Tyran

sont toujours les riches qui ont le pouvoir et que les pauvres ne peuvent pas s’exprimer. A l’époque, à Thèbes, les dirigeants sont des tyrans. Le régime politique est défini comme tyrannique lorsque le pouvoir et détenu par un homme de façon personnelle et autoritaire, qui l’a conquis par la force. D’après Thésée, « rien pour l’Etat n’est plus dangereux qu’un tyran » et « les lois ne sont pas les mêmes pour tous » contrairement à la démocratie. Au contraire, pour le messager Thébain, il est mieux

XVIème siècle, Etienne de la Boétie, jeune homme de 18 ans, écrit un texte argumentative sur la relation maître-esclaves, qui invite le lecteur à se révolté contre plusieurs sujets. Dans l'extrait analysé des « trois types de tyran », il invite à se révolté contre les différents tyrans et leur régime politique. Pour faire cette critique qui incite aux lecteurs à se révolter, il utilise différents types d'argumentation. Comment l'argumentation est elle développé dans le texte ? La Boétie dans un premier

pour finir par être libre dans la collectivité. La liberté peut-elle n’être qu’une illusion ? Peut-elle se trouver dans une certaine naïveté ou une certaine ignorance ? Comment différencier le sentiment de liberté des conditions de la liberté ? Un tyran est-il quelqu’un de libre ? Peut-on trouver une forme de liberté en toute situation ? Enfin, accéder à la liberté passe-t-il nécessairement par une forme de libération ? I. Se libérer des illusions et de l’ignorance a) La servitude volontaire Il

Texte 4 Il y a trois sortes de tyrans. Les uns règnent par l’élection du peuple, les autres par la force des armes, les derniers par succession de race. Ceux qui ont acquis le pouvoir par le droit de la guerre s’y comportent — on le sait et le dit fort justement comme en pays conquis. Ceux qui naissent rois, en général, ne sont guère meilleurs. Nés et nourris au sein de la tyrannie, ils sucent avec le lait le naturel du tyran et ils regardent les peuples qui leur sont soumis comme leurs serfs

de sa conduite envers les Syracusains. A chaque rappel de ses actes, la foule manifestait son approbation et l’on admirait fort qu’il se fût livré sans défense à ceux qui auraient voulu le tuer et, loin qu’il fût frappé d’un châtiment en tant que tyran, d’une seule voix tous le proclamaient bienfaiteur, sauveur et roi. Après cette assemblée, Gélon utilisa le butin pour construire à Déméter et Coré des temples importants. Il fit faire un trépied d’or de seize talents et le consacra dans le sanctuaire

encore plus de lui; mais, pour retirer de lui, il faut renverser l'État. Plus il paraîtra tirer d'avantage de sa liberté, plus il s'approchera du moment où il doit la perdre. Il se forme de petits tyrans qui ont tous les vices d'un seul. Bientôt ce qui reste de liberté devient insupportable; un seul tyran s'élève; et le peuple perd tout, jusqu'aux avantages de sa corruption. La démocratie a donc deux excès à éviter: l'esprit d'inégalité, qui la mène à l'aristocratie, ou au gouvernement d'un seul;

que sa volonté de tout diriger et de supprimer les libertés. Il écrit « Je vais souffler la Liberté Bien délicatement ainsi qu’une bougie ». En fait, l’empereur pensait pouvoir souffler la liberté comme on éteindrait une bougie. C’est un véritable tyran. Dans le texte de Zola, la présence de son autorité est beaucoup moins marquée. On note juste son impact sur les autres aux lignes 15 et 16 lorsqu’on lit « se rangeaient au bord du chemin pour laisser passer la voiture. » Il y a tout de même un grand

il a tous les pouvoirs.                            Ce discours s’apparente donc parfaitement à celui d’un tyran, les excès et la violence n’étant pas oubliés.                            En effet, le fait que « gouverner, c’est voler » n’implique pas forcément le fait que la politique tenue soit monstrueuse ou violente. C’est Caligula qui veut que les choses soient ainsi en tant que tyran. Cette violence se voit notamment dans son autoritarisme : les riches « doivent obligatoirement déshériter »

des honneurs et l’ambition excessive. Elle n’encourage donc pas le peuple entier mais seulement les plus pauvres. Différence entre tyrannie et dictature. Le tyran soumet les autres à ses désirs, c’est une déviation de la monarchie, et il y a de plus usurpation du pouvoir dans l’intérêt du tyran et non collectif. 2 moyens s’offrent au tyran pour prendre le pouvoir : la force militaire ou la ruse politique, autrement dit la démagogie (manipuler les masses). Partie 3 : L’ Etat romain et la République

système est condamnable pour Platon, sauf si le tyran peut être orienté dans ses choix par un philosophe. Ces 4 formes se succèdent : à l’âge d’or timocratique de la Grèce archaïque apparaissent cupidité et soif de pouvoir, entraînant une oligarchie à accaparer le pouvoir. Les révoltes populaires conduisent à la démocratie. Celle-ci entraîne nécessairement une mauvaise gestion et des crises, qui suscitent la recherche d’un protecteur, le tyran. Celui-ci a alors besoin de la guerre pour maintenir