Umberto Eco

Presley, Che Guevara, Michaël Jackson sont fréquemment désignés comme « mythiques »parce qu’ils ont marqué leur époque. Ils sont devenus des symboles, des images pour la collectivité ; ils participent à notre fonds culturel. A propos de Superman, Umberto Eco écrit : Souvent, la vertu du héros s'humanise, et ses pouvoirs ultra-surnaturels ne sont que la réalisation parfaitement aboutie d'un pouvoir naturel, la ruse, la rapidité, l'habileté guerrière, voire l'intelligence syllogistique (intelligence

appartient aux rituels des bonnes mœurs, de l'ordre et de la discipline. Les théologiens et les philosophes ont longtemps glosé sur le fait de savoir si Dieu ou Jésus avaient su rire. Dans certains couvents, le rire de stentor était interdit. Umberto Eco termine son fameux roman Le Nom de la rose par un débat dans la bibliothèque mystérieuse d'une abbaye bénédictine. Il s'agit de la partie perdue d'un cours magistral d'Aristote sur la poésie, sur le comique, l'ironie et la plaisanterie dont les

époque (Ancion, Eco, Compagnon, etc.). Il s’agira en tous cas d’interroger la culture littéraire contemporaine par rapport à la valeur qu’elle assigne à l’acte d’écrire. Abstract The approach of literary contemporaneity has often suggested from the text or the author’s point of view, but the reader’s point of view has been more and more emphasised, for example in the essaynovel Comme un roman by Daniel Pennac in 1992, confirmed by more recent criticism and literary studies (Ancion, Eco, Compagnon,

référentialité : quel est le rapport entre le monde fictionnel et le réel de l’expérience ? Le monde est-il homogène et englobe-t-il réel et fictionnel, ou bien est-il hétérogène et se scinde-t-il en plusieurs mondes, dont le monde fictionnel qui est selon Umberto Eco un monde « possible » mais non « actualisé », ce qui ne le rend pas pour autant incompatible avec le monde réel ? « L’espace représenté en littérature est-il coupé de ce qui lui est extérieur (comme le défendent les structuralistes) ou alors interagit-il

craindre le monde virtuel ?, Le Point, n°1156, 12 novembre 1994 * Pierre Lévy et Jean-Pierre Balpe, supplément Le Monde, 20 novembre 1997, Propos recueillis par Michel Alberganti * Dominique Monet, Le Multimédia, Flammarion, 1997 * Umberto Eco, « Comment ne pas utiliser le téléphone portable » in Comment voyager avec un saumon, Grasset, 1997 Au fil des jours, les nouvelles technologies ne cessent de se développer et d’envahir nos vies et la création du monde virtuel à été

sunt à la danse macabre en passant par la petite apocalypse de la mort personelle, de la mort comme châtiment social, l’épitaphe et les formes fixes – tout y est – avec, en plus, la maîtrise et la puissance du génie. ». [26] Bibliographie: Eco Umberto, Sztuka i piękno w Średniowieczu, Społeczny Instytut Wydawniczy Znak, Kraków 2006 Jean Favier, François Villon, Fayard, Paris 1982 Jean-Marcel Paquette, Poèmes de la mort : de Turold à Villon, Union générale d'éditions, Paris 1979 Johan Huizinga

mode, la danse, le jogging ou dans les techniques orientales, est construit pour être vu. Il s’agit là d’une socialisation : celle d’intégrer dans un ensemble et de transcender l’individu. Umberto Eco, sémiologue et romancier célèbre. Ses premières expériences à la télévision italienne ont mis très tôt Umberto Eco en contact avec la communication de masse et de nouvelles formes d'expression, comme les séries télévisées ou la variété. Il y découvre le kitsch, les vedettes du petit écran et, plus généralement

corpus 4p.472: Le corpus est composé de trois extraits de romans, "Le roman de la momie" de Théophile Gauthier, "Les misérables" de Victor Hugo et "Le Nom de la rose" d'Umberto Eco. Ces trois textes appartiennent au registre du roman et chaque auteur propose une description d'un personnage de son œuvre. Pourtant très différent, chaque personnage se révèle inquiétant. Dans le texte de Théophile Gauthier, le pharaon est un personnage qui inspire le respect "une respectueuse

notions d'intertextualité et d'intratextualité dans les théories de la réception Kareen Martel Résumé Cet article étudie le concept d'intertextualité tel qu'abordé par trois poéticiens de la réception : Michael Riffaterre, Wolfgang Iser et Umberto Eco. Les idées avancées par ces théoriciens sont synthétisées, analysées et comparées afin d'établir une définition commune de l'intertextualité dans le cadre d'une poétique de la réception. Nous appliquons ensuite ce modèle à une forme particulière

deviendra un vrai séducteur. Mais tous les laiderons n’ont pas du génie, et sur eux pèse une malédiction. Car la laideur physique est un lourd handicap, sur le marché de l’amour comme sur le marché du travail. Dans L’Histoire de la laideur (1), Umberto Eco rapporte le destin peu enviable de ceux que la nature a défavorisés. L’histoire réserve un sort piteux à ceux qui ont eu le malheur de naître difformes, hideux, sans grâce. Dans la peinture occidentale, la laideur est associée à la souffrance, l’enfer