Un Beau Ténébreux

rit de l’archer » Dans ce poème, l’auteur veut traduire la solitude. De plus, dans le poème « Correspondance », Baudelaire explique le malheur du poète par le manque d’inspiration qu’ils pourraient avoir. « Le poète aujourd’hui […] sent un froid ténébreux envelopper son âme. Le manque d’inspiration serait alors comme un grand vide pour le poète qui se transforme alors en mélancolie. Pour finir, dans « La beauté » Baudelaire décrit la tristesse des poètes devant les femmes, du fait que tous poètes

«Lorsque tu dormiras», Baudelaire s’adresse à une femme qu’il tutoie, ce qui indique le lien (connivence, proximité) qui l’unit à elle. Il l’appelle «ma belle ténébreuse», ce qui n’est pas tant la féminisation de l’expression traditionnelle, «un beau ténébreux», par laquelle on désigne un bel homme à l’air mystérieux et mélancolique, qu’une allusion à la peau et à la chevelure noires de Jeanne Duval (cette Haïtienne était «brune comme les nuits» [‘’Sed non satiata’’]), et à son caractère ombrageux ;

rayonnante ? Thème boueux : le spleen : chaos, dissonance, douleur, laideur, monotonie, confusion, non-sens, informe, horizon bouché, obsession… Forme précieuse, en or : le texte poétique (représentation du spleen) : beau, imagé, détaillé, équilibré, harmonieux, organisé, structuré, sensé, lucidité, musicalité, direction, horizon… Mouvement du texte : 1) accumulation des conditions propices au spleen, circonstances qui génèrent le spleen, tension et

ravissez ?  Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !  Vous que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir,  Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,  Au moins le souvenir !  Qu’il soit dans ton repos, qu’il soit dans tes orages,  Beau lac, et dans l’aspect de tes riants coteaux,  Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages  Qui pendent sur tes eaux !  Qu’il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,  Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,  Dans l’astre

Briolanie, est remise par Amadis en possession de ses domaines. Ce service allume la jalousie d'Oriane, qui lui défend de revoir Briolanie. Alors, Amadis, au désespoir, renonce aux armes, et se retire dans l'ermitage de la Roche-Pauvre, sous le nom de Beau Ténébreux. Ses thèmes principaux sont clairement définis: il s'agit d'une apologie de l'héroïsme et de la fidélité amoureuse; l'incarnation de la doctrine courtoise et des liens qui unissent l'amour et les prouesses chevaleresque. Amadis est l'exemple

profundis clamavi Pages 13- 15XXXVI. Le Balcon Pages 16-18XLVII. Harmonie du soir Pages 19-21LVI. Chant d'automne Pages 22-24LXXIV. La Cloche fêlée Pages 25-27LXXXV. L'Horloge Pages 28-30XCIII. À une passante X. L'ennemiMa jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage,Traversé çà et là par de brillants soleils ;Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.Voilà que j'ai touché l'automne des idées,Et qu'il faut employer la pelle et les râteauxPour rassembler

Mais, seule sur la proue, invoquant les étoiles, Le vent impétueux qui soufflait dans les voiles L'enveloppe. Étonnée, et loin des matelots, Elle crie, elle tombe, elle est au sein des flots. Elle est au sein des flots, la jeune Tarentine. Son beau corps a roulé sous la vague marine. Thétis, les yeux en pleurs, dans le creux d'un rocher Aux monstres dévorants eut soin de la cacher. Par ses ordres bientôt les belles Néréides L'élèvent au-dessus des demeures humides, Le portent au rivage,

Baudelaire, lui, parle aussi d'un sentiment de retrait de la société mais il connote à cela un côté plus noble, plus majestueux : « vastes oiseaux des mers », « ses ailes de géant ». Il est, tel l'albatros dans le ciel, « ces rois de l'azur » « naguère si beau » incompris des hommes car il perçoit des choses qu'eux ne sentent pas, il possède une interprétation plus approfondie de la vie et de ses événements. Poe, de même, qualifie le corbeau de « prophète !», or, selon l'en-tête, le poète ressemblerait au

aux mannequins, vaguement ridicules ; terribles (...)”. Cette façon d'attirer l'attention est d'autant plus surprenante que le poème commence par le verbe “contempler”: “Contemple-les, mon âme”. Ce verbe amène le lecteur à attendre quelque chose de beau, d'admirable. L'antithèse “contemple” et “affreux” met en avant, par l'effet de contraste, l'adjectif “affreux”. Ensuite, l'auteur s'étend sur quelques caractéristiques des aveugles. Il parle de leur démarche hésitante “comme les somnambules”, qui

amers.A peine les ont-ils déposés sur les planches,Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,Laissent piteusement leurs grandes ailes blanchesComme des avirons traîner à côté d'eux.Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid !L'un agace son bec avec un brûle-gueule,L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait !Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer ;Exilé sur le sol au milieu des huées,Ses ailes