Tyran

que toutes ses actions suivent sans erreur ce qu'avait décrit De La Boétie. Effectivement, il pensait que le peuple n'était pas friand de liberté à la base, mais se préoccupait surtout de ses propres intérêts personnels. Il ajoutait aussi que les tyrans ne pouvaient pas « prendre » le pouvoir, mais celui-ci était concédé par le peuple qui ne se défendait pas, et qui obéissait passivement. C'est donc ainsi que lorsque Pinochet a tenté de prendre le pouvoir, il a mit en scène une phénoménale attaque

dominés grâce aux termes «celui-ci»/«ceux qui», «ces divers […] qui commandent»/«obéissent […] ils». D’après lui cette autorité est contestable («usurpation », «joug», «n’est qu’une», «ne dure autant que»), le pouvoir est arbitraire et illégitime («tyran») et a des limites qui découlent de la nature même de l’autorité, c'est-à-dire de la force (ligne 15). Cette autorité repose sur un rapport d’instabilité avec insistance sur la durée (« ne dure autant que», «deviennent à leur tour», «secouent»). Le

Polycrate de Samos Introduction : L’époque archaïque se situe entre 700 et 480 avant Jésus Christ. Durant cette période, de nombreux tyrans ont pris le pouvoir un peu partout en Grèce. On peut dire que le tyran est un monarque, c’est à dire un homme qui détient seul le pouvoir et qui impose le plus souvent l’oligarchie. Polycrate de Samos fait partie de ces tyrans puisqu’il va prendre le pouvoir de l’île de Samos au VIe siècle avant JC et plus précisément entre 538 et 522. L’ile de Samos est une

autel, dédié généralement à Dionysos, occupant le milieu de l’orchestra. Tritagoniste: troisième acteur. Tyran, tyrannie : Chez les Grecs du VIe siècle av. J.-C., le tyran est « un chef politique qui a pris ou recueilli le pouvoir sans y avoir vocation héréditaire ou traditionnelle, généralement avec l’appui du peuple et contre l’aristocratie ». Mais à l’époque de Sophocle, le mot tyran a pris un sens défavorable et désigne celui qui s’empare du pouvoir par la force et dont on peut craindre qu’il

comique. Lorenzo retrace sa vie, exprime ses sentiments et pousse Philippe Strozzi à agir. Il se voit de garçon studieux à débauché, du projet d’assassiner Clément VII à un plus humble tyran : Alexandre.      Lorenzo raconte sa progressive déchéance : il a découvert qu'il ne pourrait sauver l'humanité des tyrans car, déçu, il pense que l'humanité entière est tyrannique. Lecture  ACTE III, SCENE 3 Extrait LORENZO — Suis-je un Satan ? lumière du Ciel ! je m’en souviens encore ; j’aurais pleuré

pour décrire la relation entre Usbek et Roxane est un vocabulaire politique : servitude, libre,réformé tes lois,indépendance,soumission,soumis . La situation de Roxane est celle d’un esclave au sens politique du terme et Usbek apparaît comme un tyran, un tyran privé dont seuls comptent les caprices , les fantaisies . Cette tyrannie s’exerce contre les lois de la nature sur lesquelles Roxane s’appuie pour expliquer ses actes. La lettre de Roxane prend une dimension philosophique et politique en postulant

lourde que ne l’était celle de Crésus. Les perses vont installer des tyrans dans les principales cités grecque d’asie pour exercer un contrôle plus fort dessus. Or, ces cités grecques d’asie aspiraient à pouvoir choisir librement leur propre régime politique ; les perses bafouent alors leur aspiration à la liberté politique, et c’est ceci qui est à l’origine de la révolte de l’ionie. Le premier geste va être de renverser les tyrans et les cités grecques d’asie mineure vont déclarer l’isonomie. Aristagoras

I- Un art de la mise en scène Hugo-poète emprunte souvent ses effets à Hugo-dramaturge. C'est la cas dans ces vers où, explicitement, le tyran interpelle des complices. On peut y voir aussi un sorte de monologue intérieur que le lecteur entendrait grâce à un artifice comparable à ceux utilisés au théâtre. Un tel discours n'a, bien sûr, jamais été prononcé mais le procédé est saisissant. Nous voici à l'écoute d'une pensée brute et non d'un discours politique élaboré, dès lors au fondement même

6- Pantomime : a - art qui consiste à s’exprimer par les gestes, les attitudes corporelles. b - attitude outrée, ridicule. C’est le sens de ce mot, dans le texte. Activité 2 : Créon : tyran arbitraire ou roi sage et mesuré ? 1- Relève dans les propos d’Antigone les phrases qui présentent Créon comme un tyran arbitraire abusant de son pouvoir. Chez quel auteur les trouve-t-on ? 2- Quelle différence constates-tu dans les sentiments de Créon à l’égard de sa nièce, entre les deux pièces ? 3- Quels

faut que je sois réellement une étincelle du tonnerre, car tout à coup, une certaine nuit que j'étais assis dans les ruines du colisée antique, je ne sais pourquoi, je me levai; je tendis vers le ciel mes bras trempés de rosée, et je jurai qu'un des tyrans de ma patrie mourrait de ma main. J'étais un étudiant paisible, et je ne m'occupais alors que des arts et des sciences, et il m'est impossible de dire comment cet étrange serment s'est fait en moi. Peut-être est-ce là ce qu'on éprouve quand on devient