Ulcération

(hallucinations) ou d’avoir des idées étranges (délire). Les caractéristiques en bouche Lors d’un traitement en radiothérapie, il arrive d’avoir des effets secondaires en bouche : - Radiomucosite : Érythème généralisé des muqueuses et ulcération. La radiomucosite apparaît à la deuxième semaine, devient plus aiguë à la troisième semaine et disparaît graduellement après la radiothérapie. - Radiodermatite : Érythème de la peau. La peau devient rouge, irritée, bronzée ou semble souffrir

consulter,  même  s’ils  n’ont  eux­mêmes  aucun  signe.  Cependant,  des  signes  anormaux  sur  le  corps,  comme  des  rougeurs,  irritations,  douleurs  au  bas­ventre,  écoulement  vaginal ou  urétral,  brûlures  en urinant, ganglions à  l’aine, ulcérations  ou  boutons et  petites  verrues..., sont le  plus souvent causés  par une  IST.  Mais  pas  toujours.  Quels  que  soient  les  signes  d’alerte,  il  faut  consulter  un  médecin  qui fera  le diagnostic et  prescrira  le  traitement nécessaire

Grise Pale et livide La chaleur : chaude Froide L’aspect : moite Sèche Oedèmes 3) Les anomalies de la peau : Aphte : petite ulcération au niveau de la muqueuse buccale Erythème : rougeur plus ou moins de la peau disparaissant a la pression Vésicule : soulèvement de l’épiderme. Contenant une sérosité claire Macules : tache rouge et petite non saillante. Phlyctènes : du a un

qui se manifestent après une période d’incubation où les germes se sont multipliés silencieusement. LES PRINCIPALES IST Elles varient en fonction des germes responsables, de la durée d’incubation et des symptômes. On distingue : - Les IST à ulcération : ces affections peuvent siéger sur la peau ou la muqueuse : gland, vulve, vagin, col de l’utérus, anus, gorge, lèvres (chez la femme, elles passent le plus souvent inaperçues). Exemples : syphilis virale, chancre mou, et herpès génital ; - Les

sévérité de la sténose, de sa longueur, de son caractère unique ou multiple, du siège, de la circulation collatérale +/- développée, du terrain...  FDR: tabac +++, diabète  Évolution possible de la plaque vers calcifications, sténose, ulcération, fissuration, thrombus mural, anévrisme, emboles.. Cours IFSI Etiologies  Essentiellement = athérome (> 90%)  Artérites inflammatoires :  Buerger (thrombo-angéite oblitérante) : Ho < 40 ans, fumeur, atteinte distale des a. de petit et

oreilles. En position assise Ischions, épines dorsales du rachis, omoplates, coudes. 4 – Les 4 stades de l'escarre 1. Rougeur ne disparaissant pas à la pression. 2. Phlyctène : ou cloques. Il y a altération des cellules de l'épiderme. 3. Ulcération et nécrose : La peau se noircit. Cratère. 4. Extension de l'ulcère : L'ulcère s'étend. 5 – Situations favorisantes Hormis la pression prolongée, il y a les chocs traumatiques, qui peuvent provoquer des lésions favorisant les apparitions d'escarres

THERAPEUTIQUE: actuelle BISOPROLOL 1,25 MG 2xj bêtabloquant ( fatigue, vertiges, nausées, vomissements) PERINDOPRIL 4 MG 1x j inhibiteur de l'enzyme de conversion ( toux sèches, vertiges, céphalées) DIFFUK 2 géllules 1 xj supplémént potassique (ulcération gastroduodénale) FUROSEMIDE 40 MG 1xj diurétique de l'anse ( deshydratation , troubles digestifs) XARELTO 10 MG 1x J anticoagulant oral (nausées ,saignements) EPINITRIL 5MG 1 x j patch dérivé nitré ( céphalées, legère irrittation locale et transitoire

vues ou réalisées : Mon stage ce déroule en service de chirurgie vasculaire, la pathologie principale rencontré est l’AOMI : arthériopathie oblitérante des membres inférieurs en stade 4 c’est à dire avec une forte dégradation des tissus (gangrène, ulcération, nécrose…) qui amène la plupart du temps à l’amputation du membre concerné avec des pansements impressionnant et long à la réfection réalisés avec une pince gouge : c’est une pince aux extrémités creuses à bouts tranchants utilisés pour enlever

2.2 Transmission La transmission du VIH dépend de 2 facteurs : - d’une part de la charge ou de la quantité de virus présente dans le milieu contaminant, de l’impact de la profondeur ou de l’intimité de la contamination. Ainsi, une ulcération et une plaie sont des facteurs qui facilitent la transmission sexuelle. La profondeur de l’inoculation est le facteur déterminant dans le cadre d’une contamination par piqûre ou blessure. Le VIH est bien sûr contenu dans le sang, mais également

l'hémorragie, la prévention des récidives doit être envisagée par méthodes : - médicales (propranolol). - ou endoscopiques (sclérose, ligature). Lésions aiguës gastro-duodénales : On regroupe sous ce terme des lésions variées qui peuvent être des ulcérations ou des érosions généralement de petite taille avec fréquemment un aspect noirâtre nécrotique, ou des lésions de gastrite hémorragique tel un purpura muqueux avec saignement en nappe. - Ces lésions peuvent être secondaires à la prise de médicaments