Trompe-l'œil

Les murs peints 1 Le Trompe-l’œil 2 Sommaire I. II. III. IV. V. VI. VII. VIII. Introduction Définition L’Histoire Le trompe-l’œil L’hyperréalisme L’anamorphose Bibliographie Glossaire P. 4 P. 5 P. 6 P. 7 P. 12 P. 16 P. 17 P. 19 Annexes : P.20 • Représentations de Trompes-l’oeil 3 I - Introduction Le trompe-l’œil est une peinture qui donne l’illusion de la réalité. Plusieurs supports peuvent être utilisés pour cette technique ; principalement les murs, mais

montres molles, liquéfiées. C se Ce trompe-l'œil est une manifestation du surréalisme urbain. C'est en réalité une société qui a réalisé une bâche pour cacher un chantier. Pierre Delavie a photographié l'immeuble existant, déformé l'image par ordinateur puis l'a fait imprimer sur d'immenses toiles. Cet énorme bâche de 2500 mètres carrés remplit ses objectifs: 1- Elle cache un chantier. 2- Elle anime la rue. 3- Elle fait beaucoup parler d'elle. Ce trompe-l'œil, devait disparaître en septembre

générale Le trompe-l'œil est majoritairement présent dans la peinture où des artistes tentent d'apporter une impression de profondeur à un tableau, suscitant chez les observateurs une certaine confusion. Principal objectif : restituer le sujet choisi en se rapprochant au maximum de la vérité. 2 genres de trompe-l’œil : - 1er : trompe-l'œil mural ou encore trompe-l'œil en architecture feinte, tient ses origines de l'époque greco-romaine et s'observe à distance. - 2ème : trompe-l'œil de chevalet

cercles ou de spirales tournoyantes.Les peintres utilisent le trompe-l'oeil, et donnent l'impression que les plafonds s'ouvrent sur le ciel.L'église Saint-Ignace-de-Loyola fut édifiée dès 1622 à destination des étudiants du collège jésuite. Cette église est emblématique de la Contre-Réforme et du baroque italien.A l'intérieur, afin de transporter le visiteur, le frère jésuite Andrea Pozzo, maître de la perspective, a peint, en 1685, un trompe l'œil gigantesque de 17m qui couvre l'ensemble de la nef :La

Thématique: « Arts, espace, temps » Période historique: De la renaissance à nos jours L’œuvre d’art et sa relation à l’espace / L’œuvre d’art et sa relation au spectateur Arts du visuel Arts de l'espace « L'œuvre, l'espace et le spectateur » Trompe-l'œil, anamorphose, installation, œuvre in situ, etc. L'œuvre d'art a souvent entretenu des liens étroits avec l'espace et le spectateur. En effet, dans l'histoire de l'art, le rôle du spectateur ne se limite pas toujours à l'observation passive: parfois

14 Aout . Le chant de grâce de Manzanarès. Tout y est : le baroque, le leurre, le trompe l’oeil Ortega Cano. La complicité, la rivalité mimétique La complicité La symétrie. «  Vois comme ton père torée ! » Oreille refusée. Manzanarès torée : «  léoncito » le petit lion 1 toro léger de Manolo Gonzalès, plein de race. Bonheur retrouvé et tangible qu’il communique à Manzanarès Corrida, voluptueuse , cadençé sans stress, finesse et légèreté profonde Commodité des toros rien n’est lourd, rien n’est tragique

personnages très expressifs. Le style baroque multiplie les effets d'illusions ; la perpective joue un role important : un grand nombre d'effets de lumières et de jeux d'ombre permettent un effet de réalisme. Les peintres utilisent la technique du trompe-l'oeil, qui emploie l'illusion. c. L'architecture et la sculpture Le baroque recherche le mouvement, y compris dans l'architecture. Une façade baroque n'est pas rectiligne, elle peut être ondulée. Pour relier deux étages de largeurs

œuvres baroques se réfèrent à l’épopée d’Ovide qui fournit de nombreux mythes inspirateurs, Les métamorphoses. Ex : « L’infini mouvement de mes roulants ennuis/ M’emporte, et je le sens, mais je ne puis le dire » Sponde L’illusion : décors en trompe-l’œil et déguisements se déploient dans un foisonnement ostentatoire d’ornements, de métaphores et d’hyperboles, et traduisent les incertitudes de l’homme face à lui-même et au spectacle du monde. Ex : « Tout n’est plein ici que de vaine apparence »

et Borromini. Il étudie la peinture à Florence auprès d'Andrea Commodi et se montre sensible à l'art de Raphaël et de Carrache. Les œuvres les plus importantes de Cortone privilégient les sujets mythologiques et religieux, sont ses fresques en trompe l'oeil (fresques de l'église Santa Bibiana, 1624) Il devint un des maîtres de l'art baroque des décors commandés par l'Église et la haute société (plafond du palais Barberini en 1636). La façade de S. Maria della Pace illustre son oeuvre bati du baroque

des palais hellénistiques et des décors de théâtre. Le mur s'ouvre vers l'extérieur par le biais de portes, de fenêtres ... Les décors de théâtre et les imitations d'architecture, comme des paysages urbains vus depuis une fenêtre, sont peints en trompe-l'œil, et on y prend en compte la lumière et le reliefs, les détails se veulent réalistes. Dans la dernière phase de ce style, des petits tableautins indépendants avec des scènes figurées apparaissent et annoncent le troisième style. Des scènes figurées