Trouble cognitif

luimême, de sa totale liberté et de ses aptitudes, à la fois intrinsèques et extrinsèques, à agir. La quatrième est la double nature de la motivation. D’après Nuttin (1985, p. 170), la motivation humaine d’un individu émane d’un processus dynamique et cognitif, de ce qu’il appelle, l’autodéveloppement et qui doit lui révéler ses propres projets et ses propres buts. La cinquième et dernière, découle des apports en neuropsychologie, c’est-à-dire en psychologie cognitive, qui a conforté, notamment, l’idée

symbolique et constructivisme. Gergen & Gergen (1988), McGuire & McGuire (1988). Repose sur la place de l'individu par rapport à autrui. On va passer par l'analyse du discours. – Approche de la cognition sociale (celle qui nous intéresse) : traitement cognitif de l'information en rapport à soi. C'est la seule qui passe par l'expérimentation. Années 70. Dans les années 70, on est plus centrée sur l'individu. C'est à partir de 90 qu'on reviendra au social. Il y a 2 niveaux de définition du soi : Un soi

l’engagement. Les effets sont d’autant plus forts si l’engagement est grand. On peut s’engager dans deux types d’actes : -Acte non problématique : Ils n’heurtent pas nos convictions. -Acte problématique : Contraire à nos convictions. Au niveau cognitif, les actes problématiques entraîneraient un ajustement de l’attitude à cet acte (la rationalisation) ; les actes non problématiques entraînent une consolidation des attitudes et même une véritable extremisation en cas d’agression. Au niveau comportementale :

EFFETS DE L’AGE, DU SEXE, DU NIVEAU D’ETUDE ET DE L’ACTIVITE PHYSIQUE SUR LA FLEXIBILITE MENTALE 1. INTRODUCTION Les chercheurs travaillant dans le domaine du vieillissement cognitif s’accordent à dire qu’en moyenne, le fonctionnement cognitif décline avec l’âge. Dans le domaine du fonctionnement cognitif, d’autres études ont été menées sur les facteurs pouvant l’influencer : effet des activités quotidiennes (Gold et al, 1995 ; Aartsen et al, 2002) et effet du niveau d’engagement social (Fratiglionni

de différence entre des objets différents. Les styles cognitifs La façon dont un apprenant acquiert la connaissance en rapport avec son mode de traitement de l’information. De nombreux chercheurs ont tenté là de mieux cerner l’apprenant. MESSILK 1969 Les styles cognitifs sont composés des constantes stables relativement persistantes dans le type où la forme de la cognition. (Construction des connaissances). Les styles cognitifs présentent plusieurs facettes : I. Des caractéristiques

rapide parce que traitant les informations en parallèle qu’ils appellent automatique. Le processus contrôlé se déroule de manière attentive, il exige un effort cognitif et il est limité par la capacité du système de traitement. Le processus automatique n’exige pas d’attention pour être exécuté, il ne s’accompagne d’aucun effort cognitif et n’est pas limité par une capacité centrale de traitement. Donc, un processus contrôlé est attentif et un processus automatique ne l’est pas. Selon Shiffrin,

La première estime que la décision est un choix rationnel de type optimisateur. Cette approche s'illustre par le courant de la recherche opérationnelle. La programmation linéaire, en particulier, formalise la décision comme étant le fait de maximiser ou de minimiser une fonction objectif dans le respect d'une série de contraintes. Exemple : déterminer les quantités à produire, en maximisant le volume produit, sous des contraintes de coût et de disponibilité des matières premières. Dans ce cadre,

comportement d'autrui ou enfin par des idées. Les différents types de blagues Les bagues, ces « histoires drôles » se décomposent en 2 catégories les blagues cognitive et les blagues phonétiques. 1.1Les Blagues cognitives. Le mot cognitif se rapporte au fonctionnement de la pensée ainsi une blague cognitive correspond a une blague qui; pour la comprendre nécessite une démarche intellectuelle, une compréhension. Le raisonnement de l'individu est le suivant: - Pendant que la blague

l’acteur à construire un système cohérent, nécessaire à l’appréhension et à la recherche de résolution dudit problème. Ni réalité intrinsèque, permanente et universelle, ni pure abstraction éminemment relative, le système apparaît ainsi comme un médium cognitif entre un acteur et un problème, que l’acteur essaie d’influencer dans son évolution, sans qu’il soit besoin de faire appel aux catégories de l’objet et du sujet, de l’objectif et du subjectif, dont la neutralité épistémologique s’avère plus que douteuse

un  apport  significatif  à  cette  contextualisation.  Cependant,  nous  faisons  également  l’hypothèse  que  l'instrumentation  d'une  activité par  le  biais d'un EIAH demande que la perception de l'effort  nécessaire  à  son  usage  (effort  cognitif  mais  aussi  professionnel)  soit  inférieur  au  bénéfice  perçu  (perception conative).  MAAPEA  étudiants ;  (iii)  un  projet  de  remodelage  ergonomique  et  fonctionnel  du  « plan  de  travail »  de  façon  à  y  instrumentaliser  les