Turcs

à droite, le détroit du Bosphore et la mer de Marmara. Le siège de Constantinople commence en avril 1453 avec 150.000 hommes. Le basileus (empereur en grec) Constantin XI se fie aux puissantes fortifications héritées du passé pour résister aux Turcs en attendant d'hypothétiques secours. Devant ce triple cercle de murailles, le sultan Mehmet II fait appel à toutes les ressources de l'artillerie. Il dispose de pas moins de 25 à 50 grosses bombardes (canons primitifs) et de plusieurs centaines de

maîtresse chez qui il se rendait souvent, quand il allait chez les Turcs : la veuve du Pacha de Scutari. Un jour où celle-ci rate la cuisson du repas de Marko, celui-ci, ayant bu, perd patience et insulte la jeune femme. Le lendemain, les Turcs, prévenus par la veuve, le surprennent dans la maison de sa maîtresse. Marko, pour leur échapper, saute par la fenêtre et atterrit dans la mer. Luttant contre les flots, il est repêché par les Turcs. Se faisant passer pour mort, il subit toutes sortes de tortures

Anglo-Saxons, Normands…) l’armée provinciale est délaissée, en particulier dans les zones frontalières. L’insécurité refait surface : les Turcs lancent des raids contre l’Arménie byzantine et les Petchénègues pillent les Balkans. 2) Byzance et les Turcs : l'invasion de l'Asie Mineure. • L'invasion turque. Installés en Asie centrale, convertis à l’islam, les Turcs connaissent de profonds bouleversements au XIe siècle. La faiblesse des dynasties arabes – dont les Abbassides – leur a ouvert la

tiré du recueil « Les Orientales ». Victor Hugo l'a écrit dans un contexte bien particulier. En effet, en 1822 la Grèce se proclame indépendante. Des populations sont alors massacrées par les Turcs, notamment les habitants de l'île de Chio. C'est un sujet d'actualité car les Grecs se sont révoltés contre les Turcs et l'Europe a pris fait et cause en faveur des insurgés. En outre, le massacre avait inspiré quelques années auparavant un célèbre tableau à Delacroix. Dans ce poème, on peut alors remarquer

considérables au prix d’un effort difficilement concevable. En 1078, les Turcs Seldjoukides, membres d'une tribu Turque provenant du lointain Turkestan et ayant émigré au proche-orient, expulsent de Jérusalem la dynastie sunnite Abbasside qui y était installée depuis 637. C'est, pour les pèlerins chrétiens, le terme du libre accès à Jérusalem. La même année, vaincus à la bataille de Manzikert en 1071, les Byzantins voient les Turcs s’établir à Nicée et y installer un royaume en 1081. Le Basileus de Constantinople

: ü aider les frères chrétiens d’Orient qui vont en pèlerinage (montrer sur une carte la situation vers 1000-1100 et savoir qu’Alexis 1er Comnème avait envoyé une ambassade à Urbain II en 1095 à Plaisance pour demander de l’aide) ü éviter que les Turcs n’étendent leur puissance davantage (faire remarquer les termes « païeninfidèle ») ü obtenir le Salut (« leurs péchés seront pardonnés ») ⇒ que l’on meurt accidentellement ou au combat. q Qui selon vous est concerné par cet appel : les chevaliers surtout

d’affirment, ces sont les Fatimides ( shiites) , et les Omeyades d’Al-Andalous, défenseurs de la Sunna. Dans quel contexte s’opérèrent de tels changements ? La fin de l’unité au sein même du califat abbaside, la chute du pouvoir du calife, l’irruption des turcs qui constitueront des dynasties et qui seront dotés d’un pouvoir sans précédent peuvent d’ores et déjà être des facteurs à la transformation du monde musulman. Une telle désagrégation du pouvoir califale durant presque 1 siècle s’explique t par un

autour d’une question. En revanche si on n’en a pas besoin on n’y a pas recours. Exemple : pour les Serbes, le Kossovo c’est la Serbie, parce qu’au XIVème siècle il y a eu une bataille (La bataille des Merles) qui a opposé des Serbes aux Ottomans (Turcs), la réalité historique était une coalition de Serbes et de voisins, mais dans la géohistoire serbe c’est les Serbes. C’est un des arguments aujourd’hui pour dire que le Kossovo est et doit rester Serbe, même si aujourd’hui au moins 90% de la population

Constantinople, si je n’avais vu tant d’églises ruinées et de places et leurs fondations, depuis remplies de bâtiment mahométans, j’aurais difficilement découvert leur configuration antérieure, je n’aurais pas facilement deviné quelles destructions les Turcs avaient accomplies depuis qu’ils ont pris la ville. » (Traduction originale) Prétérition à propos d’un héritage oublié, notamment par les autochtones qui n’éprouvent que peu d’intérêt voire de l’aversion pour cette époque. D’après le constat de

pose problème. Le terme d’étranger (yabanci) dans la langue turque, n’a pas les mêmes connotations qu’en France (Pérouse, 2002). Les essais de qualification deviennent encore plus douteux quand il s’agit de ressortissants kurdes de Turquie, citoyens turcs, donc, mais souvent véritables « étrangers de l’intérieur »4 qui tentent de partir clandestinement en Europe et qui sont souvent comptabilisés parmi les clandestins (kaçak), et confondus avec les étrangers, interpellés. Enfin, il est aussi souvent