Trompe-l'œil

présenté est la fresque de la voûte de la nef de l’église Saint-Ignace-de-Loyola, réalisée par Andrea Pozzo, 1685, Rome, Italie. Elle représente l’évangélisation de l’humanité par Saint-Ignace, à l’origine des jésuites. Le plafond est peint en trompe l’œil, Pozzo a peint des colonnes en raccourcis, pour imiter l’architecture réelle. Les femmes-continents sont dans les impostes de la grande voûte. La femme représentant l’Afrique est noire, avec un éléphant et un crocodile. A ses pieds figurent des

sophistes, qui fait du regard du spectateur la mesure de la beauté et de la vérité. L'art grec du Vème siècle se caractérise, en effet, par un art du trompe-l’œil capable de donner au spectateur l'illusion de la profondeur. Ainsi Zeuxis, inventeur probable de la peinture sur chevalet, aurait peint des raisins à l'apparence si naturelle qu'ils auraient trompé les pigeons qui seraient venus les picorer. Platon condamne cet art moderne dont l'essence est l'imitation pour plusieurs raisons : ce type d'art

à l'Opéra). Il fut l'élève de Pierre Prévost et contribua à réaliser des panoramas. Il connut son premier succès grâce au Diorama, un spectacle conçu avec son associé Charles Marie Bouton en 1822. Ces très grandes toiles translucides peintes en trompe-l'œil et animées par des effets d'éclairage variés donnaient aux spectateurs une illusion de réalité. Selon l'éclairage la scène, représentée sur une toile de vingt-deux mètres sur quatorze, passait du jour à la nuit, changeait de climat, etc. Le diorama

le bâtiment recouvert il y a presque un effet de vide qui s’installe. Le travail de Georges Rousse, Vitry, rejoint les précédents, car lui intervient en rajoutant des formes géométriques de couleur mais aussi en jouant sur la perspective, le trompe l’œil et l’investissement total du lieu mais seule la photographie peut restituer ce qu’il veut nous montrer. L’artiste Suisse Renate Buser est dans le même mode de fonctionnement que Masaccio et Rousse. Par le biais de la photographie qu’elle dispose

Saint-Ignace), aux formes excentriques et aux fréquentes oppositions dans les thèmes, comme au niveau religieux (religion catholique exploitée par de Sponde et mythologie par Le Bernin). Le baroque exploite également l’étrange, l’artifice (fresque en trompe-l’œil couvrant le plafond de l’église Saint-Ignace de Loyola) et le merveilleux (La Belle Matineuse de Voiture et Malleville) dans les deux catégories artistiques. De plus, les extrêmes sont recherchés. Dans l’art tout d’abord, par l’exagération de

il contribuera à la vision du Tout. -Les éléments repris des précédentes formes d’architecture sont principalement les colonnes, les tours et les coupoles (images) -Les éléments nouveaux propres à l’architecture baroques sont les fenêtres ovales, l’œil de bœuf, la colonne torsadée (offrent in effet de mouvement) et les frontons brisés (images) Par ailleurs et comme dit précédemment, les architectes baroque n’hésiteront pas à utiliser de manière excessive toute sorte d’ornement (surcharge qui veut

de couleurs utilisés, de l’organisation des différents plans d’abord horizontaux puis verticaux (pour montrer l’organisation symétrique de la fresque), et en profondeur (notion de « trompe-l’œil », effet de scène théâtrale). On terminera la description par le mouvement des personnages sur les marches, conduisant l’œil de l’observateur vers le centre de la fresque. Les deux directions dominantes de la fresque (horizontale/verticale) seront expliquées dans la dernière partie, ainsi que les différents

couteau. Mélange d’huile, de toile cirée et de tissu sur un support encadré de corde. Cette œuvre introduit pour la première fois le « collage ». Elle est également appelée : « Verre, pipe, citron, couteau, coquille saint-jacques». Le trompe-l’œil est ici utilisé de manière moins révolutionnaire que lors des expériences antérieure. Picasso exécuta cette toile en se souvenant de l’habitude qu’avait son père d’attacher à sa toile des morceaux d’autres peintures afin de susciter des idées ou

aéroports). En prenant la photographie pour base, ils modifient certains aspects à leur convenance (agrandissement, déformations, netteté). Les peintres choisissent des cadrages arbitraires et variés. L’exécution relève de la virtuosité froide du trompe-l'oeil traditionnel et donne un aspect clinquant aux objets représentés. L'oeuvre C'est un tableau qui a été peint entre 1976 et 1982, huile sur toile de format 145x244cm rectangulaire à l'italienne, appartenant à un particulier. Ce tableau est

l'art — en littérature. Rousset s'est, entre autres, intéressé aux thèmes de l'inconstance et de la métamorphose, à l'œuvre dans les textes baroques de la première moitié du XVIIe siècle, ou encore à un personnage tel que le Dom Juan de Molière. TROMPE L’ŒIL BAROQUES Pere Borrell del Caso, Escapando de la crítica, 1874 Jesuit Church, Vienne, Andrea Pozzo, 1703 Circé aux belles boucles était autant redoutable par sa beauté et que par ses sortilèges et ses philtres magiques L'histoire d'Ulysse