Tyran

question qui ressemble à un appel à la réflexion du lecteur paragraphe 1 Définition de tyran, décalage par rapport au titre qui annonçait « tyrannie », ce que Voltaire explique, c'est « tyran », déplacement du régime politique sur l'homme, se justifie en ce que la tyrannie suppose qu'un seul détienne le pouvoir, ce qui en produit l'injustice def correspond à une restriction ne...que souligne faiblesse du tyran : il n'est pas bon pq seule loi = caprice critique au niveau du syst po = lois (pour tous)

plus, La Boétie use d’un procédé de mise en valeur par l’expression : « Je poserai cette question » en ouverture du dernier paragraphe. On relève par ailleurs une implication forte de la part du locuteur : « Pour dire vrai, je vois bien entre ces tyrans quelques différences, mais de choix, je n’en vois pas » et « Je ne lis jamais leur histoire sans en éprouver un dépit extrême qui me porterait presque à être inhumain, jusqu’à me réjouir de tous les maux qui leur advinrent ». Le locuteur utilise la

l’esclavage du désir à la maîtrise de soi? Pour obtenir la satisfaction du désir il me faut du pouvoir. Au sens où pour obtenir satisfaction, il faut une liberté. La liberté semble être conditionné au pouvoir que l’on possède. Le tyran serait-il la figure de la liberté? Le tyran apparait comme étant le plus heureux, il possède tous les pouvoirs. Il fait de son désir une loi. L’enfant capricieux tyrannique c’est celui qui veut imposer à tous ses désirs. Les grecs pensaient que la tyrannie symbolisait le

moitié du VIIè que cette eunomia (bonne législation) se mit en place. Mais Lycurgue semble être un personnage légendaire. Sparte fut la première puissance militaire du monde grec jusqu’au IVè et incarne la liberté et l’indépendance grecque face aux tyrans. La crise de la fin du VIIè à Athènes Le pouvoir royal est morcelé entre trois archontes : roi, polémarque et éponyme désignés à vie d’abord, puis pour dix ans, puis annuellement. Au VIIè, la cité est dirigée par une aristocratie (les Eupatrides)

Aristote en gardera du moins une rancune solide contre Speusippe. La même année, peut-être sur l'instigation de son maître, Aristote avait été envoyé avec Xénocrate et Théophraste à Assos, en Troade, où il devint le conseiller politique et l'ami du tyran Hermias d'Atarnée. Parallèlement, Aristote ouvre une école, où il affirme déjà son originalité. Il y entreprend, entre autres, des recherches biologiques. En 345-344, Aristote, peut-être sur l'invitation de Théophraste, se rend dans l'île voisine de

majeur né en 384 av J.C. à Stagire et mort en 322 av J.C. à Chalcis, et ses élèves parmi d’autres descriptions de constitutions de cités grecques. Trois chapitres sont consacrés aux réformes de Clisthène (XX : Etats des partis après l’expulsion des tyrans, XXI : Développement des institutions démocratiques de Solon. Tribus et dèmes et XXII : Caractère démocratique des réformes de Clisthène. L’ostracisme.) dans la première partie de l’œuvre qui décrit l’évolution de la vie politique athénienne depuis

ce fait se penser comme un simple « abus » ; il renvoie à une économie spécifique de l’autorité qui se définit par des lois tout à fait contraignantes. C’est pourquoi si la psychologie du tyran faisait la tyrannie, ce sont les rapports nécessaires caractérisant le despotisme qui font le despote. Et si le tyran était un démagogue dont la menace était étroitement liée à la démocratie, le despote ne peut jamais être que le « nouveau » despote dans des États où le peuple, définitivement hébété, n’a jamais

effet sur le thème de l'autorité des monarques. Conformément à l'esprit des Lumières, Diderot dénonce la tyrannie fondée sur le postulat selon lequel l'autorité, contrairement à la liberté, n'est pas naturelle. Pour l'auteur, seuls la violence du tyran et le « consentement » du peuple permettent à l'autorité de s'épanouir. Ces deux causes de l'autorité sont précisément mises en scène dans les récits du corpus : le « Conte arabe » montre comment une population, de peur de susciter la colère de son

- "tyran". => Focalisation interne, l'auteur montre qu'il est présent. => Il s'agit d'un texte argumentatif où l'auteur développe ses idées. => Il s'agit de la thèse. => L'auteur emploie un ton catégorique, il n'utilise pas de moyen de déjouer la censure, ce qui montre son courage ; c'est un ton oratoire. => Dans le second paragraphe il incite à la révolution, il cherche à exercer une influence. => Le terme de prince symbolise la démocratie, il exprime ici son souhait. => Le terme de tyran symbolise

tyrannie : prendre le pouvoir par Pisistrate = tyran qui a fondé la force une dynastie de tyrans va s’appuyer sur la foule afin de gouverner : aides aux pauvres, offres de travail à la campagne (pour les isoler) Pourquoi faire ça ? -> pour les disperser ainsi ils n’éprouvent pas le besoin de s’occuper des affaires publiques -> permet l’acceptation de la tyrannie, ainsi Pisistrate garde le pouvoir politique pour lui seul. Clisthène renverse le tyran hippias avec l’aide des SPARTIATES -> découpage