Un acte d'amour

Objet d'étude : théâtre et représentation. Textes : Texte A - Molière (1622 - 1673), extrait de Dom Juan (1665), acte II, scène 4. Texte B - Beaumarchais (1732 - 1799), extrait de Le Mariage de Figaro (1781), acte V, scène 7. Texte C - Edmond Rostand (1866 - 1918), extrait de Cyrano de Bergerac (1897), acte III, scène 10 (vers 1504 - 1539). ÉCRITURE I. Après avoir pris connaissance de l'ensemble des textes, vous répondrez d'abord aux questions suivantes (6 points) 1. Quels

Le corpus nous présente trois textes: Phèdre acte III et scène IV fait en 1677 par jean racine; Médée scène X fait au Ier siècle par Sénèque ; et Horace acte IV scène 5 fait en 1640 par Pierre Corneille. Les trois extrais de texte nous montrent un conflit qui se produit. Ainsi nous pouvions analyser puis nous demander comment les trois textes peuvent être comparais. Le texte de Pierre Corneille « Horace » nous raconte l’histoire de deux familles qui sont en guerre, Les Horaces tuent les

l’art du théâtre se prête à la mise en scène de la séduction à l’aide de cinq textes : Le Tartuffe ou L’Imposteur (acte III, scène 3, 1664-1669) de Molière, On ne badine pas avec l’amour (acte III, scène 3, 1834) d’Alfred de Musset, La Folle journée ou Le Mariage de Figaro (acte V, scène 7, 1784) de Beaumarchais, Huis clos (scène 5, 1944) de Jean-Paul Sartre, ainsi que Dom Juan (acte II, scène 2, 1665) de Molière. Nous étudierons tout d’abord les spécificités de la mise en scène de la séduction au

soi-même ? Pourquoi ? Peut-être pour s’en être voulu, pour s’être jugé, pour se trouver dans cette histoire, pour ne plus s’aimer, pour continuer à envenimer cette situation ? Quelque soit la forme du pardon, cet acte est difficile et parfois même impossible, mais c’est certainement un acte nécessaire. Mais de quoi s’agit-il ? Dans tous les cas il s’agit d’entrer en relation avec la partie adverse en réfléchissant sur ses propres limites mais aussi sur ses propres erreurs en se remettant toujours

(alexandrins), rimes Différences entre Racine et Sénèque ACTE I  Sénèque : Dialogue entre Phèdre et la nourrice (Phèdre raconte son mal d’amour pour Hyppolite) Racine * Scène 1 : Hippolyte et Théramène (Hippolyte est amoureux d’Aricie, Phèdre lui mène la vie dure sans explication) * Scène 2 : Hippolyte et Oenone (elle rapporte à Hippolyte le mal de Phèdre) * Scène 3 : Oenone et Phèdre (Phèdre avoue à sa nourrice qu’elle brûle d’amour pour Hyppolite) * Scène 4 : Phèdre, Oenone et Panope

désigne une sémiotique du langage (proprement acte sémique) qui en tant que tel transcende l'acte textuel. Il en résulte que tout texte peut se transposer dans n'importe quelle langue écrite, au travers d'un processus de traduction, aux dépens cependant d'une perte partielle de sens selon la qualité de la traduction et la proximité des langages. c qui ac ?y a bon c qui ac ?y a bon c qui ac ? Si vous recherchiez des poèmes d'amour et des citations d'amour, vous avez trouvé le site idéal. Vous y trouverez

de son nez. Cette pièce de théâtre, où son mêlés amour et humour, expose une intrigue passionnelle émouvante et met en scène un vrai festival de parole créé par la verve et la répartie des personnages, qui rempli le récit de beauté. Résumé : Acte I : La scène se déroule dans le théâtre de Bourgogne. Un public nombreux et très varié assistera à la représentation de La Clorise, une pastorale de Balthasar Baro. On y retrouve des bourgeois, des soldats, des voleurs, des petits marquis et aussi

vrai nom Edmond Eugène Joseph Alexis Rostand, né le 1er avril 1868 à Marseille et mort le 2 décembre 1918 à Paris 7e, est un auteur dramatique français. Il est le père du fameux bilogiste Jean Rostand. Cyrano de Bergerac est découpé en 5 actes. *Acte 1 : Cette scène se déroule au théâtre de Bourgogne à Paris. Le public va assister à la représentation de la Clorise. Scène d'exposition. Des bourgeois, des soldats, des voleurs sont présents... On y découvre Roxane, Christian de Neuvilette ; un jeune

ACTE I Des paysans, en chœur, saluent d’abord, assez plaisamment, le grassouillet Blazius, qui leur annonce le retour du fils du baron, leur jeune seigneur, tout juste promu docteur, Perdican, dont il fut le gouverneur, puis, plutôt sarcastiquement, la maigrelette Dame Pluche, qui annonce l’arrivée de Camille, nièce du baron et cousine de Perdican, laquelle est sortie du couvent, où elle fut élevée, en vue de recueillir le bien légué par feu sa mère (sc. 1). Dans un salon du château, à Bridaine

chose inconcevable pour la séduction qui se veut toujours incertaine, toujours ininterrompue. Dans Le scandale du corps parlant, Shoshana Felman écrit: «Don Juan est donc bel et bien une pièce sur la promesse.» (p. 32) La promesse est une mise en acte de la parole, c'est-à-dire que Pénonciation des mots ne décrit pas un événement mais le crée. Parler est égal à faire. Le langage est dans ce cas-là un langage performatif selon la conception du philosophe anglais Austin que Shoshana Felman présente