Un Animal Dans La Lune

mort, peu rassurant; + d’animaux arrivent – troupe devient armée. Renard + belette (rusés, fouines) lui bloquent le passage, intimidation, menace; connotation diabolique - champ lexical d’obscurité, 2 éléments voilent la lumière - opposition des animaux. Lois de nature détournés dans un sens malsain (aka serpent: satan dans la mythologie) 2) Des évènements “surnaturels” inquiétants - mort + malheur sur le chemin du narrateur → thème baroque, accumulatº d’évènements (9 présages) - texte commence

 Loup Le loup, un animal aux yeux d’hiboux Dont les dents sont pointues jusqu’au bout Fort habile mais très méchant sous son poil hérissé Pauvres agneaux mourant tous sous ces coups crispés. L’horrible bête traversant fièrement les bois Sous les branches, les pattes pleines de boue Résistait héroïquement aux paysans comme un roi Il sortit ses dents acérées qui tuera

la faute d’un seul animal et déchaînez votre fureur contre celui-ci! Mais réjouissez-vous mes frères, mon roi, car j’ai trouvé le malin qui nous fait tant souffrir et c’est au nom du règne animal que j’accuse l’âne d’être le responsable de nos malheurs! Oui… C’est bien toi l’âne, ne me regarde pas avec cet air béat si caractéristique de ta race. Mais que dirait Dieu s’il était parmi nous ? Non! Il n’essaierait pas de t’aider et ne me parle pas sur ce ton! Dieu aime les animaux, mais toi, tu n’es

masse (Nébuleuse primaire). Et puis, il y aurait alors un 'Big Bang' ou 'grand coup (séparation secondaire) qui a eu comme conséquence la formation des galaxies. Celles-ci alors se sont divisées pour former les étoiles, les planètes, le soleil, la lune, etc... L'origine de l'univers était unique et la probabilité que celle-ci aurait été produite par 'chance 'est zéro. Le Coran contient le verset suivant concernant l’origine de l’univers : Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre

des 5 livres de l’ancien testament. Tout mythe : comment toutes les choses ont été crée : homme, animal, institutions. Le déluge : pluies catastrophiques qui déciment tout. Comment Dieu créa le monde en 7 jours. Au départ rien, ciel et mer confondu. Que la lumiere soit, que la lumiere fut : bim. Le firmament : sépara ciel et mer. Recouvrit la terre de semances, arbres. Ensuite, soleil, lune, étoiles. Oiseaux, êtres marins. Dieu rempli la terre d’être vivant. Il créa enfin l’homme : le

regard se croisèrent où j'ai pu voir des étincelles brillaient dans leurs yeux. Ces deux être se sourirent, la femme rougie pendant que l'homme s'avancer vers elle d'un pas timide. Il y avait eût coups de foudre entre les deux être humains et leur animaux. Quelques minutes plus tard, ils partirent tous les quatre. Cette histoire m'a permis de réaliser qu'avec nous il n'y avait jamais eut ces étincelles. J'ai donc décidé de partir à sa recherche, je veux connaître le véritable coup de foudre. Ne

Aucune échappatoire. 2. L’inquiétude face au monde (la symbolique des animaux, les maladies, les antithèses, l'obscurcissement) - présence d'animaux : corbeau malheur mort Aspic tentation mort Vautour charognard 1 er dizain les animaux annonce des événements impossibles discutables. 2 Emme dizain il représente l'impossibilité. - antithèse : soleil noir - obscurcissement : fin du monde tout s'éteint (soleil noir, lune qui tombe) Conclusion : ce poème est baroque : plusieurs tableaux

par les noms féminins proposés et accorde, s'il y a lieu, les formes en -ant. (au dos de lafeuille) 1. cet homme ? le portail 3. le parfum 4. cet arbuste S. le soleil ~ ~ ~ ~ ~ cette femme. la porte. la beauté. cette plante. la lune. Exercice 3 Relève les formes en -ant complétées par une suite du verbe et celles qui sont attributs. 1. 2. 3. 4. S. Poursuivant le lièvre, le chien disparut dans les fourrés. Ce tableau est fascinant. II observait le paysan labourant

plus. Il était presque tout à fait dehors, maintenant. Il regarda attentivement autour de lui, une dernière fois. Le bois était sombre et silencieux. Là-haut, dans le ciel, la lune brillait. Alors, ses yeux perçants, habitués à la nuit, virent luire quelque chose derrière un arbre, non loin de là. C'était un petit rayon de lune argenté qui scintillait sur une surface polie. Maître Renard l'observa, immobile. Que diable était-ce donc ? Maintenant, cela bougeait. Cela se dressait… Grands dieux ! Le canon

subitement et je fus incapable de rebrousser chemin. La fatigue me tiraillait les jambes et je ne savais de toute façon quel chemin me ramènerait à cette maisonnette de bois qui m’avait été louée. Les oiseaux achevèrent leurs dernières mélodies, puis la lune enveloppa de sa lumière les bois qui m’entouraient. Malgré le sublime spectacle de la nature, je commençais à élaborer la manière dont j’allais affronter l’événement, quoique sans expérience particulière dans le domaine de survie, moi qui étais pleinement