Un Animal Redoutable Alain

pour la réussite au BAC 4 21. Alain (1868-1951) : « L'inconscient est une méprise sur le Moi, c'est une idolâtrie du corps. », Éléments de philosophie. 22. Alain (Emile Chartier) : « Le freudisme, si fameux, est un art d’inventer en chaque homme un animal redoutable. » Éléments de philosophie. 23. Jean Paul SARTRE (1905-1980) : « (…) tout homme qui invente un déterminisme est un homme de mauvaise

2010, Michel Onfray publiait Le crépuscule d’une idole. Que cache la remise en question de la psychanalyse et de l’idée d’inconscient qu’elle promeut ? Peut-on qualifier le freudisme de mythologie comme le firent à tour de rôle Wittgenstein, ou Alain au début du XXe siècle ou encore de nos jours le psychiatre François Roustang ? Mais Freud ne dit-il pas lui-même que « la théorie des pulsions est, pour ainsi dire, notre mythologie » (Nouvelles conférences d’introduction à la psychanalyse, Gallimard

« je », est-ce que cela veut dire que je suis maître de ma pensée, de mes actes ? Sujet (agit) ≠ Objet (subit) L’animal est un sujet, il pense, il est à l’origine de ses actes. Les singes (Bonobo), les chiens, les chevaux, animaux intelligent. Taupe, ver de terre, animaux moins intelligent. Spontanéité ≠ comportement mécanique L’anima est un objet. Ils ont une capacité insuffisante pour inverser une situation. Une pensée qui à du mal à décoller. Un sujet : un être libre. Il peut dire « non »

une intervention sur un site nucléaire, un robot-chien domestique, des bras bionique, un humanoïde vedette de cinéma ou homme politique,… . Utiles ou accessoires, les robots sont indéniablement en train de préparer le terrain de nos futurs. Le redoutable Robo Sapiens supplantera-t-il alors bientôt l’Homo Sapiens, comme le suggère quelques chercheurs. Quels sont les problèmes et les limites de la robotique ? Nous répondrons à cette question en analysant tout d’abord les problèmes soulevés par les

Nizan appelle « l’école prétendue normale et dite supérieure ». Sartre reste en effet le redoutable instigateur de toutes les plaisanteries, de tous les chahuts, allant jusqu’à provoquer un scandale en jouant avec ses amis un sketch antimilitariste dans la revue de l’ENS de1927, après lequel Gustave Lanson, directeur de l'école, démissionnera. La même année, il signe avec ses condisciples, et à la suite de Alain, Lucien Descaves, Louis Guilloux, Henry Poulaille, Jules Romains, Séverine…, la pétition

être dominé par la conscience ou au contraire un jouet de l’inconscient ? Sa nature est-elle vraiment insaisissable ?       I.        LA CONSCIENCE, LUMIERE DE L’HOMME Pour une certaine tradition philosophique, l’homme se définit comme un animal, mais un animal doué de conscience. Cette faculté constituerait même la preuve de sa transparence et de sa maîtrise sur lui-même. A.    NATURE DE LA CONSCIENCE 1.     Définition de la conscience Avant DESCARTES, la conscience désigne cette capacité morale

n’est pas le mal, lorsqu’elle est liée à un désir d’accomplissement spirituel (Platon). L’excès des désirs déréglés est néanmoins condamnable (Épicure, stoïciens). méthodologie de l'explication de texte philosophique 9 2. 2è exemple : Alain, la conscience est implicitement morale CONSCIENCE : c'est le savoir revenant sur lui-même, et prenant pour centre la personne humaine elle-même, qui se met en demeure de décider et de se juger. Ce mouvement intérieur est dans toute pensée; car

codifié des animaux. Parler serait donc le propre de l'Homme. L'Homme peut penser sans parler mais il ne peut pas parler sans pensée, c'est le cogito. Le langage humain fait appel à l'imagination, à l'intention, à la création. Nous le retrouvons dans l'exemple des sourds-muets qui parviennent à communiquer en inventant un autre langage. Certains, comme le linguiste français Benveniste, vont jusqu'à dire que l'on ne peut pas parler d'un langage animal car ils remarquent que la communication animale est stéréotypée

à l’idée de guerre juste, présuppose un « droit à la guerre ». Alors, peut-on parler de guerres justes ? Permettez moi, avant d’examiner les thèses qui s’affrontent sur le sujet, deux longues remarques préliminaires pour cerner la complexité redoutable de ce problème. La première sera au sujet de la guerre elle-même et de la définition que l’on peut en donner tout en sachant l’historicité de toutes les guerres – les guerres du moyen âge ne ressemblent que de fort loin aux guerres nationales du

guerre juste, présuppose un « droit à la guerre ». Alors, peut-on parler de guerres justes ? Permettez moi, avant d’examiner les thèses qui s’affrontent sur le sujet, deux longues remarques préliminaires pour cerner la complexité redoutable de ce problème. La première sera au sujet de la guerre elle-même et de la définition que l’on peut en donner tout en sachant l’historicité de toutes les guerres – les guerres du moyen âge ne ressemblent que de fort loin aux guerres nationales