséquences imprévisibles. A la fin du Concile de Clermont, le 27 novembre 1095, Urbain II appelle à la première croisade. le pèlerinage en Terre sainte, sur la terre même où le Christ a vécu et prêché, dans la ville où il a été jugé, crucifié et où il est ressuscité, n’est plus possible

l'un des sacrements, à côté de l'eucharistie, de la pénitence et du baptême, dans un décret du pape Lucien III contre les hérétiques, en 1184. Son décret, lu sans doute au concile de Vérone, sera reproduit dans plusieurs collections canoniques et suivi d'autres professions de foi similaires[15]. C'est au IVe concile du Latran que le mariage est mis en exergue comme l'un des sept sacrements et défini comme l'union de deux volontés plus que comme celle de deux corps. Cela signifie que le mariage

familiales, plus ou moins fastueuses. Ici, le mariage consiste en un engagement mutuel. En 1215, le concile de Latran permet à l’Eglise de remettre un peu d’ordre et de réduire es mariages clandestins ou arrangés. Désormais, il faut publier les bans pour que l’union soit valable. Ce n’est qu’au XVIème siècle que le mariage redevient l’acte solennel qu’il était. En effet, en 1563, le concile de Trente rend au mariage son aspect sacré. La cohabitation hors mariage est interdite. De ce fait, le

peu étendu, le domaine royal. 2.2 La Paix de Dieu La situation de guerre endémique que connaît la chrétienté à cette période permet à l’Église catholique de s’affirmer comme force d’interposition. À la fin du Xe siècle se multiplient les conciles de paix qui imposent aux chevaliers un certain nombre de règles — ou « paix de Dieu » — plus ou moins respectées : protection des veuves et des orphelins, respect des jours de paix et des lieux d’asile comme les églises et les monastères. L’intermédiaire

l'un des sacrements, à côté de l'eucharistie, de la pénitence et du baptême, dans un décret du pape Lucien III contre les hérétiques, en 1184. Son décret, lu sans doute au concile de Vérone, sera reproduit dans plusieurs collections canoniques et suivi d'autres professions de foi similaires[15]. C'est au IVe concile du Latran que le mariage est mis en exergue comme l'un des sept sacrements et défini comme l'union de deux volontés plus que comme celle de deux corps. Cela signifie que le mariage ne

avaient des livres » Saint Bonaventure, Troisième libre des Sentences, XIIIe’siècle 13e’s grd tournant ds les mentalités, les idées, Jean Sorbon crée la Sorbonne à Paris c’est dc le début de la scolastique (méthode de pensée médiévale), le dvppmnt des villes le rats de villes prie différemment que celui des campagnes. La religion n’est pas objet social à part. Il y a =mnt une dimension du pêché = remise en cause de la soumission. A partir du 4e Concile de Latran en 1215, il y ‘a dc cette idée que l’on