Un ennemi du peuple

Les qualités de Périclès « J’ai plus peur de nos propres erreurs que des plans de nos ennemis. » Ce texte est un extrait du chapitre 65 du livre II de la Guerre du Péloponnèse, écrit par Thucydide. L'extrait intervient à la suite d'un discours de Périclès, retranscrit dans les chapitres 60 à 64 du livre de Thucydide. (Dans son discours, Périclès veut rassurer les athéniens qui commencent à élever la voix contre lui.). Dans cet ouvrage il évoque la figure d’un grand homme politique athénien

que la providence destine aux descendants d'Abraham et aux autres peuples. On arrive ainsi à dresser tout un tableau, dans lequel figure une période de félicité spéciale, dont la durée est de mille ans. Les écrivains prophétiques avaient annoncé qu'à la suite d'épreuves terribles, le peuple juif atteindrait à un degré incroyable de gloire et de félicité, que sa foi religieuse et son sanctuaire deviendraient ceux de tous les peuples de l'univers et que le règne de Dieu s'établirait ainsi sur toute

cette idéologie, l’État exerce une mainmise totale sur toutes les activités. Les pleins pouvoirs sont aux mains d’un chef se présentant comme un guide et d’un parti unique. Ceux qui contestent le régime et ses décisions sont considérés comme des ennemis. B) Le régime totalitaire stalinien (1928-1953) a) La dictature d’un parti unique sous l’autorité suprême de Staline : Staline devient le maître de l’URSS à la mort de Lénine en 1924. Il renforce la dictature du parti communiste, seul parti

Avant tout pour les atrocités commises contre son peuple, il l’évoque tel un « barbare » un étranger prisonnier de guerre » lignes 15, 16. Saint-Just le présente comme l’ennemi du peuple, qui levait dans le secret des troupes aux « desseins perfides » pour que les citoyens étaient perçus « comme des esclaves ». Pour ce membre du groupe des montagnards, le « meurtrier de la Bastille », ligne 21, ne peut être jugé comme un simple citoyen mais comme un ennemi de la Nation qu’il faut tuer et vite. « C’est

meilleur ami du narrateur ; ils grandissent ensemble sans jamais se disputer. Le père de Luo est un dentiste célèbre dans toute la Chine pour avoir « touché » les dents du président Mao. Mais après cet événement toute sa famille est déclarée « ennemie du peuple ». Un personnage un peu moins important mais pas des moindre, le Binoclard. Un jeune d’un village voisin qui se lie d’amitié avec Luo et le narrateur. Son père est écrivain et sa mère poétesse, et un jour ses amis lui découvrent une valise cachée

de téméraires?Vous avez bien d'autres affairesA démêler que les débats Du Lapin et de la Belette. Lisez-les, ne les lisez pas; Mais empêchez qu'on ne nous mette Toute l'Europe sur les bras (2). Que de mille endroits de le terreIl nous vienne des ennemis, J'y consens; mais que l'AngleterreVeuille que nos deux rois se lassent d'être amis, J'ai peine à digérer la chose.N'est-il point encor temps que Louis se repose?Quel autre Hercule enfin ne trouvait lasDe combattre cette hydre (3) ? et faut-il qu'elle

d’un pont) dont le but n’est pas la destruction des forces ennemies mais la démonstration de la force. « Mais, le plus souvent, cette colline ou ce pont seront pris afin de mieux détruire la force armée ennemie. S’il en est déjà ainsi sur le champ de bataille, quelle dimension cela prend-il sur l’ensemble du théâtre de guerre, où ce ne sont pas simplement deux armées qui se dressent l’une contre l’autre, mais deux Etats, deux peuples, deux pays ! » Avec l’augmentation du nombre de relations,

attentats du 11 septembre ? 2.1 L’après guerre froide Le monde de l’avant 11 septembre est le monde de l’après guerre froide. Les Etats-Unis en sortent grandis, ils acquièrent le statut de seule superpuissance et semblent avoir vaincu leurs ennemis, mais également le modèle politique soviétique. Ils confirment donc le statut qu’il leur est conféré après la seconde guerre mondiale. Les Etats-Unis, forts de 12 porte-avions, de plus d’un million de soldats et d’autant de réservistes. En termes

confirmée par le peuple. Voyez Denys d’Halicarnasse, Antiquités romaines, II, III et IV. [M] Sic enim effectum est ut agitatus injuriis populus, cupiditate libertatis incenderetur, (Florus, I, 8). Voyez Zonare, et Denys d’Halicarnasse, Antiquités romaines, (IV). [M] D’ailleurs l’autorité du sénat était moins bornée dans les affaires du dehors que dans celle de la ville. [M] Voyez Polybe, livre X. [M] Note supprimée : Les Romains regardaient les étrangers comme des ennemis. Hostis, selon

et fait voter, en qualité de rapporteur, le décret du 18 floréal an II, par lequel « le peuple français reconnaît l’existence de l’être suprême, et l’immortalité de l’âme », et la loi de Prairial, dite de « Grande Terreur ». 2. Les ennemis du peuple et de la république sont: - "Ceux qui auront trahi la République dans le commandement des places et des armées, entretenu des intelligences avec les ennemis de la République"- les anciens hauts fonctionnaires de la royauté-. - "Ceux qui auront provoqué