Un Brillant Avenir

aristocrates (noms avec la particule DE) -       On note aussi la présence du roi L 11 + L 22 « le roi et les reines », L 29 « votre Majesté » + la Dauphine (marie Stuart). Il s’agit donc d’un cadre brillant (idéal précieux). Tout semble parfait ainsi qu’en témoignent les termes valorisants « beauté » « air brillant » « admiration » « étonnement » ou encore « louanges ». Le but du bal est de voir et d’être vu. Nous avons ici une mise en scène caractéristique du classicisme, tout semble parfait : ex du

voient dans la nuit, capable de percer les ténèbres, et qui nous fixent. Alors oui, certes, des portraits avec des gens qui nous regardent, il y en a des quantités. Mais avec une telle intensité, je crois que je n'en avais encore jamais vu. Ces yeux brillants, lumineux, ce visage figé, cet peau grise comme la pierre, et la position du personnage. Franz Von Stuck ne montre pas le diable auquel l'on s'attend d'habitude. Il ne se complait pas dans la facilité. Nous n'avons pas affaire à un monstre horrifique

personne n’ose nous approcher. Le rejet, voilà ce que nous subissons. Je n’ai pas d’avenir et la classe sociale fait vraiment tout dans ce monde, c’est répugnant. J’étais anéanti, même mon sourire forcé contempla mes larmes de tristesse. Mes yeux brillants reflètent mo image sombre, j’ai l’air si pitoyable. Je continuais de boire, mais les larmes encombraient une partie de ma gorge. Parce que je me connais, je suis juste un enfant qui pleure, un bon à rien qui est dans le regret de ne pas pouvoir avoir

erreur magistrale, l'administration a délibérément repoussé son programme de grands chantiers. Enfin, il fallait montrer aux gens qu'on améliorait immédiatement leur protection sociale. C'est une tragédie : le président intellectuellement le plus brillant depuis John Kennedy n'a pas un grand sens des réalités quotidiennes. Résultat, un boulevard s'est ouvert à la droite. Pourquoi ? Il est difficile de comprendre ce qui apparaît comme des mentalités irrationnelles des Américains. Elles sont liées

et au moment où Fabrice entrait dans sa prison, elle se levait majestueusement à l'horizon à droite, au-dessus de la chaîne des Alpes, vers Trévise. Il n'était que huit heures et demie du soir, et à l'autre extrémité de l'horizon, au couchant, un brillant crépuscule rouge orangé dessinait parfaitement les contours du mont Viso et des autres pics des Alpes qui remontent de Nice vers le Mont-Cenis et Turin ; sans songer autrement à son malheur, Fabrice fut ému et ravi par ce spectacle sublime. « C'est

fille, fascinée, cherche à voir l’artiste ; immédiatement séduite, elle présente le jeune le jeune homme également séduit à ses parents. Un mariage est décidé : si le jeune Wenceslas Steinbock est sans fortune, son talent doit lui assurer un brillant avenir et il pourra percer dans le monde grâce aux commandes officielles que lui vaudra l’appui du baron. Mais l’idylle a déclenché secrètement des conséquences insoupçonnées. Lisbeth, la cousine Bette, est depuis toujours jalouse d’Adeline. Elle

est l'ennemie de la civilisation car elle est cruelle et ruine les états. Pour critiquer la guerre, Voltaire emploie l'ironie et en l’occurrence des exagérations au chapitre trois dès la première phrase avec les adjectifs « beau », « leste » et « brillant ». Dans les deux premières phrases de ce même chapitre, le lecteur retrouve des hyperboles et tournures superlatives : « rien n'était si beau que... » et « telle qu'il n'y en eut jamais ». De plus, l'auteur donne l'impression d'un désastre minimisé

probablement de cirrhose alcoolique. · Elle a été élevée par une tante célibataire dont elle parle peu : « je découvre, sinon un foyer, du moins un soutien et une aide ». · Le personnage dominant était son frère. Il avait 15 ans de plus qu’elle, il était brillant et dynamique, il occupait un poste d'ingénieur principal. Il est mort il y a 2 ans de leucémie aiguë.· Elle nourrit une hostilité affichée pour sa belle-sœur dont elle a toujours été jalouse. Hostilité réciproque.· Jusqu'en 1961, la malade a mené

et au moment où Fabrice entrait dans sa prison, elle se levait majestueusement à l'horizon à droite, au-dessus de la chaîne des Alpes, vers Trévise. Il n'était que huit heures et demie du soir, et à l'autre extrémité de l'horizon, au couchant, un brillant crépuscule rouge orangé dessinait parfaitement les contours du mont Viso et des autres pics des Alpes qui remontent de Nice vers le Mont-Cenis et Turin ; sans songer autrement à son malheur, Fabrice fut ému et ravi par ce spectacle sublime. « C'est

Introduction Jean Giraudoux est un écrivain français et un diplomate, né le 29 octobre 1882 à Bellac en Haute-Vienne et mort le 31 janvier 1944 à Paris. Brillant étudiant et soldat décoré pendant la Première Guerre mondiale, il occupe des fonctions diplomatiques et administratives tout en écrivant des romans, dont l'on peut retenir Suzanne et le Pacifique écrits en 1921, et Siegfried ainsi que le Limousin écrits en 1922. Il se dirige ensuite vers le théâtre après sa rencontre avec le comédien Louis