Tue-loup

coupable. Deuxièmement, dans cette fable, le rang social est jugé plus durement que le crime lui-même. Dans un premier temps, l’Âne sert de bouc émissaire. En effet, bien que l’Âne ait commis la faute la moins grave, dès qu’il avoue son crime, le Loup et les autres puissants s’empressent de le désigner comme coupable, comme le prouve cette antithèse et cette antiphrase : « Sa peccadille fut jugée un cas pendable. / Manger l’herbe d’autrui ! quel crime abominable ! » (v. 59-60) Dans un second temps

saurait tarder beaucoup.  Sur ces entrefaites un Loup Sort du bois, et s'en vient ; autre bête affamée. L'Âne appelle aussitôt le Chien à son secours. Le Chien ne bouge, et dit : Ami, je te conseille De fuir, en attendant que ton maître s'éveille ; Il ne saurait tarder ; détale vite, et cours. Que si ce Loup t'atteint, casse-lui la mâchoire. On t'a ferré de neuf ; et si tu me veux croire, Tu l'étendras tout plat. Pendant ce beau discours Seigneur Loup étrangla le Baudet sans remède. Je conclus qu'il

Le loup et le chien. I- l’art du récit. La fable est dynamique (beaucoup d’actions) et théâtrale car elle met en scène deux animaux (symbolique). Les vers sont hétérométriques : (de mètres différents) alexandrin, décasyllabe, octosyllabe ce qui entraîne une diversité dans la fable. La variété, souplesse, plaisir : il y a des rimes croisées, plates, embrassées. Cela fait plus naturel et vivant. Le temps utilisé est le présent de narration qui rend le récit plus vivant, et de l’imparfait

familiaris) est la sous-espèce domestique de Canis lupus, un mammifère de la famille des canidés qui comprend également le loup gris et le dingo. C'est la première espèce animale à avoir été domestiquée par l'homme pour l'usage de la chasse dans une société humaine paléolithique qui ne maîtrise alors ni l'agriculture ni l'élevage. La lignée du chien se différencie génétiquement de celle du loup gris il y a environ 100 000 ans1, et les plus anciens restes confirmés de chien domestique sont vieux de 31 700 ans2

Dans l’illustration de Chagall, un rapport de force entre un animal puissant et un animal fébrile est présent. Le tableau met en scène deux animaux au bord d’une rivière. Un loup qui tient dans sa gueule un agneau. Dans un premier plan, on peut observer le reflet du loup dans la rivière alors que celui de l’agneau n’y est pas représenté. Le petit animal est comme transparent, voire inexistant. Dans le deuxième plan, on voit cette bête puissante tenant l’agneau, il est plus imposant et la place qu’il

Commentaire "le loup et le chien" Les fables de Jean de la Fontaine sont connues de tous depuis l'enfance, car leur simplicité et le message qu'elles veulent faire passer on marqués les esprits de chacuns. Ses oeuvres regroupées en différents volumes font de lui un des poétes français les plus célèbre et populaire. Ces fables font penser à des scenètes souvent comiques et imagées d'apparence enfantines et pures, masquant en réalité un message , une morale trés sérieuse. Le loup et le chien

texte « Menace dans les choux » et du « Roman d'Alexandre »3.Liste des personnages principaux. Le narrateur est inconnu, il ne participe pas a l'histoire. Il est externe. Les personnages principaux sont : Tibert, le chat: Allié de Renart.Isengrin, le loup: Ennemi de Renart. Renart Le goupil: Personnage principal a qui il arrive de nombreuses péripéties.4.Résumé du livre.◘ situation initiale (date et lieu de l'action) : Renart est dans un poulaillé au aguets. Date, 12e et 13e siècles.◘ élément perturbateur

gréco-latine. A partir de 1668 succède à Esope et Phèdre, Jean de La Fontaine qui les considère sous un nouvel angle. En effet, il les modernise, s’en approprie et en invente. Suite à l’analyse de plusieurs de ces productions (Le Loup et l’Agneau, Le Loup et le Renard, Le Loup et le Chien), on constate que toutes partagent de nombreuses caractéristiques. Ainsi, on remarque qu’elles ont pour premier objectif de séduire le plus large public : les récits, brefs, prennent la forme ludique de vers, et se

êtres humains. La fable L'Âne et le Chien le démontre en dénonçant l'ingratitude de l'âne envers le chien. Un Ane refuse à un " Chien mourant de faim " de le laisser prendre un morceau de pain dans le panier qu'il porte sur son dos. Sur ces faits un Loup attaque l'Ane, qui supplie le Chien de le secourir. Mais pourquoi ce dernier aiderait-il celui qui a refusé de l'aider ? " Il se faut entr'aider, c'est la loi de Nature " au vers 1 " Je conclus qu'il faut qu'on s'entr'aide " au vers 38

Comparaison entre deux textes : « Le loup et l’agneau » par Phèdre et La Fontaine. Tout d’abord on remarque que les titres des deux œuvres sont identiques et se nomment « le loup et l’agneau ». Concernant l’écriture, La Fontaine introduit dans son œuvre des vers contrairement à Phèdre où son texte est en prose (mais c’est une traduction). Les textes contiennent tous deux des passages qui sont des dialogues. On remarque aussi que l’agneau vouvoie le loup alors que ce dernier le tutoie. Le