Un Alphabet Imaginaire

t’aider. © Cned, Français 6e — © Cned – Académie en ligne 1 Séquence 1 — séance 2 P. Derr © Cned b) L’abécédaire. Lis ce mot à haute voix : qu’entends-tu ? Qu’est-ce donc, à ton avis, qu’un abécédaire ? c) Réalise maintenant ton alphabet personnel, sur ton cahier, en commençant par faire une lettre majuscule puis en écrivant un mot que tu aimes débutant par cette même lettre majuscule, comme dans l’exemple ci-dessous. A Ë Ariane 1 — © Cned, Français 6e © Cned – Académie

tablettes qui illustrent le mode d’écriture cunéiforme : Les textes les plus anciens en écriture cunéiforme datent d'environ cinq mille ans et ont précédé de quelque mille cinq cents ans l'utilisation des premiers alphabets. Les premières inscriptions cunéiformes étaient sous forme des pictogrammes. Chaque signe correspondait à un mot. Notons que les mots des sumériens étaient dans la plupart monosyllabique. Les mots qui ont été difficiles à représenter étaient marqués

réaliste -> Descript° de la réalité & des perso de la vie quotidiennes ac modèle de la médecine (décortiquer l’âme cô médecin dissèque le corps) -> Idéalisat° -> Documentat° !! -> Centré s/ bourgeois -> Poésie= artificiel, conventionnel, imaginaire. Balzac - Eugénie Grandet - Le père Goriot - Le Colonel Chabert - Le Lys dans la vallée Flaubert - Madame Bovary -L’éducation sentimentale Maupassant - Une vie - Boule de suif - Pierre et Jean Daudet Le Petit Chose Vallès - L’Enfant

production en langues indigènes, c'est toujours au nom d'une histoire de la fiction en Inde que l'on interprète, classifie, discrimine et valorise ou dévalorise, et la fiction est, chez ces critiques, toujours comprise comme un compromis variable entre "imaginaire" (parfois déclassé, démystifié en illusoire, invraisemblable ou mensonger) et "transcription" documentaire. Les postulats élémentaires du réalisme moyen européen (avec ses limitations conceptuelles) sont encore opérants à la base de ce système,

narrant les exploits historiques ou mythique d’un héros ou d’un peuple 1. Disparu au profit du roman 2. Veut donner l’impression de grand 3. Les héros atteignent la grandeur en se vouant à une seule idée Fiction : 1. Fait imaginé/construction imaginaire 2. Les récits entremêlent le vrai et le faux 3. (Esope ne ramène que des langues à un banquet : c’est la meilleure et la pire chose qui soit) Journal : 1. Parle souvent de moments difficiles 2. Ex : Journal des frères Goncourt : maladie, douleur

principe de l’analogie : présentation d’une image acoustique d’une réalité Les mots prennent le pouvoir et font émerger de nouvelles significations Exemple : Breton dans Yeux zinzolins, « l’air de l’eau » : veut céder l’initiative aux mots (« alphabet secret de toute nécessité ») Il y a une tension anormale entre le signifiant et le signifié : le poète est donc là pour « rémunérer le défaut des langues » (Mallarmé) : à la fois idée de compensation et volonté de faire fructifier le langage Exemple

même qu'il n'a jamais été plus dominateur vis-à-vis des autres genres littéraires. Définition du roman (2) : Le roman est une œuvre d'imagination en prose, assez longue, qui fait vivre des personnages de fiction, engagés dans des aventures imaginaires, parfois présentés comme réels. Le roman, récit en langue romane, apparaît au milieu du XIIe siècle. C'est alors un long récit en vers (octosyllabe) lu par les jongleurs, surtout dans les cours princières. Les textes seront ensuite réécrits en prose

de référence dans le domaine de l’histoire de l’art. Ce travail en arts visuels sera transdisciplinaire puisqu’en parallèle des ateliers d’écriture seront menés sur le mode « surréaliste », l’histoire de l’écriture sera également abordée, chaque alphabet pourra être replacé dans son continent en géographie et s’inscrira dans l’étude des coutumes et la vie des différents peuples. En littérature, un travail sur les contes des différents continents appuiera ces divers aspects. Une sortie pédagogique

des noms propres, à travers les langues et les sociétés, est l'onomastique. Différentes variétés de noms propres.Un nom propre appartient donc « en propre » à un référent déterminé (une personne, un animal ou une chose), que ce référent, réel ou imaginaire, existe naturellement (un élément géographique par exemple) ou qu'il soit artificiellement créé par l'homme (une œvre d'art , une œvre littéraire, etc.). Chaque fois qu'on est en présence d'un choix individuel, il existe nécessairement une part

que à des caractéristiques très japonisantes raffinées sans quelles avec un plaisir du trait, un art de la ligne qui vient écrire des paysoient précisées ou référencées, d’un langage limpide à une co- sages, des mondes végétaux en mouvement. Leur alphabet qui dification extrême, les deux nous échappant avec la même certi- tient autant à une esthétique extrême-orientale qu’à une graphie tude. La planéité, l’absolue éviction de toute tentative de volume naïve et enfantine active des compositions poétiques