Tue-loup

B) L'accusation du loup : - Ici aussi, nous avons affaire à un mâitre de l'éloquence, qui va cette fois ci accuser l'âne. - Le loup est décrit comme "quelque peu clerc" au v.56, et ce quantificateur "quelque peu" nous permet au premier abord de cerner le personnage ; on sent son habileté - Le loup fait preuve d'une excellente organisation, qui lui permet de démontrer la culpabilité de l'Âne, comme le dit au v.56 "prouva par sa harangue". - Mais là encore, le loup ne parle pas non plus de

datant de l’antiquité. Il prend exemple sur Phèdre, Esope, Pilpay ou encore Abstémius, qu’il faits correspondre à la visée de la fable. * Quelques exemples de Morales de Fables connues. * « la raison du plus fort est toujours la meilleur » le loup et l’agneau * « Travaillez, prenez de la peine : C'est le fonds qui manque le moins » le laboureur et ses enfants. * « Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage » et « On a souvent besoin d'un plus petit que soi. » le lion

Seigneur, En les croquant, beaucoup d'honneur. Et quant au Berger, l'on peut dire DS (2 heures) Les Fables TEXTE A : La Fontaine, Fables, Livre I - Fable 10 « Le Loup et l'Agneau » La raison du plus fort est toujours la meilleure : Nous l'allons montrer tout à l'heure. Un agneau se désaltérait Dans le courant d'une onde pure. Un loup survient à jeun, qui cherchait aventure, Et que la faim en ces lieux attirait. "Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage? Dit cet animal plein de rage : Tu seras

Commentaire de texte : « Le Loup et l’Agneau », La Fontaine, fable X, Fable, 1668 Jean de La Fontaine était contemporains et un des nombreux artistes présents dans l’entourage de Louis XIV, il est l’auteur des fables qui portent son nom et qui racontent des histoires basées sur une morale par des animaux (qui représentent les hommes) L’extrait proposé dans ce corpus est la fable Le Loup et l’Agneau  paru en 1668, elle raconte la différence entre puissant et soumis de façon cruelle. Quelles

sinon Écho, ne répond à ma voix. Entre les loups cruels j’erre parmi la plaine ; Je sens venir l’hiver, de qui la froide haleine D’une tremblante horreur fait hérisser ma peau. Las, tes autres agneaux n’ont faute de pâture, Ils ne craignent le loup, le vent, ni la froidure : Si ne suis-je pourtant le pire du troupeau. Sonnet IX, tiré des Regrets - 1558 À Cérès, à Bacchus et à Palès Cérèse d’épis je couronne, Ce pampre à Bacchus je donne, Je donne à Palès la grande Deux pots de lait

Le renard roux Il existe plusieurs sortes de renard. Le plus connu est le renard roux. Le renard est un mammifère carnivore, il mange donc de la viande, des poules, des mulots et des souris. Il se nourrit aussi d'œufs, de lézards, d'insectes, de charogne, et même de fruits et de baies et il appartient à la famille des canidés. Il glapit et est un vertébré, ce qui veut dire qu’il a une colonne vertébrale. La femelle du renard est la renarde. Une fois par an, au mois de mars, naissent 3 à 5 renardeaux

mensonge sur la calomnie, leçon de sagesse immorale, cette fable célèbre les appâts du genre, en même temps qu’elle nous met en garde contre l’affabulation. Elle offre un écho inversé du récit du « Loup et l’Agneau » : pour se défendre face aux amalgames, aux arguments d’autorité et aux mensonges du Loup, l’Agneau choisit la vérité, mais au prix de sa vie. Le Cerf fait ici meilleur usage de la rhétorique de cour : il a compris qu’en ces lieux, il s’agit de paraître plutôt que d’être, et que le roi

Je vais dire en quelques mots combien la liberté a de charmes. Un chien bien repu rencontra par hasard un loup exténué de maigreur ; ils se saluent et s'arrêtent. D'où te vient, je te prie, dit le loup, cette mine florissante? Quel régime t'a donné ce bel embonpoint ? Moi, qui suis bien plus robuste que toi, je meurs de faim. — Le chien répondit sans détour : le même bonheur t'attend, si tu peux rendre à mon maître les mêmes services. — Lesquels ? dit l'autre. — Veiller au seuil de la porte, et

observons grâce aux illustrations que le loup de l'histoire sort du livre. En effet, dés la page commençant par « ...qu'à la lisière des villes et des villages. », nous observons le loup qui est hors du livre et qui semble se cacher pour poursuivre le lapin. Par la suite, le lapin se promène dans les poils ou les pattes du loup pendant sa lecture. Enfin, nous découvrons la couverture en tissu rouge et les pages du livre déchirées, semble-t-il par les griffes du loup. Je proposerai, comme activité

majuscules (« Un Loup », vers 1 ; « Ce Loup », v. 3 ; « un Dogue », v. 3) et aux marques de l’anthropomorphisme (« Sire Loup », v. 6 » ; « beau sire », v. 13 ; « à la pointe de l’épée », v. 20 ; « salaire », v. 26) L’intérêt du lecteur est suscité également par l’aspect dramatique de la confrontation. Le narrateur décrit en un vers la situation effrayante du loup (« Un Loup n’avait plus que les os et la peau » v. 1) puis il oppose à cet animal famélique le chien, plein de santé : « Ce Loup rencontre