Un aristocrate célibataire

fait que chacun respecte les règles propres à chaque rang social. 3/La république a) La république aristocratique C’est le gouvernement de quelques-uns, une partie du peuple seulement détient la puissance souveraine. On considère que les aristocrates sont les plus compétent à gouverner soit parce que ce sont des individus les plus intelligents soit parce qu’ils sont bien nés. Le principe c’est la vertu, ce n’est pas un sentiment moral selon Montesquieu, c’est l’avantage d’une vertu politique

débridé complice en ordinaire garçon poli, doux et médiocre. Mérimée fréquente donc cénacle suranné, presque à contrecœur, pour prendre le pouls de cette petite société où se côtoient la vieille noblesse royaliste, la jeunesse libérale et quelques aristocrates anglais. Il s'y ennuie ferme, mais fait ses classes mondaines et prépare ses croquis. Et c’est dans ce cercle élargi qu’il va rencontrer Stendhal. Grâce à son fils, Albert Stapfer, Mérimée et Stendhal vont s’apercevoir d’abord chez PhilippeAlbert

laissent à penser que les activités sportives occupaient une part importante des loisirs des jeunes égyptiens. De plus il semblerait que la pratique sportive était pratiquée par toutes les classes, les pratiques martiales étaient réservées aux aristocrates. Les autres sport étaient pratiquaient par tous les autres égyptiens. A l’époque les compétitions portaient sur une seule activité. * Athlétisme : on a retrouvé des traces de ce sport. Il existait une course de 2x50m entre Memphis et l’Oasis

(Modernité) La distinction bourgeoise et la popularisation des codes du savoir-vivre. À la suite de la Révolution de 1789 et à partir du XIXème siècle, le modèle alimentaire aristocratique est adopté par les bourgeois. La distinction entre aristocrates se mue en une distinction entre tous les citoyens. Le service « à la française » s'efface au profit du service « à la russe », plus égalitaire, avec des plats qui se succèdent et où chacun mange la même chose. C'est ce service qui est paradoxalement

cafés, dans les jardins, le jardin des tuileries, le jardin du palais royal ( où habite Philippe d’Orléans), on voit l’émergence de narrateur de rue qui lit la presse : DANTON (ancien avocat), SANTERRE (brasseur du Faubourg St antoine), ce complot aristocrate a un foyer et ce foyer c’est Versailles. Ce qui met le feu au poudre c’est le régiment. Donc le 5 octobre, un rassemblement a lieu devant l’hotel de ville de PARIS, on va trouvé des militants ( formé à l’appel de la presse, des orateurs de rue et

tous les Italiens au sein d'une Italie grande et puissante. Elle ne peut se concevoir que fortement peuplée. Dès 1926, le régime développe une politique nataliste, accordant des avantages aux familles nombreuses et frappant de lourds impôts les célibataires. Mais la natalité ne remonte pas, bien que son taux (23,8%0 en 1938) demeure élevé. Si, entre 1921 et 1938, la population passe de 38 à 45 millions d'habitants, cet essor provient surtout d'une baisse sensible de la mortalité (140/00 en 1938),

le seul genre littéraire sérieux. Ainsi, s’il a fait ses preuves comme journaliste et conteur, il veut désormais être un grand romancier. Auparavant, Maupassant a écrit trois romans à succès : Une vie (1883), qui retrace la destinée d’une jeune aristocrate nor- mande, Jeanne Le Perthuis des Vauds, de son enfance à sa vieillesse; Bel-Ami (1885), qui décrit la réussite sociale fulgu- rante du séducteur Georges Duroy, dans les milieux corrompus 1. Gustave Flaubert (1821-1880) : romancier français, auteur

représentent 9% ; 1150 = 12% ; 1180 = 33% ; 1220 = 42%. Ceci dit, la croissance n’est pas due à une augmentation brutale de la population mais à un processus cumulatif, lent. Fossier a calculé que l’accroissement naturel est de 0.4%/an. La part des célibataires et des ménages sans enfant est importante (moines, religieuses) = 1/3 des foyers. Le faible accroissement naturel s’explique aussi par la forte mortalité infantile (1ans), juvénile ( 15 ans). En plein XIIème siècle, les cimetières de Suède et de

naissance d’un fils, son mari meurt, elle affirme sa liberté en décidant de monter à Paris. Deuxième acte de liberté, elle ne garde pas le nom de son époux, usage pour une veuve, mais prend le nom d’Olympe de Gouges. Elle rencontre son compagnon, un aristocrate lié à la franc-maçonnerie , avec lequel elle a une liaison de 17 ans, jusqu’à la Révolution, ce qui lui permet de fréquenter les salons mondains, de mener une vie confortable; elle se lance dans une carrière littéraire. Mais elle refuse le mariage

"Cythère,… Paphos…, Gnide…, Amathonte"  : Le poète énumère les principaux sanctuaires du culte d’Aphrodite (Vénus), dès lors désertés par la déesse amoureuse. Page 340 "Diane"  : Déesse de la chasse, farouche célibataire, sœur d’Apollon. Page 341 "un oracle"  : Un oracle est la réponse qu’une divinité donnait à ceux qui la consultaient en certains lieux sacrés (cf. par exemple l’oracle d’Apollon, à Delphes