Un Bon Lecteur Est Un Lecteur Vorace

glace sans ses lunettes, ce qui ne peut guère la renseigner sur ses atouts. Mais cette nouvelle a au moins le mérite de la distraire d’une ambiance familiale pas franchement grisante depuis que son père est au chômage. Ses parents, histoire de voir le bon côté des choses, passent leur temps assis dans le noir à se lamenter et à se faire du chantage au suicide. Ils ont aussi supprimé les sports d’hiver, et pendant qu’ils y étaient, Noël. Quant à Judith, la petite sœur de Julia, elle vient de rebaptiser

Rabelais joue des symétries et des oppositions dans la construction des deux récits. En effet, la narration de l’éducation des théologiens se fait par étapes : l 4 à 10: Le lever, l 11 à 13: Le déjeuner, l 26 à 33: A l’église, l 34 à 36: Le souper. Le lecteur comprend que l’occupation première de Gargantua est de manger et d’aller à l’église. La dernière ligne du texte, qui marque la conclusion de cette éducation hors du commun, souligne: « Puis il étudiait une méchante heure ». L’adjectif qualificatif

naître le désir, si vous n’avez pas suscité l’intérêt! Comment conclure, si vous n’avez pas fait naître le désir. Certains se disent qu’en passant directement à l’action, on ne perd pas de temps! C’est une erreur! Non seulement vous allez rater de bonnes occasions de séduction mais vous risquez d’être poursuivi si la personne sur qui vous avez bondi, s’est mise à crier … «au viol». Prenons un autre exemple, celui du pêcheur à la ligne, la démarche est la même: 1) Il faut d’abord attirer l’Attention

sable » (vers 1) ( Le cadre imprécis vise à donner une portée universelle à l’apologue. -Les personnages : anonymat des « deux pèlerins »( v.1), « Perrin Dandin » non décrit physiquement, portrait moral seulement. L’art de suggérer, de laisser le lecteur imaginer les personnages. Portée universelle encore, volonté de généraliser la situation ds laquelle se trouvent les personnages. -Un récit vivant : le récit est rendu vivant non seulement par l’échange entre les personnages rapportés directement

grotesque qui insiste sur les parties inférieures du corps On peut noter l’importance donnée au corps et aux basses parties de celui-ci. Les noms sont des caractérisations métonymiques des personnages : Grandgousier (grand gosier), Gargamelle, Gargantua (vorace). Ils viennent de sobriquets populaires. Le passage constitue une glorification des appétits naturels de l’homme et de la femme, dans une exaltation joyeuse. Il s’agit du « bas corporel » selon l’expression de Mikhaïl Bakhtine. Les bas instincts sont

leurs rêves. Elle est opposée à la phrase suivante qui représente leur vraie vie par la conjonction de coordination «mais». L'auteur présente leurs rêves comme impossibles. En effet, pour décrire ce qu'ils veulent il aurait pu utiliser du futur, le lecteur aurait alors compris que cela a de fortes chances de se réaliser. Or celui ci utilise du conditionnel («ils auraient» l 9) ce qui signifie que cette richesse n'est qu'un rêve quasiment inatteignable. De plus, Perec présente les personnages comme peu

qui insiste sur les parties inférieures du corps On peut noter l’importance donnée au corps et aux basses parties de celui-ci. Les noms sont des caractérisations métonymiques des personnages : Grandgousier (grand gosier), Gargamelle, Gargantua (vorace). Ils viennent de sobriquets populaires. Le passage constitue une glorification des appétits naturels de l’homme et de la femme, dans une exaltation joyeuse. Il s’agit du « bas corporel » selon l’expression de Mikhaïl Bakhtine. Les bas instincts

C’est pour cela qu’il s’engagera pendant deux ans comme critique d’art et défenseur de la peinture romantique. C’est en 1857 qu’a lieu la publication des Fleurs du Mal. Baudelaire est attaqué en justice pour “outrage à la morale publique et aux bonnes moeurs” mais aussi pour “offence à la morale religieuse”. Il est condamné et doit effacer 6 poèmes. Baudelaire n’aura jamais la chance de vraiment publier Les Fleurs du mal vu qu’il se fera hospitaliser en 1866, frappé d’hémiplégie. Ce n’est que peu

Bio: W.Morris est Britannique, né à Walthamstow le 24 mars 1834, fils d’un agent de change et d’un professeur de musique, il est issu de la bourgeoisie moyenne. Il apprend à lire très jeune et devient un lecteur vorace déjà attiré par le moyen âge. Il suit ensuite l’enseignement d’une gouvernante et profite de la vie en plein air. Elève dans une école préparatoire puis à Malborough collège ses résultats sont médiocres, il s’intéresse surtout à l’architecture et pense devenir prêtre. Il suit ensuite

par delà un choix pour leur esthétique, été sélectionné pour leurs nombreuses dissemblances, ils présentent donc ensemble un éventail de variété de « voyages » et de « poésie ». Alors on en conviendrait que ce n’est pas l’auteur qui en apprend au lecteur sur les poèmes mais que ce sont les poèmes qui en apprennent sur l’auteur. J’avoue que faire un choix entre plusieurs poèmes demande du temps, de la patience, et beaucoup de bonne volonté, car on ne peut pas les départager en fonction de critères