Tzvetan Todorov

verificación de su interlocutor, el relato del Eternauta puede ser una mentira. Puesto que es individual, no pasible de comprobación, la experiencia del Eternauta se inscribe en el orden de lo fantástico: la vacilación interpretativa, como lo quiere Todorov, no se resuelve. Sin embargo, el narrador, depositario de la confidencia, en ningún momento se plantea esta disyuntiva; una vez que ha probado que la entrevista con aquel extraño personaje existió más allá de su mente, entonces cree en la palabra

en rapport avec la double crise de l’histoire –en tant qu’elle s’identifie à l’universel et à la raison- et de la nation. Il est vrai que le mot « patriotisme » semble aujourd’hui être devenu un vilain mot ; d’après l’analyse qu’en fait Tzvetan Todorov dans son livre Nous et les autres, il est nécessairement porteur d’exclusion : Georges Brassens ne parlait-il pas des « imbéciles heureux qui sont nés quelque part » ? Le mot « nation » semble lui aussi avoir perdu toute signification positive

dans le réel, jouant sur le doute d'une réalité possible (ex. Le Horla de Maupassant). Il maintient un climat de suspense pour que le lecteur doute et ne sache pas quelle solution choisir à la fin de l'œuvre, selon la définition qu'en a donnée Tzvetan Todorov. Il débouche souvent sur le registre dramatique quand l'interrogation se transforme en inquiétude. La fascination et l'effroi Enfin le lecteur peut ressentir un mélange de fascination et d'effroi qui associe des réactions complexes devant le

favole di magia hanno struttura monotipica LE TEORIE: ALCUNI MODELLI FORMALISMO RUSSO (1915-1930) Distinzione tra fabula e intreccio La riflessione di Boris Tomaševskij sul metodo formalista [La costruzione dell’intreccio (1925), in T. Todorov (a cura di), I formalisti russi (1965)]: TEMA = “unità dei significati dei singoli elementi dell’opera” => concetto di INTERESSE (attualità) => ATTENZIONE => LE TEORIE: ALCUNI MODELLI ⇒ Scelta del TEMA = nucleo di una serie di elementi tematici

permettent de la découvrir à notre tour. Menacés aujourd'hui par de nouvelles formes de dégradation de la vie quotidienne, nous sommes, en regardant ces tableaux, tentés d'y retrouver le sens et la beauté de nos gestes les plus élémentaires. » (Tzvetan Todorov, Eloge du quotidien4) La partie de cartes 13 4 Editions du seuil (1997) 

clair-obscur  qui touche et dérange. Bibliographie. BENNAC (Henri), Guide des idées littéraires, Paris, Hachette, 1988. CALAS (Frédéric) et CHARBONNEAU (Dominique-Rita), Méthode du Commentaire stylistique, Paris, Nathan, 2000. DUCROT (Oswald) et TODOROV (Tzvetan), Dictionnaire encyclopédique des sciences du langage, Paris, Seuil, 1972. LAFFONT-BOMPIANI, Dictionnaire des personnages, Paris, Ed. R. Laffont, 1960. LA HOSSERAYE (Catherine de), L'Ingénu/Voltaire, Paris, Larousse, 2000. LIGNY (Cécile de

tenté de désacraliser la littérature : «n’importe qui, à n’importe quel moment dans n’importe quel lieu, dans 201 Synergies Algérie n° 3 - 2008 pp. 201-209 Dr. Nedjma Benachour n’importe quelle langue peut faire de la littérature ». T. Todorov, quant à lui, relie cette notion à la théorie du discours qui permet ainsi de remplacer l’opposition littérature/non - littérature par une typologie2 des discours. Ceci est fort séduisant, car considérer la littérature comme pratique discursive permet

Jean chevalier alain gheer brant dictionnaire des symboles, Edition Robert Lafflont S.A. et Edition Jupiter. Paris 1982. - Edward W. Said, L’Orientalisme. L’Orient créé par l’Occident, Traduit de l’américain par Catherine Malamoud, Préface de Tzvetan Todorov. Paris, Editions du Seuil, 1980. Première Edition : Orientalism, Vintage Books, New York, 1978. - Poésie d’orient…Adonis, posté par Emmila à 20 :20. - Poète et conscience inaltérable –Adonis, www.blogdemagog.com/.../orientalisme.../orientalisme_said

s’expliquer par les lois de ce même monde familier […]. Le fantastique, c’est l’hésitation éprouvée par un être qui ne connaît que les lois naturelles, face à un événement en apparence surnaturel ». Introduction à la littérature fantastique, Tzvetan Todorov. Des ténèbres des événements « surnaturels » de la Grande Dépression, surgit le cinéma fantastique hollywoodien, au début des années 30, avec ses Frankenstein et Dracula, ces monstres qui incarnent, cristallisent et déforment des peurs et des

tende les bras, consente à sa séduction. [...] Le fantastique aime nous présenter, habitant le monde réel où nous sommes, des hommes comme nous, placés soudainement en présence de l’inexplicable. » (La Séduction de l’étrange, 1965, p. 88). Tzvetan TODOROV : « Le fantastique, c’est l’hésitation éprouvée par un être qui ne connaît que les lois naturelles, face à un événement en apparence surnaturel. » (Introduction à la littérature fantastique, 1976, p. 29). Charles GRIVEL : « Fantastique est